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Septième Conférence des Parties (CdP-7) de la Convention sur la Diversité Biologique Kuala Lumpur, Malaisie | 9 au 20 février 2004
Les Faits Marquants de
la Journée du vendredi 13 février 2004
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Peter
Bridgewater, de la Convention de Ramsar sur les Zones Humides, a mis
en relief la contribution apportée par cette dernière au programme de
travail axé sur les écosystèmes aquatiques intérieurs, et a parlé de la
complémentarité entre le travail accompli par la CDB et celui accompli par
Ramsar.
Le Sénégal, au nom de l'AFRIQUE, a souligné la nécessité de procéder à des inventaires et à la caractérisation des écosystèmes, à des fins d'évaluation, ainsi qu'à des ressources financières. Photo ci-dessus: Demba Mamadou Ba (Sénégal).
La SUISSE a mis en exergue l'importance des programmes de gestion intégrée des ressources en eau, et a plaidé en faveur d'une harmonisation des rapports nationaux. Photo ci-dessus: Olivier Biber (Suisse).
La THAILANDE a requis l'insertion d'une référence aux stocks exotiques
d'espèces natives, et d'une référence aux OGM. Photo ci-dessus:
Jaranthada Karnasuta (Thaïlande).
Le ROYAUME-UNI a déclaré favoriser l'adoption d'une approche de bas en haut, dans l'établissement des réseaux d'aires protégées, reflétant les besoins et les circonstances des Parties. Photo ci-dessus: Robert Canning (Royaume-Uni).
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KIRIBATI a mis l'accent sur l'importance de la conservation fondée sur les communautés, du développement de nouvelles pratiques durables dans le domaine de la pêche, et des moyens de subsistance alternatifs, et sur la nécessité de former des scientifiques. Photo ci-dessus: Nenenteiti Teariki-Ruaty (Kiribati). |
Le CANADA a requis l'insertion d'un document explicatif sur les
liens existant entre le CHM et les bases de données taxonomiques
et, appuyé par plusieurs intervenants, a fait part de ses réserves
concernant les disparités entre les Parties, en matière de
capacités de communication électronique et dans le domaine des
points focaux nationaux. Photo ci-dessus: David Brackett
(Canada).
Antigua et Barbuda, au nom du GRULAC, a signalé, avec préoccupation, l'absence grave de fonds pour la couverture des activités de CECP, et a appelé à un financement à travers le FEM. Photo ci-dessus: Diann Black-Layne (Antigua et Barbuda).
La MALAISIE a fait noter que l'accès limité à l'Internet rend l'utilisation des outils de la toile pour des activités de communication, d'éducation et de conscientisation du public (CECP), difficile pour les pays pauvres, et a proposé la distribution de copies imprimées de l'ensemble des matériaux. Photo ci-dessus G-D: N. Abdul Rahim et N. Manokaran (Malaisie).
La JAMAIQUE a requis de nouveaux instruments pour l'élaboration de stratégies de communication locale. Elaine Fisher (Jamaïque).
L'UNESCO a mis en relief son engagement en faveur des CECP, soulignant l'identification des meilleurs contenus et des meilleures approches pour l'établissement des programmes de mise en uvre à l'échelon national. Photo ci-dessus: Salvatore Arico (UNESCO).
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