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| Groupe de Travail I
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Harold Mooney, au nom
du 'Global Invasive Species Programme (GISP), ouvrit le débat par
une présentation des activités du GISP. L'orateur parla de la situation
dans les Iles Galapagos pour illustrer les problèmes écologiques
et les coûts du contrôle des espèces intruses, et souligna l'importance
du renforcement des capacités. Les délégués examinèrent ensuite
le papier du Secrétaire Exécutif sur l'élaboration des principes
devant régir la prévention des effets des espèces intruses et la
poursuite du développement du GISP (UNEP/CBD/SBSTTA/4/8).
 Extraits
RealAudio de la présentation du Dr. Mooney |
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La FRANCE plaida pour l'utilisation
du principe de précaution |
| La NOUVELLE ZELANDE
recommanda de demander au GISP d'élaborer les principes et de les
soumettre à la considération de la CdP-5. |
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Christian Samper, Président élu du
SBSTTA-5, intervenant au nom de la Colombie, a parlé de l'élaboration
d'une base de données sur le contrôle des espèces intruses et les
stratégies de prévention et de son intégration dans le Mécanisme d'Echange d'Information de
la CDB. |
| L'UICN attira l'attention
sur ses directives pour la réduction des pertes biologiques causées
par les invasions d'espèces intruses, qui seront parachevées l'année
prochaine. |
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| Groupe de travail II |
Dr. Richard Jefferson , de l'Université Nationale Australienne, présenta un exposé
sur l'utilisation des technologies génétiques restrictives (GURTs),
y compris celles variétales ou V-GURTs et celles basées sur des
traits spécifiques ou T-GURTs. L'orateur suggéra que les V-GURTs
commercialement viables pourraient avoir quelques mérites dans la
baisse de la fréquence des propagations trans-géniques, précisant
toutefois qu'un certain nombre de questions restaient en suspens,
telles que: la toxicité des composantes induites et des toxines
cellulaires; la propagation des V-GURTs dans l'environnement; et
les brevets en tant que moyens de contrôle des V-GURTs. L'intervenant
nota que la technologie GURT ne sera pas commercialisée avant 5
ans.
Enregistrement RealAudio Intégral de l'exposé
du Dr. Jefferson:
1ère
Partie: Explication de la biologie moléculaire de la
GURT
2ème
Partie: l'Utilisation des GURTs, les questions des brevets
et des droits de propriété intellectuelle, les effets sur
la biodiversité, l'incertitude scientifique
3ème Partie:
Questions et réponses concernant les effets des GURTs sur les
écosystèmes
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| Réception du Secrétaire
Exécutif en exercice |
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Hamdallah Zedan, Secrétaire Exécutif
en exercice de la CDB a donné une réception en honneur aux participants
aux travaux du SBSTTA |
| Zedan photographié ici
avec John Ashe, Antigua et Barboude (à gauche), et Philemon Yang,
Cameroun (à droite). |
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, de l'Université Nationale Australienne, présenta un exposé
sur l'utilisation des technologies génétiques restrictives (GURTs),
y compris celles variétales ou V-GURTs et celles basées sur des
traits spécifiques ou T-GURTs. L'orateur suggéra que les V-GURTs
commercialement viables pourraient avoir quelques mérites dans la
baisse de la fréquence des propagations trans-géniques, précisant
toutefois qu'un certain nombre de questions restaient en suspens,
telles que: la toxicité des composantes induites et des toxines
cellulaires; la propagation des V-GURTs dans l'environnement; et
les brevets en tant que moyens de contrôle des V-GURTs. L'intervenant
nota que la technologie GURT ne sera pas commercialisée avant 5
ans.
