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Treizième session des Organes Subsidiaires du CCCC
Lyon, France; 4 - 15 septembre 2000

 
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Faits marquants de mercredi, 13 septembre
Les groupes de contact se sont réunis tout au long de la journée pour considérer les thèmes: des effets adverses; du transfert des technologies; du renforcement des capacités; de l'utilisation des sols, modifications intervenues dans l'utilisation des sols et foresterie (LULUCF); des politiques et mesures; des mécanismes; et des lignes directrices devant encadrer les Articles 5 (questions méthodologiques), 7 (communication des informations) et 8 (revue des informations) du Protocole. Le Groupe de Travail Conjoint sur le Respect des Obligations s'est réuni pour poursuivre l'examen du texte des Coprésidents. Des consultations officieuses se sont tenues sur les lignes directrices devant régir le mécanisme de financement.
Photo: Le Groupe de Travail Conjoint sur le Respect des Obligations lors de sa séance nocturne


Le Groupe de Travail Conjoint sur le Respect des Obligations
De droite à gauche: le Coprésident Tuiloma Neroni Slade (Samoa), un membre du Secrétariat, et Coprésident Harold Dovland (Norway)
Délégués dans le Groupe de Travail Conjoint

Au sujet de la soumission des questions touchant à la mise en application, la Fédération de Russie a indiqué que le rôle du Comité Exécutif n'est pas clair et a plaidé pour le maintien des crochets.

Au sujet de la soumission des questions touchant à la mise en oeuvre, l'EGYPTE crocheta le libellé autorisant le comité sur le respect des obligations à recevoir les questions indiquées dans les rapports des EEE concernant l'Article 8 du Protocole..

Glen Wiser, au nom des organisations CIEL et WWF (à gauche), a présenté aux délégués une analyse du nouveau texte CRP.7 et a demandé la permission de le faire circuler.

Au sujet de la procédure d'appel, le SAMOA fit part de ses doutes quant à la nécessité d'une telle procédure, qui risquerait de retarder le processus et donner simplement aux Parties l'occasion de faire entendre leur cause à deux reprises.


Transfert des technologies
Le Président en exercice Anthony Adegbulugbe (au centre) lors de l'examen du texte concernant le transfert des technologies

Le délégué des ETATS-UNIS suggéra que, pour ce qui est des conditions d'éligibilité aux mécanismes, la détermination se fasse conformément aux critères de non-conformité aux obligations figurant dans les Articles 5, 7 et 8. SAMOA souhaita que la formulation ne soit pas limitée aux seuls Articles 5, 7 et 8, mais ouverte aux autres critères élaborés par le groupe sur les mécanismes, tel que celui de "supplementarité". Gauche: Le délégué des Etats-Unis avec des représentantsde l'UE.

Les délégués prenant part au groupe sur le transfert des technologies

EFFETS ADVERSES

Les Parties poursuivirent les délibérations sur le thème Vulnérabilité et Adaptation dans le projet de texte révisé des Coprésidents, consacré à l'Article 4.8 et 4.9 de la CCCC. Les délégués soulignèrent que l'absence de quelque accord sur le chapeau risquait d'avoir des implications sur les débats autour des autres paragraphes.
A gauche:
Le Président du SBI, John Ashe, et Jeff Miotke, négociateur Américain sur la question des effets adverses.

POLITIQUES ET MESURES (P&M)

Les délégués achevèrent leurs discussions autour des éléments devant figurer dans le projet de décision concernant les meilleures pratiques en matière de P&M. Gauche: Président Jose Romero

Photos Divers
La table de la CdP-6 où des renseignements, y compris des détails concernant leur déplacement à La Haye, sont mis à la disposition des participants. Au cours de la CdP-6, les Parties sont invitées par le président désigné, le ministre Jan Pronk, à prendre part au Programme des Jeunes, en incluant des jeunes au sein de leurs délégations. Pour de plus amples informations sur le programme des jeunes et sur la CdP-6, visitez www.climatechange2000.org
Les délégués examinant le texte avant l'ouverture des séances de l'après-midi.

Dans les couloirs...

Certains observateurs ont détecté un sentiment grandissant de frustration et de malaise a mesure que s'égrène le temps imparti aux négociations à Lyon. Le blocage survenu mercredi, au sein du groupe sur les mécanismes, à propos du point de savoir si, oui ou non, il fallait inclure les LULUCF dans le MDP, le fléchissement de l'élan dans le texte consacré au transfert des technologies, et la conclusion que certains estiment décevante, de la réunion sur le thème des P&M, ont contribué à la naissance de certaines préoccupations concernant le manque apparent de progrès.


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