Daily report for 17 August 2010

Mardi, les participants à la CIID 2010 se sont réunis en séance plénière consacrée aux synergies entre les conventions des Nations Unies, puis ont pris part à des réunions d’experts organisées autour des quatre sous-thèmes de la conférence: informations sur le climat, le climat et le développement durable, la gouvernance du climat, la représentation, les droits, l’équité et la justice, et les processus des politiques climatiques. Pendant le déjeuner, ont eu lieu des séances consacrées aux affiches réalisées et à un film de la Banque mondiale intitulé "Hope for a Changing Climate".

SEANCE PLENIERE

LES SYNERGIES ENTRE LES CONVENTIONS DES NATIONS UNIES: Mardi matin, une séance plénière s'est réunie sous la présidence de Luis Alberto Machado Figueiredo, du ministère des affaires étrangères du Brésil. Exprimant l’espoir de voir cette réunion aider à l’établissement du programme du Sommet de Rio +20 de la Terre en 2012, il a rappelé aux participants que les Conventions de Rio (la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique, la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification et la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques) ont toutes pour origine le concept de base du développement durable.

Via un message vidéo, Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la CCNUCC, s'est félicitée du débat sur les synergies entre les Conventions de Rio et a proposé de meilleures pratiques de gestion de l’eau au niveau local comme moyen de rapprochement entre les conventions.

António Magalhães, directeur CIID 2010, a lu un message de Ahmed Djoghlaf, secrétaire exécutif de la CDB, dans lequel il a retracé les liens entre les trois Conventions de Rio, soulignant que les effets du changement climatique affectaient à la fois la gestion durable des terres et la biodiversité. Djoghlaf a appelé à l’intégration des peuples autochtones et des communautés locales dans les pourparlers en cours sur la création de synergies entre les Conventions.

Margarita Astrálaga, du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), a décrit l’évolution du débat sur les synergies dans le cadre de la gouvernance environnementale internationale et a souligné que les Conventions de Rio peuvent s'inspirer d’autres processus dans lesquels l’approche synergique est déjà mise en œuvre, en particulier les conventions sur les produits chimiques et celles conclues dans le cadre de la CDB.

Sergio Zelaya, de la CCD, parlant au nom de Jaime Webbe, CDB, a présenté un exposé sur la diversité biologique, faisant état des appels lancés en faveur d'une coopération accrue entre les conventions au cours de leurs conférences des Parties (COP) respectives et a décrit des initiatives futures, dont les propositions de création d'un groupe de liaison mixte, d'un groupe conjoint d’experts et d'un organisme scientifique commun, ainsi que la tenue d’une session conjointe extraordinaire des CdP des Convention de Rio au cours du prochain Sommet de la Terre Rio+20.

Nora Berrahmouni, de l’Organisation pour l'alimentation et l’agriculture, a parlé des synergies entre les Conventions de Rio dans le cas des forêts des zones arides. Mettant en garde contre la mise en place de plans d’action nationaux parallèles pour les différents secteurs, elle a appelé à des plans d’action intégrés pour s'assurer des ressources de base, de la conservation et préservation des moyens de subsistance, et pour l'atténuation et adaptation au changement climatique. Elle a recommandé une collaboration aux niveaux national et régional, des plans de gestion durable des terres au niveau des paysages (par exemple au niveau des bassins versants), l’extension des projets réussis et des systèmes de surveillance intégrée communs entre les conventions, ainsi que des financements durables.

Au sujet des ripostes au changement climatique en Amérique latine, Walter Vergara, de la Banque mondiale, a fait état de trois "points chauds" particulièrement vulnérables au climat, faisant actuellement face à des défis: l’Amazonie, les Andes et le biome de corail dans les Caraïbes. Il a souligné l’importance de mieux comprendre les coûts et les avantages des diverses approches d’adaptation et a signalé que le financement accordé actuellement à l’adaptation a une portée limitée.

Luc Gnacadja, secrétaire exécutif de la CCD, a déclaré que la question des synergies "ressemblait à un fantôme - tout un chacun en sent le besoin, sans qu'elle ne se soit jamais concrétisée dans le réel", et a appelé à la "démolition des tours d’ivoire" qui entourent les processus de mise en œuvre au sein des conventions. Il a appelé à un investissement accru dans la gestion durable des eaux et des sols aux fins de s'assurer de la sécurité alimentaire, de réduire la vitesse des changements climatiques, d’atténuer la sécheresse et d’éviter l'érosion de la diversité biologique.

Dans le débat qui a suivi, les participants ont abordé, entre autres: le potentiel de la sécurité alimentaire dans les zones arides, les problèmes rencontrés dans le biome de la Caatinga au Brésil, la nécessité d’accroître la participation de la société civile dans les discussions sur les synergies, l’importance des échanges d’informations sur le travail des Conventions de Rio, et l’intégration des droits de l’homme dans le débat sur les synergies.

Le matin et l’après-midi, 18 tables rondes thématiques se sont réunies pour examiner les questions liées à l’adaptation aux changements climatiques, à la vulnérabilité et au développement durable. Outre ces grands thèmes, les groupes d'experts ont abordé des études de cas particuliers et certains se sont centrés sur des éléments tels que les ressources génétiques, le secteur de la santé, les indices de pauvreté, la télédétection, le rôle de la culture et de l’éducation. Une sélection de tables rondes est présentée ci-dessous.

LES SEANCES THEMATIQUES

SESSION 2.1.3 LA VULNERABILITE, LES IMPACTS ET L'ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LES REGIONS SEMI-ARIDES: Au cours de la séance du matin, Jürgen Kropp, de l'Institut de la recherche sur les effets du changement climatique de Potsdam, Allemagne, a soutenu qu’il ya un problème de gestion des connaissances sur le changement climatique, à savoir, que la collecte des données, à elle seule, ne suffit pas, et que les expériences doivent être partagées et les connaissances complexes doivent être interprétées pour les décideurs".

Paulo Nobre, de l'Institut national de la recherche spatiale, Brésil, a indiqué que des études suggéraient que le changement climatique transformera le Nord-est du Brésil en une région plus chaude et plus aride, avec des précipitations irrégulières, une perte de production agricole et des incidences négatives sur l’emploi. Il a suggéré des mesures de riposte telles que la création de programmes d’emploi axés sur la récupération du paysage naturel du biome de Caatinga, le reboisement des rives et la promotion de l’irrigation à l’énergie solaire des cultures de rente.

Otamar de Carvalho, économiste, Brésil, a examiné l’effet disproportionné des sécheresses, des inondations et des variations climatiques sur les agriculteurs pauvres dans la région semi-aride du Nord-est. Il a également expliqué la manière dont une grande partie de la production économique et de la population du Nord-est touchée par la désertification.

Utilisant des exemples en provenance du Brésil, de la Chine, d’Haïti et d’Afrique subsaharienne, Johann Gnadlinger, de l'Institut régional pour l'agriculture à petite échelle appropriée (IRPAA), Brésil, a parlé de la possibilité de recourir à diverses formes de collecte des eaux pluviales dans l’adaptation au changement climatique.

Jagadish Baral, du ministère des forêts et de la conservation des sols, Népal, a parlé des impacts positifs et négatifs du changement climatique sur la plaine semi-aride de Mustang au Népal.

SESSION 2.1.4 L'IMPORTANCE DE LA COMMUNAUTE, DE LA CULTURE, DE L'IDENTITE ET DE L'EQUITE DANS LES STRATEGIES D'ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE: Carol Farbotko, de l'Université de Wollongong, Australie, évoquant les récits des réfugiés climatiques, a signalé que le réchauffement de la planète allait probablement augmenter la migration des réfugiés climatiques. Elle a déploré les politiques "réactionnaires" envers les réfugiés climatiques confrontés à des catastrophes naturelles, en particulier celles qui réduisent les transits transfrontaliers. Elle a souligné le besoin d’outils équitables pour l'évaluation des processus de migration climatique. Julien Rebotier, de l'Université du Québec, Canada, présentant un exposé sur la justice et le changement climatique dans les villes d’Amérique latine, a souligné que la croyance en le changement climatique ne repose pas sur la "foi", car le changement climatique est un phénomène mesurable. Il a déploré le manque de connaissances détaillées sur le climat, au niveau local, pour s'assurer d'une adaptation efficace.

Jonathan Ensor, de l'organisation Practical Action, Royaume-Uni, parlant de l’adaptation et de la culture communautaire, a signalé que les normes sociales et la culture peuvent entraver les processus d’adaptation.

Soulignant que la culture pouvait déterminer des opportunités de changement, il a indiqué que l'adaptation pouvait faire partie intégrante du contexte culturel local. Renata Teixeira Marson de Andrade, de l'Université catholique de Brasilia, Brésil, présentant avec Andrew Miccolis, ComSensos Consultoria, Brésil, un exposé sur la vulnérabilité au changement climatique au Brésil, a indiqué que le plan anti changement climatique du Brésil mettait l’accent sur l’utilisation des carburants renouvelables et sur l’utilisation accrue des biocarburants. Elle a déploré le manque d’études évaluant les impacts et les vulnérabilités au sein des communautés locales, et l’absence de recommandations sur les bonnes stratégies d'adaptation.

SESSION 2.3.1 DEVELOPPEMENT DES REGIONS SEMI-ARIDES: Anthony Galvão, du Centre de gestion et d'études stratégiques (CGEE), Brésil, a présidé la séance sur le développement des régions semi-arides. Lisant un message d’Ignacy Sachs, du Centre de recherche sur le Brésil contemporain, France, Galvão a souligné que l’humanité est face à deux grands défis: la pauvreté et le changement climatique. Il a affirmé que la coopération scientifique et écologique est importante et a fait remarquer que les idées et les stratégies d’adaptation devraient continuer à être partagées entre les cultures et les régions. Il a proposé de lancer aux architectes et urbanistes le défi de repenser la conception des villes et de l'habitat dans le cadre du nouveau paradigme de la prise de conscience climatique.

Ivan Silva Lire, de la commission économique pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), parlant des régions semi-arides d’Amérique latine, a indiqué que 11% des régions économiquement actives génèrent 55% du produit intérieur brut, précisant que ces régions sont caractérisées par l’inégalité. Il a signalé que les régions à forte croissance exploitaient des ressources naturelles liées à l’économie mondiale. Tania Bacelar, Université fédérale de Pernambuco, Brésil, a indiqué qu’il y avait plus d’opportunités que de menaces dans le traitement du changement climatique. Elle a signalé que les régions semi-arides du Brésil sont confrontées à une baisse des rendements agricoles et à une urbanisation croissante. José Eli da Veiga, de l'Université de Campinas, Brésil, a appelé à des échanges efficaces des connaissances, à la mise en place d'incitations et au transfert de technologie dans la région aux fins d’accroître l’activité économique des collectivités. Il a souligné, toutefois, que le prix des technologies doit baisser en vue d’accroître l’acceptation et l’utilisation des nouvelles technologies.

SESSION 2.3.5 GOUVERNANCE DE L’EAU DANS LES ZONES ARIDES: Au cours de la séance présidée par Paulo Varella, de l'Agence Nationale des Eaux (ANA), Brésil, les conférenciers ont parlé de mesures visant à relever les défis posés à la gouvernance de l’eau dans les zones arides.

Ricardo Andrade, ANA, Brésil, a décrit le programme PROÁGUA au Brésil, qui a créé des systèmes d'échange d’informations et de surveillance, créé des capacités et renforcé et promu règlements et institutions dans le domaine de la gestion de l’eau. Evoquant les enseignements tirés de la coopération américano-mexicaine dans la gestion fluviale conjointe dans le bassin du Rio Grande, Jurgen Schmandt, de l'Université du Texas, Etats-Unis, a précisé que, sauf en période de sécheresse, la coopération a bien fonctionné, mais s’est dit inquiet du fait qu’elle risquait de s'avérer inefficace avec l'aggravation des impacts climatiques. Il a signalé que les régimes de gestion fluviale conjointe ne traitaient, généralement, pas de la gestion des eaux souterraines ou des eaux en amont, mais qu'ils devraient le faire.

Benjamin Ngounou Ngatcha, de l'Université de Ngaoundéré, Cameroun, a parlé des nombreux défis posés à la gestion durable des ressources en eau du bassin du lac Tchad, dont, de grandes lacunes au niveau de la recherche, la pression démographique et l'absence de planification et de coopération transfrontière. Oscar Buitrago Bermúdez, de l'Université de Valle, Colombie, a parlé du rôle du territoire, du zonage territorial et de la gouvernance dans le domaine de la gestion des ressources en eau, soulignant la nécessité de s’assurer de la participation active des communautés autonomes dans la gouvernance de l'eau et du territoire.

Otamar Carvalho, économiste, Brésil, a parlé de la gouvernance de l’eau comme étant un enjeux d’équilibre entre l’approvisionnement et la demande en eau. Il a indiqué que l’analyse de l'évolution démographique de la région semi-aride du Nord-est brésilien montrait une baisse dans les zones rurales et une croissance importante dans les zones périurbaines, soulevant des interrogations quant à l’efficacité des politiques visant à maintenir les agriculteurs dans les zones semi-arides.

SESSION 2.4.2 LA VULNERABILITE ET L'ADAPTATION EN AFRIQUE ET EN AMÉRIQUE LATINE: Mardi après-midi, un groupe d'experts présidé par David Miano Mwangi, Programme de recherche sur les zones arides et semi-arides du Kenya, (Kasal), s'est réuni. Maria Carmen Beltrano, Conseil italien de la recherche agricole, Italie, a présenté un exposé sur l’innovation dans le domaine de la gestion du bétail dans le système italien de prévision et d'alerte de grosse chaleur et a décrit l'indice d’humidité efficace qui a été utilisé pour la prévision des événements de chaleur extrême et qui a permis d'éviter aux agriculteurs des pertes de bovins laitiers.

David Barkin, de l'Université métropolitaine autonome, Mexique, a présenté un exposé sur les nouvelles stratégies de durabilité des bâtiments, soulignant la nécessité de passer de la science traditionnelle à une "ruralité communautaire nouvelle" qui exige une plus grande participation de la communauté et qui encourage la création de richesses et la préservation de l’environnement.

Présentant un exposé sur le rôle des marchés dans la lutte contre le changement climatique dans les terres arides et semi-arides du Kenya, David Miano Mwangi, KASAL, a souligné la nécessité d’une "commercialisation durable" dans le cadre du programme de développement durable.

Frédéric Kahimba, de l'Université agronomique de Sokoine, Tanzanie, a parlé de l'importance des réponses adaptatives traditionnelles et conventionnelles viables face à la sécheresse, et a conclu que durant les événements climatiques extrêmes, les pratiques agronomiques classiques doivent être maintenues.

Stephen Mureithi, de l'Université de Nairobi, Kenya, a décrit un projet participatif visant à former les communautés du nord-ouest du Kenya dans l’amélioration des techniques de planification de l’utilisation des ressources. Il a appelé à une approche locale pour la gestion du cycle de la sécheresse et à une approche régionale pour la gestion des ressources partagées.

SESSION 2.4.6 LES IMPACTS ET L'ADAPTATION DANS L’AGRICULTURE: Justine Ngoma, ZBU, Zambie, a parlé des mesures d’adaptation mises en œuvre dans le secteur de l’agriculture face au changement climatique en Zambie. Elle a indiqué que les premières réponses politiques à l’adaptation ont englobé une diversification des cultures, le recours à des cultures résistantes à la sécheresse, des techniques agricoles de conservation et l’amélioration des services de vulgarisation agricole.

Christina Rosera, ministère de l’Agriculture, de l’élevage, de l’aquaculture et des pêches, Equateur, a mis l'accent, entre autres, sur les défis posés par les écosystèmes touchés par l’agriculture non planifiées et par l’accès limité à l’eau. Elle a souligné l’importance de la démocratisation de l’accès aux ressources productives (terres, eaux et crédits) et des processus participatifs qui sont culturellement acceptables.

Au sujet de l’agriculture communautaire, Ganesh Parida, du Centre de la jeunesse et du développement social, Inde, a expliqué qu'il s'agissait là d'une pratique de l’agriculture durable respectueuse de l’environnement, qui favorise la bonne utilisation des terres, assure la sécurité alimentaire des familles pauvres et crée un espace pour l’adaptation technologique.

Steven Nagume, de l'organisation Coalition pour l'action sur les changements climatiques, Ouganda, a souligné les défis posés à l’adaptation de l'agriculture au changement climatique, dont la nature latente et lente des effets observés, l'absence de données de référence, l'utilisations concurrente des terres et l'absence de plans complets de gestion spécifiques aux différents secteurs. Il a fait état de stratégies d’adaptation, y compris de pratiques de gestion du cheptel.

José Lemos, de Université fédérale de Ceará, au Brésil, a parlé des effets des variations de la pluviométrie sur la production agricole dans l’État du Ceará. Peter Odjugo, de l'Université du Bénin, Afrique de l’Ouest, a parlé des défis posés à l'agriculture, précisant que les changements actuels exigent une très grande capacité d’adaptation. Il a appelé à des investissements dans l’irrigation, à l’utilisation de cultures résistantes à la sécheresse, à l'élaboration de politiques nationales de lutte contre le changement climatique et à la fourniture aux agriculteurs d'informations adéquates sur le changement climatique et les stratégies d’adaptation.

Le Bulletin de la CIID est une publication de l’Institut international du développement durable (IIDD) <info@iisd.ca>, éditeurs du Earth Negotiations Bulletin © <enb@iisd.org>. Ce numéro a été rédigé par Tallash Kantai, Kate Louw, Keith Ripley, et Anna Schulz. Edition numérique: Angeles Estrada. Traduction française: Mongi Gadhoum. Chef de la rédaction: Leonie Gordon <leonie@iisd.org>. Directeur du Service Information de l’IIDD: Langston James “Kimo” Goree VI <kimo@iisd.org>. Le financement de la couverture de cette réunion a été fourni par l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture (IICA). L’IIDD peut être contacté au 161, Portage Avenue East, 6th Floor, Winnipeg, Manitoba R3B 0Y4, Canada, tél: +1-204-958-7700; fax: +1-204-958-7710. Les opinions exprimées dans le Bulletin appartiennent à leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de l’IIDD. Des extraits du Bulletin peuvent être utilisés dans d’autres publications moyennant une citation appropriée. Les versions électroniques du Bulletin sont transmises par courriel aux listes de distribution (format HTML et PDF) et sont accessibles sur les liens du serveur WWW à <http://enb.iisd.org/>. Pour plus de précisions sur le Bulletin, y compris pour ce qui est des demandes de prestation de services, contacter le Directeur du Service information de l’IIDD par courriel à <kimo@iisd.org>, par téléphone au +1-646-536-7556 ou par voie postale au 300 East 56th St., 11A, New York, New York 10022, Etats-Unis d’Amérique. L’équipe de l’IIDD à la CIID 2010 est joignable par courriel à <anna@iisd.org>.

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