Vingtièmes sessions des Organes Subsidiaires de la Convention- Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques #4 BULLETIN DES NEGOCIATIONS DE LA TERRE PUBLIE PAR L'INSTITUT INTERNATIONAL DU DÉVELOPPEMENT DURABLE (IIDD) Serveur WWW 'Linkages': http://enb.iisd.org CE NUMERO A ETE REDIGE PAR: Emily Boyd, Ph.D. María Gutiérrez Dagmar Lohan, Ph.D. Lisa Schipper Anju Sharma Version Française: Mongi Gadhoum Editrice en Chef: Pamela S. Chasek, Ph.D. Directeur de la Publication: Langston James "Kimo" Goree VI Vol. 12 No. 236 Samedi 19 juin 2004 En Ligne sur http://enb.iisd.org/climate/sb20/ LES FAITS MARQUANTS DES OS-20 DE L'UNFCCC: VENDREDI 18 JUIN 2004 Vendredi, les délégués aux OS-20 se sont réunis dans plusieurs groupes de contact et dans un atelier en session de l'OSAST. Les groupes de contact ont procédé à l'examen de l'Article 6 de l'UNFCCC (sensibilisation, formation et conscientisation du public), des arrangements prévus pour les réunions intergouvernementales, du renforcement des capacités, de la mise en œuvre de la décision 5/CP.7 (mise en application de l'Article 4.8 et 4.9 de l'UNFCCC, concernant les effets défavorables), du transfert des technologies, et des bonnes pratiques (DBP) dans le domaine de l'UTCUTF. L'atelier en-session a entendu des exposés sur les aspects scientifiques, techniques et socioéconomiques des effets des, et sur la vulnérabilité et l'adaptation aux, changements climatiques. GROUPES DE CONTACT DU SBI ARTICLE 6 DE L'UNFCCC: Ce groupe de contact a été présidé par Markus Nauser (Suisse), qui a encouragé les Parties à fournir au Secrétariat, des directives concernant l'élaboration du mécanisme d'échange relatif aux activités inscrites dans le cadre de l'Article 6. Le Secrétariat a présenté le site Internet du réseau d'information de l'UNFCCC, qui contient un modèle réduit du mécanisme d'échange (http://test.unfccc.int/). Les Parties ont ensuite débattu de la question de l'audience cible du mécanisme d'échange, des domaines de focalisation de la première phase des travaux, et des modules d'approvisionnement et d'entretien des données sur le site. Le G-77/CHINE a souligné le besoin d'aider les Parties qui ne disposent pas de sites nationaux. L'UE et la NAMIBIE ont suggéré que la première phase des travaux doive cibler les Parties. Plusieurs Parties ont plaidé pour des nodules de dimension régionale et sous-régionale, pour l'approvisionnement et l'entretien des données. Le délégué des Etats-Unis a encouragé l'implication des institutions disponibles, pour remplir ces rôles. LES ARRANGEMENTS PREVUS POUR LES REUNIONS INTERGOUVERNEMENTALES: Ce groupe de contact a été présidé par Karsten Sach (Allemagne). Les participants ont décidé qu'étant donné que les vues concernant l'inclusion de la deuxième évaluation de l'adéquation des engagements relevant de l'Article 4.2 (a) et (b) de l'UNFCCC sont bien connues, le Président Sach demande au Secrétariat de prendre note de la discussion du SBI, menée en plénière la journée du jeudi 17 juin, notamment sur la note de bas de page proposée par le G-77/Chine. S'agissant des arrangements prévus pour la CdP-10, les délégués ont débattu du calendrier, de la structure et des thèmes possibles de la réunion de haut niveau. L'ARGENTINE et la SUISSE ont déclaré que les thèmes devraient susciter l'intérêt des ministres et des délégués. Les Parties ont débattu du thème proposé concernant l'énergie et les changements climatiques, avec l'ARABIE SAOUDITE mettant en garde contre une focalisation sur le seul secteur de l'énergie. Au sujet de l'organisation du processus intergouvernemental, les délégués ont débattu des dates de l'atelier suggéré, plusieurs Parties soulignant l'importance de cet atelier. Au sujet de la participation effective dans le processus de l'UNFCCC, l'UE et le JAPON ont présenté leurs vues sur les options listées par le Secrétariat, offertes pour la promotion de la participation des ONG et des peuples autochtones. Le Président Sach a indiqué que la question du statut d'observateur auprès du Comité Exécutif du MDP est régulée par la décision en vigueur de la CdP (décision 21/CP.8 concernant le CE du MDP). LE RENFORCEMENT DES CAPACITES: Ce groupe de contact était présidé par Dechen Tsering (Bhutan), qui a énuméré les éléments éventuels devant figurer dans le projet de conclusions qui sera mis à la disposition des participants, avant la prochaine réunion du groupe de contact. Elle a invité les participants à suggérer les éléments devant figurer dans le projet de décision de la CdP. Les discussions ont été axées sur, entre autres: les synergies avec les autres conventions de Rio; les éléments du papier technique concernant le champ d'application et l'efficacité du renforcement des capacités, y compris les indicateurs applicables aux projets de renforcement des capacités; et la pertinence des Auto-évaluations des Capacités Nationales pour la détermination des besoins en matière de capacités, dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques. MISE EN ŒUVRE DE LA DECISION 5/CP.7: Ce groupe de contact était coprésidé par Paul Watkinson (France) et Mohamed Mahmoud Ould El Ghaouth (Mauritanie). Le Coprésident Watkinson a indiqué que la négociation du texte transmis par la SBI-19 constituera une plate-forme pour les discussions. Le KENYA, au nom du G-77/Chine, a suggéré de réorganiser le document en y insérant des sous-titres, et de faire circuler le texte avec les modifications et les adjonctions proposées. Plusieurs Parties, dont l'UE et les ETATS-UNIS, ont apporté leur appui à la proposition de réorganiser le texte, les ETATS-UNIS faisant circuler, également, une proposition. Les délégués ont travaillé à la suppression des crochets, et ont présenté les modifications et les adjonctions, consistant, entre autres, en: un document de synthèse consacré aux soumissions concernant les activités visant à répondre aux circonstances et aux besoins particuliers des pays en développement Parties, découlant des effets défavorables des changements climatiques et des mesures de réponse; un appel à la soumission des vues sur l'assurance et les mesures de risque; la tenue d'ateliers régionaux; et la mobilisation des ressources techniques et financières. Le Coprésident Watkinson a invité les délégués à examiner et à se concerter sur les nouvelles propositions, avant la prochaine réunion du groupe de contact. LES GROUPES DE CONTACT DE L'OSAST LE TRANSFERT DES TECHNOLOGIES: Le groupe de contact a procédé à l'examen des projets de conclusions. Au sujet du libellé consacré aux résultats de l'enquête de TT:CLEAR, l'UE, avec le JAPON et le CANADA, s'est opposée à l'insertion d'une référence aux résultats spécifiques et a suggéré de, plutôt, faire état de l'enquête d'une manière générale. Le GHANA, au nom du G-77/Chine, appuyé par l'OUGANDA, a préféré le maintien du libellé d'origine, reflétant que le site Internet est utilisé légèrement par les Parties non-visées à l'Annexe I. La CHINE, appuyée par le G-77/CHINE, a suggéré de faire référence aux chiffres illustrant l'usage du site, dans les prochains projet de conclusions. Le délégué des ETATS-UNIS, appuyé par l'UE et le CANADA, et contré par le G-77/CHINE, a proposé de faire état de l'enquête et de l'utilité de son feedback et de ses recommandations, y compris la préoccupation concernant le fait que le site soit légèrement utilisé par les Parties non-visées à l'Annexe I. La discussion autour de ce paragraphe a été suspendue. Au sujet du libellé consacré à l'atelier sur le financement innovant, la THAILANDE, appuyée par le G-77/CHINE, et contrée par les ETATS-UNIS, l'UE, le CANADA, la SUISSE et le JAPON, a suggéré d'appeler l'atelier à engendrer des propositions concrètes sur le financement des mécanismes relevant de l'Article 4.5 de l'UNFCCC (transfert des technologies). Les ETATS-UNIS, le CANADA et la SUISSE ont argué que la formulation proposée est restrictive. Le Coprésident Andrej Kranjc a invité les Parties intéressées à mener des consultations informelles sur ce sujet. LES DBP DANS LE DOMAINE DE l'UTCUTF: Au sujet des définitions et des thèmes méthodologiques ayant trait à la dégradation des forêts, aux pertes de végétation et à d'autres types de végétation, l'AUSTRALIE et d'autres ont apporté leur appui à l'idée de débattre de la question dans le cadre du dialogue sur les seconds engagements. TUVALU, avec le BRESIL, a suggéré la conduite d'une discussion continue sur ce thème. Au sujet des facteurs à soustraire, l'AUSTRALIE a fait circuler un texte appelant à un dialogue tourné vers l'avenir, adoptant une approche élargie pour les questions ayant trait à l'UTCUTF. Les ETATS-UNIS, le CANADA, le JAPON et la NOUVELLE ZELANDE ont apporté leur appui à cette approche exhaustive. L'UE, TUVALU et le BRESIL ont préféré une approche focalisée, et ont suggéré de tenir, après la CdP-10, un atelier technique consacré à l'examen des soumissions faites par les Parties, et éventuellement au traitement du problème de dé-végétation et de dégradation des sols. Le Coprésident William Kojo Agymang-Bonsu a indiqué que les Coprésidents élaboreront un nouveau libellé. Les Parties ont également débattu des projets de conclusions concernant les produits ligneux de récolte. L'ATELIER EN-SESSION DE L'OSAST Le Président de l'OSAST, Benrageb, a présidé cet atelier. PREMIERE SESSION: COMMENT LES RISQUES LIES AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES PEUVENT-ILS ËTRE EVALUES? Introduisant le sujet, Zbigniew Kundzewicz, de l'Académie des Sciences de Pologne, a défini les concepts of vulnérabilité, de risque et d'adaptation aux changements climatiques. Il a fait état des taux croissant d'élévation des températures et des effets globaux défavorables qui en découlent. Roger Jones, des services de Recherche Atmosphérique de l'Organisation du Commonwealth pour la Recherche Scientifique et Industrielle, Australie, a parlé du caractère adapté de l'évaluation des risques pour nous informer des besoins en matière d'adaptation, et a appelé à une évaluation focalisée des potentialités adaptatives des différentes activités. Mahendra Shah, de l'Institut International des Systèmes d'Analyse Appliquée, a présenté une étude sur les effets exercés par les changements climatiques sur l'agriculture. Il a mis en exergue les effets sévères exercés en Afrique du Sud, attirant l'attention sur l'inégalité des effets entre les pays. Xuedu Lu, du Ministère Chinois des Sciences et Technologies, a présenté un exposé sur les méthodologies utilisées dans les études d'impact des changements climatiques, en Chine. Il a souligné le nombre d'incertitudes découlant des modèles et des méthodes, et a appelé l'OSAST à promouvoir la recherche et la mise au point d'outils d'évaluation dans les pays en développement. Dagmar Schröter, de l'Institut de Potsdam de Recherche sur l'Impact des Changements Climatiques, a présenté un rapport exposé sur les méthodes utilisées pour l'évaluation de la vulnérabilité européenne aux changements climatiques, et a fourni les résultats préliminaires, indiquant que d'ici 2050, les conséquences générales des changements climatiques en Europe seront défavorables. Elle a souligné l'importance du dialogue entre la science et la politique. Dans le débat qui a suivi, les participants ont traité, entre autres: des questions ayant trait aux échelles spatiale et temporelle, des incertitudes en tant que partie intégrante des progrès scientifiques, l'absence de mécanismes d'assurance, dans les PEID, et des perceptions du risque. DEUXIEME SESSION: COMMENT LE RISQUE LIE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES EST-IL PERÇU? Donald Lemmen, de Natural Resources Canada, a déclaré que la perception des risques et les capacités adaptatives varient. Il a souligné que la vulnérabilité au climat actuel, aux échelons local et régional, et l'engagement des décideurs, sont centraux pour l'amélioration de la prise de conscience. Lourdes Tibig, de l'Administration des Services Atmosphériques, Géophysiques et Astronomiques Philippins, a déclaré que les inondations, les cyclones tropicaux, les éclats de tempêtes, les pluies et les sécheresses des moussons, sont les principaux risques posés aux Philippines. Elle a décrit les risques posés par les changements climatiques aux secteurs de l'agriculture, de l'alimentation et de la santé, et des littoraux et ressources en eau. Antonio Queface, de l'Université Eduardo Mondlane, au Mozambique, a décrit la vulnérabilité du Mozambique aux cyclones tropicaux, aux inondations et aux sécheresses, qui sont aggravés par la situation géographique du pays, l'aptitude limitée à prévoir les événements extrêmes, les capacités réduites de s'adapter aux catastrophes naturelles, et une grande variabilité climatique. Dans le débat qui a suivi, TUVALU a demandé si un groupe d'experts sur l'assurance des risques, pouvait faire avancer le processus de l'UNFCCC. Il a également demandé comment les modèles de gestion des risques pouvaient être rendus sensés à l'échelon local. Lemmen a suggéré de se focaliser sur les domaines les plus exposés à la vulnérabilité. NIUE a souhaité en savoir davantage sur la manière dont la résistance pouvait être accrue. Lemmen a répondu que des enseignements pouvaient être tirés du processus d'édification de la résistance. TROISIEME SESSION: ADAPTATION ET DEVELOPPEMENT DURABLE: Saleemul Huq, de l'Institut International pour l'Environnement et le Développement, Royaume-Uni, a déclaré que la planification de l'adaptation devrait être basée sur les données disponibles, et a souligné l'importance de la communauté du développement. Shardul Agrawala, de l'Organisation pour la Coopération et le Développement Economique, a déclaré que l'adaptation n'est pas toujours effectuée en synergie avec les processus de développement, et a souligné que des processus sont déjà en cours dans divers secteurs. Il a indiqué que les nouveaux plans ne peuvent pas être mis en œuvre de manière efficace si les archives de la mise en application des plans passés, sont indigentes. Mohamed El-Raey, de l'Université d'Alexandrie, en Egypte, a parlé des mesures d'adaptation prise par l'Egypte. Il a souligné l'importance d'une adaptation anticipante et spécifique. Ko Barret, de l'Agence des Etats-Unis pour le Développement International, a donné un aperçu sur les efforts fournis par l'organisation pour l'intégration de la prise de conscience des risques liés au climat, dans les projets. Elle a souligné que l'objectif consiste à améliorer la prise de conscience chez les gestionnaires des projets, du fait que l'intégration des préoccupations d'adaptation assure la résistance des projets à long terme. Dans le débat qui a suivi, l'ARABIE SAOUDITE a encouragé le traitement de l'adaptation aux mesures de réponse. TUVALU a signalé que le manque de capacités institutionnelles peut affecter la mise en œuvre des plans d'adaptation. L'OUGANDA a rappelé que les projets sont tributaires du financement, et a signalé que de nombreux pays sont actuellement incapables de poursuivre l'adaptation, en raison de l'absence de financement. Huq a précisé qu'une avancée sur ce sujet devrait être assurée sous peu. Le RESEAU CLIMATE ACTION a appelé à des fonds nouveaux et supplémentaires pour l'adaptation, et a parlé des synergies, dans le domaine de l'adaptation, entre les parties prenantes, les institutions et les processus. QUATRIEME SESSION: SOLUTIONS ET OPPORTUNITES: Anthony Nyong, de l'Université de Jos, au Nigeria, a présenté un rapport sur l'adaptation aux sécheresses, dans les foyers ruraux des régions semi-arides du Nigeria. Il a déclaré que les vues des parties prenantes locales doivent être prises en considération, pour l'élaboration de mesures d'adaptation réussies. Nagmeldin Elhassan, du Haut Conseil de l'Environnement et des Ressources Naturelles, au Soudan, a partagé les leçons apprises du processus d'adaptation soudanais. Il a souligné que des actions de renforcement des capacités adaptatives et d'amélioration des capacités de résistance sont nécessaires pour réduire la vulnérabilité. Ahsan Ahmed, du Centre Unnayan Parishad des Eaux et de l'Environnement, au Bangladesh, a parlé des leçons apprises du processus d'adaptation au Bangladesh. Il a souligné que les projets devraient viser: à encourager les communautés à procéder à la détermination des causes de leur vulnérabilité; à inclure les discussions menées au niveau du terrain, concernant les solutions autochtones; à cibler l'intervention aux différents niveaux de gouvernance; et à viser des solutions à long terme. Carmenza Robledo, de l'organisation Inter-coopération, en Suisse, a parlé de la gestion communautaire des ressources naturelles, en tant qu'instrument d'accroissement de la résistance. Elle a décrit l'étude menée sur une douzaine d'initiatives communautaires, promues par Inter-coopération, concluant que l'accroissement des capacités d'adaptation requiert la mise en place de cadres institutionnels aux échelons national et sous-national et des méthodologies à l'échelon local. Serge Planton, de Météo France, a parlé de l'adaptation à la vague de chaleur qui a traversé la France, en 2003. Il a souligné que l'adaptation aux vagues de chaleur requiert une combinaison des différents niveaux de la prise de décision, assortie d'une coordination nationale. Dans le débat qui a suivi, CUBA a demandé si la prévision météorologique ne pouvait pas prévenir les effets de la vague de chaleur. Planton a expliqué qu'il y a eu manque de communication entre les institutions. Le porte-parole de la STRATEGIE INTERNATIONALE POUR LA REDUCTION DES CATASTROPHES a dressé des parallèles entre l'adaptation et la gestion des catastrophes. CONCLUSIONS: Le Président Benrageb a indiqué que les conclusions de l'atelier seront présentées à l'OSAST, lundi 21 juin. DANS LES COULOIRS La présence de haut niveau dans le groupe de contact sur les arrangements devant encadrer les réunions intergouvernementales et le débat animé mené sur le format du segment de haut niveau, ont suscité des spéculations quant à l'importance accordée par les gouvernements, à l'attraction de nombreux chefs d'Etat et de ministres, à l'occasion du dixième anniversaire de l'UNFCCC. En attendant, plusieurs délégués ont présenté leurs commentaires sur la réussite de l'atelier en-session consacré à l'adaptation. A SUIVRE AUJOURD'HUI GROUPES DE CONTACT: Le groupe de contact sur les communications nationales des Parties non-visées à l'Annexe I se réunira à 10h dans la Salle Haydn. Le groupe de contact sur le renforcement des capacités se réunira à 11h30, dans la Salle Liszt. Le groupe de contact sur la mise en application de la décision 5/CP.7 se réunira à 15h dans la Salle Haydn. ATELIER EN-SESSION DE L'OSAST: Cet atelier, qui se déroulera de 10h à 18h dans la Salle Plénière II, planchera sur la vulnérabilité et le risque, le développement durable, les opportunités et les solutions ayant trait à l'atténuation des changements climatiques. Ce numéro du Bulletin des Négociations de la Terre © , a été rédigé par Emily Boyd, Ph.D.; María Gutiérrez; Dagmar Lohan, Ph.D.; Lisa Schipper; et Anju Sharma. Editition numérique: Francis Dejon et Leila Mead. Direction d'équipe: Lisa Schipper . Version française: Mongi Gadhoum . Editrice en chef: Pamela S. Chasek, Ph.D. . Directeur du Service Information de l'IISD: Langston James “Kimo” Goree VI . Les principaux bailleurs de fonds du Bulletin sont: Le gouvernement des Etats-Unis (à travers le Bureau des océans et des affaires environnementales et scientifiques internationales du département d'Etat américain), le gouvernement du Canada (à travers l'ACDI), l'agence suisse de l'environnement, des forêts et des paysages (SAEFL), le Royaume-Uni (à travers le DFID), le ministère danois des affaires étrangères, le gouvernement allemand (à travers les ministères de l'environnement (BMU) et de la coopération pour le développement (BMZ)), et le ministère néerlandais des affaires étrangères. Un soutien général a été accordé au Bulletin, au titre de l'exercice 2004, par: le PNUE, le gouvernement australien, le ministère fédéral autrichien de l'agriculture, des forêts, de l'environnement et de la gestion des eaux, les ministères suédois de l'environnement et des affaires étrangères, le ministère norvégien des affaires étrangères, Swan International, le ministère nippon de l'environnement (à travers l'IGES) et le Ministère nippon de l'économie, du commerce et de l'industrie (à travers GISPRI). La version française est financée par le ministère français des affaires étrangères et l'IEPF/OIF. Les opinions exprimées dans le Bulletin appartiennent à leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de l'IIDD et des bailleurs de fonds. Des extraits du Bulletin peuvent être utilisés uniquement dans des publications non commerciales moyennant une citation appropriée. 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