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PLENIERE DE L'APRES-MIDI

Dr. SADIK déclara avoir été surprise par la récente controverse soulevée par le Programme d'Action et le processus de négociation. Elle expliqua que chaque pays déçide pour lui-même les recommendations dans le texte correspondant à ses besoins et la manière de les interpréter. Elle déclara aussi que le principe de souveraineté contitue une base pour le texte en son entier et la formulation du document est faite de manière à être acceptable dans un éventail le plus large possible d'approches à la question de population. Elle exprima son espoir de voir tous les pays représentés parvenir à un accord. Elle ajouta que la signification de cette Conférence dépendra de l'efficacité avec laquelle les engagements seront traduits en action. Ensuite des déclarations générales furent données par les représentants de l'Algérie, au nom du G-77, l'Allemagne, au nom de l'UE, le Mexique, la Chine, le Kenya, l'Argentine, le FMI, le Tuvalu, le Chili et l'Espagne. Tous ces pays soulignèrent les changements intervenus dans la situation de la population depuis la dernière Conférence sur la Population et firent référence à la centralité de l'être humain; à la mondialisation du problème; et à leurs particularités sociales et culturelles. Nombre de délégués réitérèrent leur opposition à l'avortement.