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PLENIERE

La Plénière examina le point 3(b) de l'ordre du jour (autres déclarations). L'IRAN annonça sa ratification de la CCCC. Le délégué déclara, par ailleurs, que le SRE apporte la confirmation qu'il n'est pas possible d'établir un lien entre l'évolution climatique et les émissions de gaz à effet de serre (GHG). La TURQUIE déclara n'avoir pas encore signé la CCCC car son statut de pays développé ou pays en développement n'était pas fixé. L'AFRIQUE DU SUD déclara que son processus de ratification a été lent et qu'un inventaire des émissions intérieures était en cours. L'ONUDI donna un aperçu sur son assistance technique en matière d'inventaire des technologies et sur le soutien apporté à un atelier organisé par le SBSTA.

L'OPEC déclara que le PICC a "enfreint les règles" en impliquant dans ses conclusions qu'il y avait un consensus entre les scientifiques. Elle appela à la compensation de tout préjudice économique découlant de l'application de la CCCC. La NATIONAL ASSOCIATION OF REGULATORY UTILITY COMMISSIONERS demanda aux Parties d'encourager la participation de tous les concernés et de procéder avec précaution pour tout nouvel objectif susceptible de causer des charges indues sur les usagers. Le BUSINESS COUNCIL FOR A SUSTAINABLE ENERGY FUTURE suggéra que les Parties procèdent à la divulgation des informations concernant l'efficacité énergétique, et considèrent de nouvelles approche de négociation des émissions. Le représentant d'une ONG du monde des affaires déclara que l'implication de l'entreprise commerciale et industrielle, ainsi que la participation de toutes les Parties restaient cruciales pour l'application.

Le représentant des Autorités Locales déclara que les autorités locales sont en train de réagir parcequ'elles constatent l'importance de l'évolution climatique et de la multiplication de fléaux. Le CLIMATE ACTION NETWORK déclara que les Parties devraient négocier un protocole englobant un mécanisme permettant un accroissement progressif des engagements. Le CLIMATE ACTION NETWORK SOUTHEAST ASIA déclara que la CdP-2 devrait entamer la négociation d'un protocole et réduire le montant des ressources dépensées sur les sujets de "diversion" tels que les AIJ. Le CONSEIL OECUMENIQUE MONDIAL déclara que l'évolution climatique représente un challenge éthique et spirituel. La Plénière se pencha ensuite sur le point 9 de l'ordre du jour (Session Spéciale de l'AG) et décida que le SBI doit apporter sa contribution à la Session Spéciale sur le Plan d'Action 21.

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