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ORGANE SUBSIDIAIRE DE CONSEIL SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE

S'agissant du développement et transfert technologique et de l'établissent d'une liste d'experts agréés, le Président déclara que bien que ces deux questions dussent être résolue conjointement par les organes subsidiaires, c'est le SBI qui se chargera des derniers développements à y apporter, compte tenu du caractère technique qu'elles présentent. Le Président proposa, par ailleurs, un projet de décision révisé sur l'utilisation du SRE. La décision fait état des divergences d'opinion entre les Parties et de l'incapacité du SBSTA à réaliser un consensus sur ce sujet. La décision finale doit revenir à la CdP.

Le NIGERIA demanda que les différents points de vue soient présentés de manière non biaisée. Les ILES MARSHALL notèrent qu'une présentation de manière égale des deux points de vue, ne refléterait pas ce qui est ressorti du SBSTA, car la majorité des Parties a endossé le SRE. Suite à la distribution du texte écrit du Président, plusieurs délégations devaient faire noter que le contenu ne reflétait pas avec exactitude leur propositions respectives. Le Président nota alors qu'à ce stade, le texte crocheté d'origine et le projet révisé étaient les seules options qui restaient. L'ARABIE SAOUDITE déclara que plusieurs délégations avaient accepté des propositions qu'elles ne soutenaient pourtant pas entièrement, dans le but d'éviter le recours aux crochets. Si des crochets sont introduits ici, alors d'autres décisions pourraient devoir être reconsidérées.

Le Président proposa ensuite d'utiliser le texte d'origine en y notant cependant que le SBSTA "a pris note" des deux points de vue plutôt que "a décidé". Plusieurs délégations dont celles du Koweït, du Canada, des Iles Marsall et de l'UE y firent objection. Les USA, appuyés par l'Australie, proposa un libellé exhortant la CdP à prendre une décision sur ce sujet à cette session, mais l'UE s'y opposa. Le Président rappela aux délégués qu'il n'y aurait plus de réunion du SBSTA à cette session et que la seule option qui reste est le texte d'origine. Il nota toutes les tentatives d'éviter les crochets, mais déclara qu'ils ne pouvaient être évités à ce stade. L'ARABIE SAOUDITE, le KOWEÏT et OMAN firent objection avec vigueur, mais le président nota que de nombreuses délégations n'avaient pas accepté la version révisée. Il annonça son intention de fournir une explication complète des résultats avec son rapport de synthèse. Un certain nombre de délégations fit objection, y compris l'Arabie Saoudite, le Koweït le Qatar, le Nigeria, Oman, les EAU, le Liban, la Chine, la Syrie et la Jordanie.

Le SBSTA se pencha, par ailleurs, sur les projets de décision du groupe de contact sur les communications des Parties non visées à l'Annexe I, qui renfermait un certain nombre de responsabilités supplémentaires. Le BRESIL déclara que le groupe de contact avait décidé que son travail ne sera pas influencé par la décision de la CdP concernant les lignes directrices relatives aux premières communications sur l'abattement des émissions. Plusieurs délégations dont la Chine, le Koweït, l'Inde, le Costa Rica, les Philippines, le Canada, les USA et le Japon devaient endosser la décision et reconnaître les efforts de coopération des Parties non visées à l'Annexe I. L'UE reconnut les responsabilités ajoutées aux Parties non visées à l'Annexe I. Les PHILIPPINES établirent un lien entre l'expansion des engagements des Parties non visées à l'annexe I et leur rôle dans l'obtention des financements.

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