Daily report for 6 February 2007

LES FAITS MARQUANTS DE LA CA-24/FMME:

MARDI 6 FEVRIER 2007

Mardi, les dlgus la CA-24/FMME se sont runis dans des concertations ministrielles et dans la Grande commission (GC). Deux groupes de contact, sur les budget et programme de travail au titre de 2008-2009 et sur la gestion des produits chimiques, se sont galement runis toute la journe.

CONCERTATIONS MINISTERIELLES

GROUPES DE DISCUSSION: Les formes de rponses: Ce groupe de discussion s'est concentr sur la manire dont le systme multilatral pourrait rpondre aux besoins des pays. Le directeur gnral de l'ONUDI, Kandeh Yumkella, a mis l'accent sur le soutien des pays en dveloppement se mettre en conformit aux normes et standards environnementaux mondiaux, travers: le renforcement des capacits; l'appui de la cohrence entre les diffrents ministres; et l'apport d'une assistance technique et financire aux plans de mise en uvre nationaux.

Evoquant l'rosion sans prcdent de la biodiversit et les effets catalyseurs spectaculaires dcoulant de l'introduction des espces exotiques envahissantes, le secrtaire excutif de la CDB, Ahmed Djoglaf, a dclar qu'une nouvelle tape de la mise en application, engageant l'ensemble des parties prenantes, a commenc la CdP-8 de la CDB.

Olav Kjrven, PNUD, a dclar qu'en tant que valeur transversale de toutes les institutions des Nations Unies, le dveloppement durable est le point de dpart idal du dbat sur le renforcement de la gouvernance environnementale. Faisant rfrence la collaboration PNUE-PNUD, Kjrven a mis en relief le potentiel: du financement de la fixation du carbone; de la gestion durable des terres en tant que solution dans le cadre de la fixation du carbone; et des solutions fondes sur la loi du march pour l'intgration des cots environnementaux.

L'AUTRICHE a mis l'accent sur les approches innovantes et sur les partenariats entre les secteurs public et priv en matire de transfert des technologies. Le dlgu des MALDIVES a soulign l'importance du renforcement des capacits des PEID relever les dfis mergeants. TUVALU a affirm que les PEID n'ont pas accs aux avantages de la mondialisation. Le BRESIL a indiqu que les efforts environnementaux dpendent des investissements techniques, des moyens financiers, de l'accs l'information et de l'engagement thique. L'OUGANDA a dplor que les rsultats conomiques des efforts fournis dans le domaine de la durabilit, tels que la production des biocombustibles, n'incitent pas beaucoup leur expansion. La HONGRIE a appel des rformes fiscales. Un reprsentant de la SOCIETE CIVILE a parl des effets environnementaux des guerres. Clturant la sance, le directeur excutif du PNUE, Achim Steiner, a suggr de se focaliser plutt sur les opportunits offertes que sur les difficults poses.

Sance sur le feedback: Sigmar Gabriel, ministre allemand de l'environnement, a mis l'accent sur l'amlioration de la prise de conscience quant aux implications conomiques et scuritaires de la destruction des cosystmes. Il a soulign le besoin de transformer le PNUE en ONUE, prcisant qu'il devrait conseiller l'OMC, le FMI et le Conseil de scurit de l'ONU sur l'utilisation efficace des ressources.

Jos Diaz Duque, vice-ministre cubain des sciences, des technologies et de l'environnement, a prsent ses rflexions sur le thme de l'environnement et de la mondialisation du point de vue des PEID, appelant une globalisation de la solidarit, de l'change des connaissances et de l'engagement en faveur de l'aide au dveloppement.

Jrg Gerber, du Conseil mondial du commerce et de l'industrie pour le dveloppement durable, a appel, entre autres: la cration et au renforcement des normes internationales ayant rapport avec les effets environnementaux; des partenariats solides entre les secteurs public et priv; et l'laboration d'un argumentaire solide, l'usage des entreprises, pour la prservation des cosystmes. Julia Marton-Lefvre, directrice gnrale, Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN), a soulign la ncessit, pour la communaut de la conservation de la nature, de comprendre les liens entre la mondialisation et l'environnement et, en particulier, entre l'rosion de la biodiversit et les changements climatiques au-del de 2012. Jacqueline McGlade, directrice excutive de l'Agence europenne pour l'environnement, a parl du changement survenu dans la perception des problmes environnementaux et a propos que le rle du PNUE englobe des efforts visant s'assurer de la scurit environnementale. Le secrtaire gnral du Conseil international pour les initiatives environnementales locales, Konrad Otto-Zimmermann, a dclar que le mode de vie urbain alourdit le fardeau environnemental, et a dcrit les initiatives entreprises par les villes dans le domaine des changements climatiques et de la budgtisation environnementale. Guy Ryder, de la Confdration internationale des syndicats, a appel la cration d'conomies et d'emplois verts. Il a soulign le rle du PNUE dans l'encouragement des leaders politiques prendre, en faveur de l'environnement, des mesures immdiates permettant de s'assurer du changement long terme. Un reprsentant de la SOCIETE CIVILE a dplor la fuite des cerveaux et la migration cologique. 

RAPPORTS DES TABLES RONDES: Les rapporteurs des six tables rondes ministrielles tenues sur l'environnement et la mondialisation ont prsent leurs discussions, se concentrant sur les opportunits offertes et les dfis relever et sur les rles respectifs du PNUE et des gouvernements.

Entre autres opportunits offertes, ils ont mentionn: les nouveaux marchs pour les services rendus par les cosystmes; les mcanismes de financement innovants; l'radication de la pauvret; les partenariats entre les secteurs public et priv; et, la mise au point et le transfert des savoirs traditionnels et des nouvelles technologies.

Entre autres dfis relever, ils ont cit: le maintien de la diversit culturelle et des savoirs autochtones; le renforcement des capacits nationales; la promotion de la cohrence intersectorielle; le traitement du problme de l'quit; l'implication de l'ensemble des parties prenantes; le renforcement des capacits et le transfert des technologies; et, l'identification des barrires entravant la valorisation des cosystmes.

Ils ont suggr que le rle du PNUE englobe: une contribution importante au dialogue sur le commerce international, notamment, travers le renforcement de la collaboration avec l'OMC; un rle de chef de file dans la coordination interinstitutionnelle; le soutien d'une plus large participation de la socit civile; la cration d'incitations la durabilit; la promotion de mcanismes de financement cologiquement rationnels; et, s'assurer de l'quit et du partage des avantages de la mondialisation.

Ils ont suggr aux ministres de l'environnement de se concentrer sur: l'intgration intersectorielle; le financement appropri du secteur de l'environnement; l'identification des barrires entravant l'intgration des services cosystmiques; la pleine application des AEM; l'intgration des considrations de la mondialisation dans les stratgies de dveloppement nationales; les incitations pour la mise au point de technologies propres efficaces; et des ressources financires plus importantes pour le PNUE pour lui permettre d'assumer son rle de facilitateur.

GRANDE COMMISSION

GESTION DES PRODUITS CHIMIQUES: Le directeur excutif adjoint du PNUE, Shafqat Kakakhel, a introduit le point de l'ordre du jour (UNEP/GC/24/7 et UNEP/GC/24/INF/15-17), mettant l'accent, entre autres, sur: la coopration avec d'autres AEM sur les produits chimiques; l'ASGIPC; le plomb et le cadmium; et le programme du PNUE sur le mercure.

Plusieurs participants ont fait l'loge du travail accompli par le PNUE dans le domaine des produits chimiques. Le dlgu des ETATS-UNIS a soulign qu'il soutenait la poursuite de l'action contre le mercure, prcisant que les partenariats sont plus efficaces que les mandats juridiquement contraignants. La NORVEGE a dclar que les actions volontaires sont insuffisantes, et a encourag l'laboration d'un cadre juridiquement contraignant sur le mercure. L'Ouganda, au nom du GROUPE AFRICAIN, a fait part de son appui en faveur de la proposition, prcisant qu'un engagement contraignant sur le mercure devrait englober galement le plomb et le cadmium. Le JAPON s'est prononc en faveur d'une action distincte sur le mercure et a suggr l'tablissement d'un groupe d'experts internationaux pour considrer les actions entreprendre.

L'Allemagne, au nom de l'UE, a ritr l'importance d'avoir un instrument juridique contraignant, et a affirm que les initiatives volontaires n'ont pas abouti une rduction de l'utilisation du mercure. Le BRESIL a suggr d'examiner la possibilit de crer un fonds dans le cadre d'un instrument juridique contraignant, pour aider les pays en dveloppement. L'AUSTRALIE a propos de procder une analyse intgrale des rponses possibles. Le CANADA a indiqu qu'il voit le besoin d'un travail supplmentaire sur le plomb et le cadmium et qu'il prfre la concentration sur le mercure.

La FEDERATION DE RUSSIE a dclar qu'un instrument juridique contraignant peut tre adopt aprs la mise au point de technologies alternatives, et a mis en garde contre les consquences dfavorables d'une interdiction totale. La GAMBIE a dclar que les engagements volontaires ne peuvent pas restreindre le commerce. La COLOMBIE a parl de la prolifration d'AEM sans financement adquat, et a indiqu que les donnes scientifiques sont insuffisantes pour la mise en place d'un instrument juridique contraignant sur le plomb et le cadmium. La SUISSE a soulign que l'accroissement de la coopration avec les pays en dveloppement ncessite un cadre juridique solide. Les discussions se sont poursuivies dans un groupe de contact.

ETAT DE L'ENVIRONNEMENT: Au sujet de ce point de l'ordre du jour (UNEP/GC/24/5, UNEP/GC/24/10 et UNEP/GC/ 24/INF/2-8), plusieurs dlgations ont fait part de leur apprciation et de leur appui aux activits du PNUE dans le domaine de l'valuation. TUVALU a encourag le PNUE adopter une approche stratgique et mettre en uvre un programme particulier en faveur des PEID, comme nonc dans le cadre de la Stratgie de Maurice et laborer des outils permettant l'valuation de la vulnrabilit. L'UE a suggr la tenue de consultations avec les usagers de l'information pour s'assurer de leur accessibilit et de leur pertinence. Le dlgu des ETATS-UNIS a mis en garde contre la prolifration des valuations environnementales mondiales. L'Indonsie, au nom du G-77/CHINE, a appel au renforcement de la base scientifique du PNUE et l'amlioration des structures de la gouvernance environnementale des pays en dveloppement.

COORDINATION ET COOPERATION AVEC LE SYSTEME DES NATIONS UNIES: Au sujet de ce point de l'ordre du jour (UNEP/GC/24/INF/9 et UNEP/GC/24/INF/13-19), la NOUVELLE ZELANDE a appel une collaboration plus troite avec le FEM et avec le Groupe sur le dveloppement des Nations Unies. La CHINE a encourag l'amlioration de la coopration entre le PNUE et la Banque mondiale. Le GROUPE AFRICAIN a soulign la pertinence du Plan stratgique de Bali dans le cadre des objectifs du NEPAD en matire de renforcement des capacits. L'UNESCO a identifi les domaines dans lesquels la synergie peut tre accrue entre le PNUE et l'UNESCO, dont: les questions scientifiques, techniques et technologiques; la ractivit et l'attnuation des catastrophes; et le renforcement des capacits. Le PNUD a parl de l'application de l'Initiative des PNUD-PNUE sur la problmatique environnement et pauvret et de la cration d'un fond des PNUD-PNUE pour l'environnement et la pauvret, permettant de soutenir l'intgration des questions touchant la pauvret et l'environnement dans les plans de dveloppement nationaux. L'ORGANISATION MARITIME INTERNATIONALE a indiqu qu'elle est en train d'laborer un outil pour l'valuation des dommages causs l'environnement et a mis en relief la coopration avec les AEM administrs par le PNUE. Le BUREAU DES NATIONS UNIES POUR LA COORDINATION DES AFFAIRES HUMANITAIRES (OCHA) a parl des efforts conjoints fournis par le PNUE et l'OCHA dans le domaine de la prvention des risques et des catastrophes, de la coordination des rponses humanitaires et de la rhabilitation long terme.

COORDINATION ET COOPERATION AVEC LA SOCIT CIVILE: Le coprsident du Forum mondial de la socit civile (FMSC), Michael Koech, a prsent un rapport sur les rsultats de la FMSC-8, soulignant les recommandations l'intention du PNUE, dans les domaines de la mondialisation, de la parit hommes-femmes, de l'eau, de la gestion des produits chimiques et de la guerre et du militarisme. L'UE a fait part de sa satisfaction concernant la coopration du PNUE avec la socit civile (UNEP/GC/24/INF/10/Add.1-6). L'ORGANISATION DES FEMMES POUR L'ENVIRONNEMENT ET LE DEVELOPPEMENT a encourag la pleine application du Plan d'action du PNUE sur la parit hommes-femmes.

RAPPORT DU GIEC: Le prsident du GIEC, Rajendra Pachauri, a prsent les principaux financements fournis pour l'laboration du rapport Climate change 2007, The Physical Science Basis. Il a fait tat d'une augmentation importante des concentrations atmosphriques mondiales de dioxyde de carbone, de mthane et d'oxyde nitreux, dues aux activits humaines depuis 1750, soulignant que le rchauffement du systme climatique est sans quivoque. Pachauri a appel traduire l'intense attention des mdia en actions politiques spcifiques.

GROUPES DE CONTACT

BUDGET ET PROGRAMME DE TRAVAIL: Le prsident du groupe de contact, Jan Bauer, (Pays-Bas) a ouvert le dbat sur les budget et programme de travail proposs pour la biennale 2008-2009 (UNEP/GC/24/9). L'UE et le G-77/CHINE ont fait part de leur satisfaction, en gnral,  des propositions de budget et programme de travail. Le groupe a discut, entre autres, des questions de personnel, des activits du Plan stratgique de Bali, de la coopration sud-sud et de la gestion tourne vers des rsultats palpables.

Au sujet des questions budgtaires (UNEP/GC/24/9/Add.1, UNEP/GC/24/9/Add.2 et UNEP/GC/24/INF/6), David Hastie, PNUE, a parl, entre autres: du l'endossement des propositions de budget et de programme de travail par le Comit consultatif sur les questions administrative et budgtaires; de l'accroissement des contributions apportes au Fonds pour l'environnement en 2006 et des projections optimistes pour 2007; et d'un possible dficit budgtaire de 10 millions de dollars en 2008-2009, compte tenu des rentres prvues estimes prs de 150 millions de dollars.

Le groupe a ensuite procd l'examen du projet de dcision (UNEP/GC/24/L.1). Les libells crochets qui y figuraient taient: l'chelle indicative des contributions volontaires; la stratgie moyen terme; et, le chiffre global pour le programme des activits prvues au titre de la biennale 2010-2011. Les discussions se poursuivront mercredi.

PRODUITS CHIMIQUES: Le groupe de contact, coprsid par Donald Hannah (Nouvelle Zlande) et Abiola Olanipekun (Nigeria), s'est runi dans l'aprs-midi pour examiner trois projets de dcisions soumis par les Etats-Unis (UNEP/GC/24/CRP.1), le Canada (UNEP/GC/24/CRP.2), et par la Gambie, l'Islande, la Norvge, le Sngal et la Suisse (UNEP/GC/24/L.2). Le dbat a t ax sur l'action mondiale ciblant le mercure. Les prfrences allaient de la prise d'une dcision appelant un processus de ngociations immdiates pour l'laboration d'un instrument juridiquement contraignant, l'intgration du mercure dans les accords disponibles ou une concentration sur des actions volontaires entreprises, en particulier, travers des partenariats. Un dlgu a pos la question de savoir s'il existait, la CA-24/FMME, un soutien politique suffisant en faveur d'un tel instrument. De nombreux dlgus ont encourag l'examen des options disponibles, l'un d'eux soulignant qu'en attendant la poursuite de l'valuation par le PNUE, une dcision finale sur un instrument juridique contraignant est prmature.

Un nouveau projet de dcision concernant les mtaux lourds a t soumis par l'UE, proposant l'tablissement d'un groupe de travail spcial pour le traitement des questions touchant au mercure travers une rglementation juridiquement contraignante, et la prsentation d'un rapport la SECA-10/FMME, assorti de recommandations concernant la forme et le fond de la rglementation juridiquement contraignante, avec une possible extension d'autres produits chimiques sujets de proccupation globale.

DANS LES ALLEES

Aprs l'exaltation de l'ouverture de la CA-24/FMME, les ngociateurs ont eu, mardi, la premire occasion de planter leurs dents dans les projets de dcisions. La majorit de ces dcisions est passe sur le disque abrasif du Comit des reprsentants permanents. Toutefois, comme l'ont fait remarquer certains vtrans du CA, les projets de documents labors Nairobi subiront probablement d'importantes modifications lorsque les diplomates seront l. Au mme temps, les soumissions faites en dernire minute par des Etats membres et l'examen des projet de dcisions une heure tardive de la journe ont pris au dpourvu certaines dlgations, donnant lieu un grand tumulte dans la GC. Des frictions procdurales et des dsaccords bien ancrs sur des questions de fond ont oblig le prsident marcher sur la corde raide de la diplomatie et, en rsultat de quoi, de reporter, les projets de dcisions mercredi. Cependant, lorsque le dbat sur les produits chimiques est pass un groupe de contact, certains initis ont vu une lumire au fond du tunnel concernant la problmatique du mercure, mettant l'hypothse qu'un groupe d'experts spcial sur ce sujet pouvait tre tabli la fin de la conclusion de la CA-24.

En dpit de la satisfaction gnrale des propositions de budget et de programme de travail, le barme indicatif des contributions volontaires s'est avr un point d'achoppement dans le groupe de contact. N'empche, certains participants sont en train de parier sur l'achvement des travaux du groupe en un temps record. 

Ce numro du Earth Negotiations Bulletin <enb@iisd.org> a t rdig par Asheline Appleton, Nienke Beintema, Xenya Cherny Scanlon, Leonie Gordon et Andrey Vavilov, Ph.D. Edition numrique: Leila Mead. Version franaise: Mongi Gadhoum. Edition en chef: Pamela S. Chasek, Ph.D. <pam@iisd.org>. Directeur du Service Information de l'IIDD: Langston James Kimo Goree VI <kimo@iisd.org>. Les principaux bailleurs de fonds du Bulletin sont: Le Royaume-Uni ( travers le dpartement du dveloppement international (DFID), le gouvernement des Etats-Unis d'Amrique ( travers le Bureau des ocans et des affaires environnementales et scientifiques internationales du dpartement d'Etat amricain), le gouvernement du Canada ( travers l'ACDI), le ministre danois des affaires trangres, le gouvernement allemand ( travers les ministres de l'environnement (BMU et de la coopration pour le dveloppement (BMZ)), le ministre nerlandais des affaires trangres et la commission europenne (DG-ENV) et le ministre italien de l'environnement et le directorat gnral de l'amnagement du territoire et de la protection de la nature. Un soutien gnral est accord au Bulletin, au titre de l'exercice 2007, par: l'Office fdral suisse de l'environnement (FOEN), les ministre norvgiens des affaires trangres et de l'environnement, le gouvernement australien, le ministre fdral autrichien de l'environnement, les ministre sudois de l'environnement, le ministre no-zlandais des affaires trangres, SWAN International, le ministre nippon de l'environnement ( travers l'IGES) et le ministre nippon de l'conomie, du commerce et de l'industrie ( travers GISPRI). La version franaise du Earth Negotiations Bulletin est finance par le ministre franais des affaires trangres et l'IEPF/OIF, et la version espagnole, par le ministre espagnole de l'environnement. Les opinions exprimes dans le Bulletin appartiennent leurs auteurs et ne refltent pas ncessairement les vues de l'IIDD et des bailleurs de fonds. Des extraits du Bulletin peuvent tre utiliss uniquement dans des publications non commerciales moyennant une citation approprie. Pour tous renseignement, y compris les demandes de couverture d'vnements par nos services, contacter le Directeur du Service d'Information de l'IIDD par courriel : <kimo@iisd.org> ou par tlphone au: +1-646-536-7556 ou par voie postale au: 212 East 47th St. #21F, New York, NY 10017, USA. L'quipe du ENB la CA-24/FMME est joignable par courriel <Xenya@iisd.org>.

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