|
Declarations
des delegations:
evaluation des progres realises dans la mise en application
du plan d'action 21
|
|
Le délégué des ETATS-UNIS nota l'importance
des systèmes de régulation équitables,
de la transparence et du règne de la loi pour l'investissement,
mit en exergue la valeur de la gouvernance intérieure,
et encouragea la formation de coalitions des pays qui souhaitent
cela. |
|
La BIELORUSSIE donna un aperçu sur son plan d'action
national et sur ses efforts visant à dépasser
les séquelles de la catastrophe de Tchernobyl.
|
|
Au nom de l'ALLIANCE DES PETITS ETATS INSULAIRES (AOSIS),
Samoa plaida pour l'inclusion des océans, des littoraux
et des îles, et de la nécessité de traiter
le problème de la vulnérabilité des
îles aux changements climatiques, exhortant les pays
industrialisés à reconnaître leurs responsabilités
et à entreprendre une action. |
|
La NORVEGE proposa que les liens entre santé environnementale
et pauvreté soient traités au cours du Sommet
et que l'ordre du jour mondial concernant la question
des produits chimique soit poussé de l'avante.
|
|
Réaffirmant l'engagement en faveur du Plan d'Action
21 et du Programme d'Action de la Barbade, la GRENADE, au
nom de la COMMUNAUTE DES CARAÏBES (CARICOM), mit en
exergue l'établissement d'un fonds pour l'atténuation
des effets des catastrophes naturelles et la réhabilitation,
et apporta son appui au programme de gestion des pêches
régionales. |
|
Le KENYA mit l'accent sur l'impératif d'établir
un lien entre le SMDD et les processus de la Conférence
Internationale sur le Financement du Développement,
et proposa d'utiliser le FEM pour le financement des plans
d'action nationaux de lutte contre la désertification.
|
|
La FONDATION DES NATIONS UNIES fit part de son engagement
à poursuivre la mise en place de projets de partenariat
public-privé avec le système des Nations
Unies, et à se concentrer sur le complexe énergie,
changements climatiques et pauvreté, dans la préparation
du SMDD.
|
|
Le
BRESIL mit en relief le caractère crucial du traitement
du problème des changements climatiques et de l'entrée
en vigueur du Protocole de Kyoto, et suggéra d'appréhender
les questions de financement et de transfert des technologies
comme étant des domaines intersectoriels importants.
|
|
Les
domaines prioritaires du BOTSWANA pour le SMDD comprennent:
l'éradication de la pauvreté; des financements
concrets, prévisibles et inscrits dans des calendriers
précis pour la lutte contre la sécheresse
et la désertification; le renforcement des capacités;
la lutte contre le HIV/SIDA; des ressources nouvelles et
supplémentaires pour les pays en développement;
le transfert des TER à des termes favorables; et,
avec la TUNISIE, un soutien en faveur du Nouveau Partenariat
pour le Développement Africain (NEPAD). . |
|
FIDJI
encouragea le SMDD à appeler à une évaluation
décennale du Programme d'Action de la Barbade pour
les PEID, et proposa l'inclusion des thèmes des océans
et des îles, du tourisme, de la santé, des
"ICT", de la vulnérabilité, et des
ressources financières. |
|
La MALAISIE apporta son appui à la mise en place
des partenariats et appela à l'élaboration
d'une stratégie globale pour l'éradication
de la pauvreté, au renouvellement du contrat mondial,
à l'amélioration de l'architecture du développement
durable, et à une volonté politique pour la
mobilisation des ressources. |
|
La CHINE proposa: l'adoption d'un plan d'action concret;
l'adhésion aux Principes de Rio; à la revitalisation
des partenariats globaux; et à l'amélioration
de la mise en application. |
|
L'UNAIDS mit en exergue les partenariats, la durabilité
multi-sectorielle, l'allégement de la dette et la
mise en place de stratégies de lutte contre le HIV/SIDA. |
|
La REPUBLIQUE TCHEQUE nota: la gouvernance et l'architecture
institutionnelle; les partenariats avec les principaux
groupes sociaux; et l'éducation en matière
de développement durable.
|
|
La
COLOMBIE encouragea la promotion de récoltes alternatives
pour la sécurité alimentaire, la reconnaissance
et le renforcement du rôle des communautés
locales et des Peuples Indigènes, et l'éducation
en matière de développement durable.
|
|
L'AFRIQUE
DU SUD nota que la mondialisation a exclu bon nombre de
pays en développement, et appela: à l'accès
à l'eau salubre et à la santé; à
l'alphabétisation universelle; à des modes
de production et de consommation durable; à de nouveaux
partenariats régionaux innovants; et à une
gouvernance efficace. |
|
Le représentant des PHILIPPINES plaida pour: la mise
en place d'un commerce international et d'un régime
d'investissement; une bonne gouvernance et des réformes
institutionnelles; l'allégement de la dette; et la
mise au point et le transfert des TER. |
|
La FINLANDE, au nom du CONSEIL ARCTIQUE: fit part de ses
préoccupations concernant la contamination des denrées
alimentaires traditionnelles des Peuples Indigènes;
appela à une entrée en vigueur rapide de la
Convention de Stockholm; et décrivit les effets des
changements climatiques sur la région. |
|
L'EQUATEUR
appela: à un transfert des technologies écologiquement
rationnelles (TER); à la reconnaissance des potentialités
de l'écotourisme; et à la reconnaissance de
la valeur du Mécanisme pour un Développement
Propre. |
|
La BANQUE MONDIALE parla de sa focalisation sur la réduction
de la pauvreté, et mit en relief: l'intégration;
les augmentations intervenues dans l'APD; l'aplanissement
des barrières commerciales; et le besoin de reconstituer
le fonds du FEM en 2002.
|
|
Déclaration du FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL |
|
Le
BHUTAN attira l'attention sur l'importance du développement
des écosystèmes montagneux. |
|
Les actions prioritaires d'ISRAËL comprennent l'éducation
formelle et informelle des jeunes et la considération
des media et des industries publicitaires comme moteur de
la demande en matière de production et de consommation.
|
|
Notant
que ce sont les exportateurs des produits manufacturés
des pays en développement qui ont le plus bénéficié
de la libéralisation du commerce international, l'ONUDI
appela à des programmes et projets de coopération
technique, et s'engagea à travailler sur le transfert
des technologies, la question d'énergie et la gestion
des déchets solides |
|
Le
NIGERIA parla des préparatifs du Sommet, à
l'échelle locale, qualifia les thèmes de la
gestion des océans et de la lutte contre la désertification
de thèmes clés, réaffirma l'éradication
de la pauvreté comme condition préalable pour
le développement durable, et appela à une
claire identification du rôle du PNUE dans la gouvernance
du développement durable. |
|
Le
délégué de SAINTE LUCIE appela à
des arrangements institutionnels avec l'OMC sur la mise
en application des accords commerciaux exerçant un
impact sur le développement durable, à un
doublement des flux de l'APD, à un suivi de la contribution
du monde des affaires, et à la réintégration
d'une unité chargée du suivi des compagnies
transnationales dans le Secrétariat des Nations Unies.
|
|
|