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Organes
Subsidiaires
de la CCCC: SBI-10 et SBSTA-10 |
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Les négociations sur
L'U.T.M.U.T.F achoppent sur la question de l'ordre des activités
du programme de travail Les négociateurs devaient tenir leurs premières discussions autour du "projet de conclusions sur les questions méthodologiques ayant trait à l'UTMUTF (décision 1/CP.3, paragraphe 5(a)). Ils ont procéder également à l'examen d'un ensemble de questions sur le thème des politiques et procédures proposées pour considération avant la CdP-6. Les questions traitent de la clarification des définitions, de l'éligibilité des activités additionnelles, des règles devant régir les activités approuvées, de l'élaboration des inventaires et des lignes directrices à suivre dans l'établissement des rapports. La perspective d'une convergence des points de vue devait émerger avec l'introduction, par l'Australie, d'un projet d'un processus établissant des propositions de programme et incluant des plans pour l'Atelier d'Experts du SBSTA sur le Rapport Spécial Provisoire du GIEC. Le GIEC a indiqué que ce dernier pourrait avoir lieu la veille de la CdP-5. Les discussions informelles se sont poursuivit dans les couloirs et au cours de la réception donnée, au cours de soirée, par le Secrétaire Exécutif de la CCCC. Le SBSTA
s'accorde sur les termes de référence de l'Atelier d'Experts sur
les effets adverses découlant de la mise en application des mesures
visant à traiter l'évolution climatique Les termes de référence stipulent que l'Atelier d'Expert prévu de se tenir à Bonn au cours de la deuxième quinzaine du mois de septembre prochain, abordera: i. L'identification des facteurs susceptibles d'aider à déterminer les effets adverses des changements climatiques et l'impact de la mise en application des mesures de réponse; ii. L'identification des données disponibles et des lacunes en matière d'information, y compris les préoccupations et les besoins particuliers des Parties pays en développement; iii. Les besoins particuliers des pays les moins avancés; iv. Les questions soulevées dans les soumissions nationales. Au cours des consultations informelles impliquant un comité des amis des Présidents du SBSTA et du SBI issu du G-77/Chine, du JUSSCANZ, des Parties pays en transition économiques et de la Communauté Européenne, les pays de l'OPEP ont travaillé dur pour s'assurer de la mise en place d'un programme acceptable réparti sur les trois journées de l'atelier. La troisième journée sera consacrée à la minimisation des effets adverses de la mise en application des mesures de réponse: a. sur le commerce international et l'impact social, environnemental et économiques subi par les Parties pays en développement identifiées dans les Articles 4.8 et 4.9 de la Convention; et, b. sur les pays dont l'économie dépend lourdement des revenus engendrés par la production, la transformation et l'export et/ou la consommation des combustibles fossiles et les produits associés basés sur une utilisation intensive de l'énergie. |
Photos et RealAudio du 4 juin | |
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Au sujet du transfert des technologies, Jeff Seabright (Etats-Unis) a endossé le plan du processus de consultation et a annoncé que le Gouvernement Américain mettra à disposition US$150,000. |
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L'Allemagne, au nom de l'UE, a rappelé la décision de la CdP-4 soulignant l'importance d'un cadre permettant la prise d'actions significatives et efficaces pour l'amélioration de l'application de l'Article 4.5 de la Convention (transfert des technologies). L'orateur a annoncé que les Pays-Bas apporteront une contribution de US$50,000 à la tenue de l'atelier régional africain. Il a annoncé également des contributions des Gouvernements Français et Allemand. | |
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Le Canada a appelé à un régime taillé à la mesure du Protocole de Kyoto, sachant que ce dernier diffère ostensiblement des autres accords environnementaux multilatéraux. |
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La Nouvelle Zélande a introduit le débat sur les régimes intérieurs de mise en conformité. . | |
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L'Iran nota que l'Article 18 (non-conformité) du Protocole ne spécifiait pas d'articles particuliers et que son contenu s'appliquait à l'ensemble du Protocole. Le délégué appela la CdP à créer un organe spécifique chargé de la non-conformité aux obligations et indiqua que l'équipe des experts chargés de l'évaluation ne disposait ni de la prérogative ni de la capacité de déterminer la non-conformité aux obligations. |
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L'Australie affirma qu'une distinction entre les aspects contraignants et non-contraignant était nécessaire pour des raisons pratiques et mis en relief l'utilité de prévoir des revues par les pairs, plutôt qu'un régime punitif, dans la mise en application des obligations. | |
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John Palmisano, d'Enron International, a parlé de la réduction des risques dans les premiers projets de développement réalisé dans le cadre du MDP. |
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Ci-dessus et ci-dessous: Les participants invités à une réception donnée par le Secrétaire Exécutif de la CCCC. A gauche, le contingent de la région Pacifique appréciant la pause. |
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Victoria Kellett et Tina Winqvist en service au stand de l'Institut International du Développement Durable à Bonn. |
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Preeti Soni, du Tata Energy Research Institute, New Delhi, bavardant avec Peter Doran, du ENB. | |
Les délégués en conférence après la réunion Groupe Africain. |
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Les participants en discussion dans le hall du 'Maritim Hotel'. | |
Bob Watson, Président du GIEC, dans la salle des pas perdus avec des membres du 'Umbrella Group' après la réunion sur le thème de l'utilisation des terres, de la modification de l'utilisation des terres et la foresterie. |
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Le Directeur Législatif de Greenpeace, Gary Cook, durant son labeur au stand d'information de Greenpeace |