12ème Session de la Commission du Développement Durable #5 BULLETIN DES NEGOCIATIONS DE LA TERRE PUBLIE PAR L'INSTITUT INTERNATIONAL DU DÉVELOPPEMENT DURABLE (IIDD) Serveur WWW 'Linkages': http://enb.iisd.org CE NUMERO A ETE REDIGE PAR: Catherine Ganzleben, Ph.D. Prisna Nuengsigkapian Richard Sherman Andrey Vavilov, Ph.D. Version Française: Mongi Gadhoum Editrice en Chef: Pamela S. Chasek, Ph.D. Directeur de la Publication: Langston James Goree VI "Kimo" Vol. 05 No. 206 Lundi 26 avril 2004 En Ligne sur http://enb.iisd.org/csd/csd12/ LES FAITS MARQUANTS DE LA CDD-12: VENDREDI 23 AVRIL 2004 Le matin, dans la Salle de Conférence 1, les délégués ont planché sur le thème des établissements humains, se focalisant sur le financement et sur la gouvernance urbaine. Dans la Salle de Conférence 2, les délégués se sont penchés sur le thème de l'assainissement, se focalisant sur l'hygiène, l'assainissement et la gestion de l'eau, et les technologies. L'après-midi, dans la Salle de Conférence 1, les délégués ont entendu des rapports sur l'état d'avancement de la mise en œuvre dans la région de l'UNECA, et des déclarations générales sur l'évaluation de la mise en application du plan d'action 21, du Programme de la suite de la mise en œuvre du Plan d'action 21, et du PMAJ. Dans la Salle de Conférence 2, les délégués ont traité des établissements humains, se focalisant sur les partenariats et les stratégies de développement, de reconstruction et de réhabilitation des villes. SALLE DE CONFERENCE 1 DISCUSSION THEMATIQUE SUR LES ETABLISSEMENTS HUMAINS: Cette session du matin était présidée par le Vice-président Bolus Paul Zom Lolo (Nigeria). Financement du développement des établissements humains: Mark Hildebrand, de l'organisation 'Cities Alliance', a parlé des manières de répondre au besoin accru de ressources financières, à travers, entre autres, les partenariats locaux, la sécurité des régimes fonciers, et l'accès au crédit. Dinesh Mehta, UN-HABITAT, s'est focalisé sur les conditions préalables du financement durable, a déclaré que le financement international doit jouer un rôle catalytique, et a appelé à rendre les pauvres “banquables.” Joel Bolnick, de l'organisation sud-africaine 'Slum Dwellers International', a souligné l'importance de l'épargne communautaire. Le Débat: De nombreux délégués ont décrit les contraintes nationales et les programmes visant à traiter les problèmes du logement. Plusieurs pays ont souligné la nécessité de mécanismes de financement innovants. L'IRAN a parlé des différences entre l'approche basée sur les droits et l'approche basée sur le développement, et a mis en garde contre le dépassement des dispositions approuvées dans le PMAJ. L'INDE a déclaré que le droit au logement n'est pas un concept agréé à l'échelle intergouvernementale. Le porte-parole des ONG a parlé de la situation difficile des femmes et des effets défavorables exercés par les multinationales. Le CANADA a mis en relief la réhabilitation des logements existants, comme étant une approche écologiquement rationnelle pour la fourniture de logements abordables. Le PAKISTAN a identifié le manque de terrains en zone urbaine, comme étant un obstacle. La gouvernance urbaine: Amos Masondo, du Conseil International des Initiatives Environnementales Locales, a déclaré que le développement durable des établissements humains exige une bonne gouvernance locale, la décentralisation et des ressources adéquates. Arputham Jockin, de la fédération nationale indienne des habitants des bidons-villes, a mis en exergue les capacités et l'ingénuité des habitants des bidons-villes, et a souligné qu'ils sont les acteurs qui réaliseront le développement durable. Le Débat: Plusieurs délégués ont décrit leurs expériences nationales. La NOUVELLE ZELANDE a déclaré qu'il est indispensable de traiter les problèmes des villes dans les pays industrialisés. La SUEDE a parlé des voies et moyens de mobiliser des ressources pour la réhabilitation des bidons-villes. La FINLANDE s'est focalisée sur la sécurité des régimes fonciers pour améliorer “le caractère banquable” des pauvres. Le porte-parole des SYNDICATS a suggéré l'OIT comme partenaire des stratégies de logements. Le représentant des PEUPLES AUTOCHTONES a rendu compte des problèmes découlant de la relocation des terres traditionnelles. Le ROYAUME-UNI a suggéré d'exploiter les aptitudes des habitants des bidons-villes, et le BURKINA FASO et la COLOMBIE ont appelé à la décentralisation. L'UE a mis l'accent sur la bonne gouvernance urbaine, les partenariats et la subsidiarité. La porte-parole des FEMMES a déclaré que les demandes des IFI de réduire les régulations gouvernementales, dans les pays de l'ex-Union Soviétique, a donné lieu à des sans-abri. CUBA a appelé à un accroissement de l'APD, et le KENYA a encouragé les pays donateurs à honorer leur engagement en matière d'APD et à mettre en application le recyclage de la dette dans le soutien du développement urbain. Les ETATS-UNIS et l'UE ont encouragé la dissémination des outils de gestion et les bonnes pratiques urbaines. SESSION REGIONALE DE L'UNECA: Cette session de l'après-midi était présidée par le Vice-président Lolo. Josue Dione, de l'UNECA, a déclaré que la Commission de Développement Durable de l'ECA servira de principal forum de la région pour les futures sessions évaluatives de la CDD. Francis Babu, ministre ougandais de l'habitat et du développement urbain, a présenté les conclusions de la réunion régionale sur la mise en œuvre, tenue à Addis Abéba, en décembre 2003. Shehu Yahaya, de la Banque africaine de développement, a mis en relief les programmes initiés par la BAD, en réponse à la mise en œuvre des ODM et des objectifs du PMAJ. Thomas Fofung Tata, de l'Instance de la société civile africaine pour le développement durable, a appelé les gouvernements africains à reconnaître le rôle de la société civile dans le soutien du renforcement des capacités. Ibrahim A Gambari, sous-secrétaire général et conseiller spécial sur l'Afrique, a déclaré que la CDD-12 vient marquer un tournant important, dans lequel “les paroles sont traduites en actions concrètes.” Le Débat: Plusieurs pays ont décrit leurs efforts nationaux dans la mise en œuvre des buts et objectifs des ODM et du PMAJ, et ont souligné la nécessité de l'assistance financière et du transfert des technologies. Le NIGERIA a mis en relief les contraintes exercées par les niveaux élevés de la dette extérieure et l'AFRIQUE DU SUD, a appelé à un environnement international favorable au traitement du développement durable. Le SIERRA LEONE a décrit les défis auxquels les pays en situation de post- conflits, se trouvent confrontés, dans la mise en œuvre des ODM. Le PNUE a exhorté les gouvernements à établir des objectifs annuels de prestation de services pour les ODM. Plusieurs pays donateurs ont décrit les initiatives pertinentes et les partenariats mis en place dans le domaine de l'eau et de l'assainissement, en Afrique. L’EVALUATION GENERALE: L'UE a appelé au renforcement des synergies au sein du système des Nations Unies, s'est déclarée d'accord avec le besoin de données crédibles concernant les partenariats, et a souligné l'importance des indicateurs. Le G-77/CHINE a identifié, entre autres obstacles entravant la mise en œuvre, l'absence de ressources financières adéquates, de transfert de technologies et de création des capacités, ainsi que la faiblesse des flux de l'APD et la “stagnation” des partenariats. Il a mis en garde contre de nouvelles interprétations politiques ou “de directives additionnelles,” outres celles figurant dans le PMAJ, et a souligné la primauté de la CDD. Le représentant a appelé, par ailleurs, à la considération des questions thématiques “à travers le prisme” des trois piliers du développement durable. L'AUSTRALIE a mis en relief le renforcement des capacités et des approches basées sur le marché en vue d'une affectation efficace des ressources. La NORVEGE a mis en exergue le suivi de l'état d'avancement des travaux et la cohérence à l'échelon national et à l'échelle internationale. La TURQUIE a rappelé Habitat II, et l'INDE a souligné que des arrangements bilatéraux existent pour la gestion des cours d'eau transfrontaliers. Le porte-parole de la COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE a appelé à l'amélioration des connaissances interdisciplinaires. Le délégué des ETATS-UNIS a mis en relief la dynamique continue des partenariats, a fait référence au rôle catalytique de l'APD et aux outils financiers innovants, et a suggéré la libération des capitaux des sources intérieures. Le Royaume-Uni a déclaré que les partenariats sont un élément important de la mise en œuvre. SALLE DE CONFERENCE 2 DISCUSSION INTERACTIVE SUR L'ASSAINISSEMENT: Cette session du matin était présidée par le Vice-président Toru Shimizu (Japon). L'hygiène, l'assainissement et la gestion de l'eau aux niveaux des ménages et des communautés: Yasumoto Magara, de l'Université de Hokkaido, a présenté un rapport sur la manière dont le Japon a accru la couverture en assainissement et en approvisionnement en eau, et a réussi à éradiquer les maladies associées aux points d'eau et à accroître l'immunité publique contre les agents pathogènes. T.V. Luong, du bureau régional Est-asiatique et Pacifique de l'UNICEF, a décrit l'approche adoptée par la Thaïlande pour la réalisation de la couverture universelle en assainissement, mettant en relief, entre autres éléments de la réussite, l'engagement fort du gouvernement et la mobilisation sociale. Edgar Quiroga, de l'organisation colombienne CINARA, a souligné le besoin de former et de soutenir les agents du changement. Le Débat: Plusieurs délégations ont présenté les données concernant leurs expériences nationales, soulignant le besoin: d'établir des programmes éducationnels; de fournir des installations sanitaires aux écoles; de créer une demande en matière d'assainissement; de lancer des initiatives; d'appliquer une approche tenant compte des femmes, dans les prestations de services sanitaires; de faciliter une gestion décentralisée des services; d'accroître la collecte des eaux de pluie; et de disséminer l'information aux praticiens de la santé. L'OUGANDA a déclaré qu'il est besoin de traiter la législation et la mise en application. Décrivant sa politique dans le domaine de l'eau, la SUISSE a souligné l'importance de la gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) dans l'établissement d'un lien entre la protection environnementale et la santé. Le porte-parole des JEUNES a déclaré que la santé des enfants peut être utilisée en guise d'indicateur de la santé communautaire et environnementale. Le porte-parole des ONG a identifié le manque de coordination entre les administrations locales et centrales, la communauté internationale, les ONG et les communautés, comme étant un obstacle entravant la réalisation de l'objectif sanitaire. Les Technologies – potentialités offertes et les principaux obstacles posés, à l'augmentation et au marketing de l'assainissement: Quiroga a mis l'accent sur la résistance sociale à l'éco-assainissement, et a plaidé pour l'élaboration de stratégies visant à promouvoir les nouveaux concepts et les nouvelles technologies. Christine Werner, du GTZ, a décrit les principes, les avantages et les défis de l'éco-assainissement, et a souligné le besoin de mettre en œuvre des projets urbains de grande échelle pour montrer ses avantages. Mi Hua, du Rural Water and Sanitation Program Office, à Guangxi, en Chine, a parlé des progrès accomplis par la Chine dans la promotion de l'éco- assainissement, mettant en relief, l'acceptation culturelle, l'engagement politique et la faiblesse des coûts, comme étant les facteurs de la réussite. Le Débat: Plusieurs délégués ont souligné l'importance de l'éducation et de la conscientisation quant à l'importance de l'hygiène. La SUEDE a noté que l'éco-assainissement s'appuie sur l'approche basée sur le traitement intégral des écosystèmes, et a souligné son rôle dans la promotion de la santé, de la sécurité alimentaire, de la protection environnementale et de la génération de revenus. La porte-parole des FEMMES à mis l'accent sur le rôle des hommes, outre celui des femmes, en tant qu'agents du changement, dans la promotion de l'assainissement. La SUISSE a décrit l'éco-assainissement comme étant une stratégie qui n'est pas limitée à une technologie particulière. La FRANCE a déclaré que les technologies devraient être simples et adaptées aux besoins des populations locales. Le délégué des ETATS-UNIS a souligné le rôle de la petite entreprise et l'importance de l'approche fondée sur la loi du marché. L'OUGANDA a évoqué le besoin de subventions structurées dans la promotion d'une utilisation répandue de l'éco-assainissement au niveau des ménages. Le ROYAUME-UNI a mis en garde contre l'utilisation de subventions pour l'infrastructure des ménages. DISCUSSION INTERACTIVE SUR LES ETABLISSEMENTS HUMAINS: Planification durable des villes: Cette session de l'après-midi était présidée par le Vice-président Shimizu. Pietro Garau, du Groupe de travail des OMG, sur les habitants des bidons-villes, a cité des exemples de planification durable des villes, se focalisant sur le Brésil. Il a identifié, entre autres, le leadership, la vision au-delà du court terme, et la participation active des citoyens, comme étant des éléments cruciaux pour la réussite. Krishnaswamy Rajivan, du Fonds Tamil Nadu pour le développement urbain, en Inde, a fait état des défis auxquels les villes se trouvent confrontés dans les domaines de l'amélioration de l'infrastructure, de la décentralisation et de l'obtention des financements. Il a encouragé que les plans d'investissement des villes soient basés sur le consentement des populations. Adepoju Onobukun, du Centre africain des études sur le développement des établissements humains, a déclaré que les stratégies durables requièrent l'adoption d'une approche de planification holiste et intégrée, propre à améliorer les capacités des gouvernements locaux, et utilisant les principes du partenariat et de la participation. Le Débat: De nombreux délégués ont décrit leurs expériences dans le domaine de planification durable des villes, plusieurs d'entre eux soulignant l'importance de la participation de la société civile. Le délégué du BRESIL a déclaré que son pays reproduit les bonnes pratiques et accorde une priorité aux franges les plus pauvres de la société. Le CANADA a parlé des mesures concrètes prises pour l'expansion de leur programme de villes durables. Le ROYAUME-UNI a décrit les procédures régissant l'évaluation de la durabilité et de l'engagement communautaire. Le délégué des ETATS-UNIS a plaidé pour une budgétisation décentralisée. Le VENEZUELA a appelé à la diffusion des technologies d'information, et la CHINE a décrit la manière dont les initiatives urbaines sont évaluées et reproduites. La reconstruction et la réhabilitation après les conflits et les catastrophes naturelles: Cette session était présidée par le Vice-président Lolo. Teodor Antic, consultant indépendant, a présenté l'expérience de l'après-guerre de la Croatie. Notant que les défis posés étaient de nature à la fois matérielle et psychologique, il a décrit les rôles critiques du gouvernement et des communautés. Nabeel Hamdi, de l'Université Oxford Brooks, au Royaume-Uni, a déclaré qu'il n'est pas nécessaire d'établir un lien entre les phases de l'aide humanitaire et de développement de la reconstruction. Il a souligné que la plupart des institutions ont une plate-forme sectorielle mais que la reconstruction requiert un travail intersectoriel. Le Débat: Plusieurs pays ont identifié les voies et moyens de gérer les catastrophes et d'atténuer les risques, notamment à travers la planification de l'utilisation des sols, et de la préparation avancée. Les délégués ont également mis en relief le renforcement des capacités et le rôle des femmes. L'IRAN a appelé la CDD à examiner la manière dont elle peut contribuer à l'évaluation décennale de la Stratégie de Yokohama pour la Réduction des Catastrophes, et a appelé à la mise en place d'un centre de collaboration régional pour la gestion des catastrophes. L'INDE a mis l'accent sur l'élaboration de la cartographie des risques, sur la formulation des normes de construction, et sur l'intérêt accru pour l'habitat traditionnel après les catastrophes. Le porte-parole des SYNDICATS a souligné le besoin de reconstruire l'infrastructure sociale après les catastrophes et les conflits. La CROATIE a encouragé le comblement du fossé entre l'aide humanitaire et le développement. Hamdi a plaidé pour des plans d'action au niveau micro et pour le rétablissement de la confiance des communautés, à travers la prise de mesures pratiques. Onobukun a favorisé les objectifs faisables et pragmatiques sur les normes idéales. Garau a mis en garde contre la négligence des normes de construction et a souligné que le besoin que les régulations soient adaptées aux circonstances locales. DANS LES COULOIRS La fin de la première semaine de la CDD-12 a vu des réactions mitigées s'exprimer à l'égard du nouveau format. L'évaluation des discussions terminée, certains délégués ont fait part de leurs doutes quant à l'utilité des “palabres” techniques. D'autres se sont félicités de l'occasion qui leur est offerte pour rencontrer d'autres experts et interagir avec eux. Ce que nombre de délégués chevronnés ont à l'esprit, sont les questions qu'ils se posent sur le rapport de synthèse du Président, en particulier, ce qu'il contiendra et la manière dont il rendra compte des thèmes évoqués dans les débats de la semaine écoulée. Un certain nombre de pays en développement ont fait part de leur embarras d'avoir eu à constater que parmi les stratégies qui ont fait surface, en guise de recommandations, plusieurs vont au-delà des engagements approuvés au SMDD et déborde sur des considérations de souveraineté nationale. Certains estiment qu'un examen approfondi du rapport de synthèse est indispensable. Les participants sont également en train de voir comment le rapport de synthèse traitera des préparatifs intersessions de l'année consacrée au politiques, nombre de délégués suggérant que l'organisation des réunions politiques régionales est sans doute réglée. A SUIVRE AUJOURD'HUI SALLE DE CONFERENCE 1: Le matin, les délégués entendront des rapports sur l'état d'avancement de la mise en œuvre dans les régions de l'UNECLAC et de l'UNESCWA. L'après-midi, ils discuteront des liens entre les trois thèmes, se focalisant sur le rôle des collectivités locales, et sur les approches basées sur les droits. LA FOIRE AUX PARTENARIATS ET LE CENTRE D'APPRENTISSAGE: Les exposés concernant les partenariats auront lieu dans l'Auditorium de la bibliothèque Dag Hammerskjöld. Le Centre d'Apprentissage déroulera ses travaux dans la Salle de Conférence D. Consultez 'CSD Today' ou visitez http://www.un.org/esa/sustdev/csd/csd12/csd12.htm pour les détails. Ce numéro du Bulletin des Négociations de la Terre © , a été rédigé Catherine Ganzleben, Ph.D. , Prisna Nuengsigkapian , Richard Sherman et Andrey Vavilov, Ph.D. . Edition numérique: Leila Mead . Version française: Mongi Gadhoum . Editrice en chef: Pam Chasek, Ph.D. . Directeur du Service Information de l'IISD: Langston James Goree VI . Les principaux bailleurs de fonds du Bulletin sont: Le gouvernement des Etats-Unis (à travers le Bureau des océans et des affaires environnementales et scientifiques internationales, du département d'Etat américain); le gouvernement du Canada (à travers l'ACDI); l'agence suisse de l'environnement, des forêts et des paysages (SAEFL); le Royaume-Uni (à travers le DFID); le ministère danois des affaires étrangères; le gouvernement allemand (à travers les ministères de l'environnement (BMU) et de la coopération pour le développement (BMZ)); et le ministère néerlandais des affaires étrangères. Un soutien général a été accordé au Bulletin, au titre de l'exercice 2004, par: le PNUE; le gouvernement australien; le ministère fédéral autrichien de l'agriculture, des forêts, de l'environnement et de la gestion des eaux; les ministères suédois de l'environnement et des affaires étrangères; le ministère norvégien des affaires étrangères; Swan International, le ministère nippon de l'environnement (à travers l'IGES), le ministère nippon de l'économie, du commerce et de l'industrie (à travers GISPRI); Un financement particulier à la couverture de cette réunion, a été fourni par le ministère norvégien de l'environnement. La version française est financée par le ministère français des affaires étrangères et l'IEPF/OIF. Les opinions exprimées dans le Bulletin appartiennent à leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de l'IIDD et des bailleurs de fonds. 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