Daily report for 25 September 2003
JEUDI 25 SEPTEMBRE 2003
Tout au long de la journe, les dlgus prs du XIIe Congrs forestier mondial (CFM) ont particip des visites techniques et des vnements spciaux organiss sur les thmes: de la gestion des donnes; de la gestion forestire communautaire; de la dtermination de la science et la dfinition des priorits de la fort borale canadienne; de la participation des populations des forts et de la socit civile dans les processus dcisionnels nationaux et internationaux; du commerce du bois d'uvre dans les pays de la ceinture du Pacifique par rapport la GFD; de l'dification d'un capital social pour le dveloppement durable des zones forestires; et du partenariat WWF-Lafarge pour la restauration des paysages forestiers et du leadership de l'industrie dans le domaine de la GFD.
EVENEMENTS SPECIAUX
Echanges internationaux autour de la gestion forestire communautaire
Prsent par: la Fondation forestire nationale, le Rseau national des usagers des forts, le Comit communautaire du Septime congrs forestier amricain, le CCSAFC, et le Rseau international des communauts forestires
Wendy Hinrichs, du Comit communautaire du Septime congrs forestier amricain (CCSAFC), a expliqu que l'objectif des vnements spciaux consiste tablir un dialogue sur les cas de russite et sur les leons apprises, ainsi que sur les dfis relever et les recommandations pour la gestion forestire communautaire (GFC). Narayan Kaji Shrestha, du Centre rgional de formation en matire de foresterie communautaire, pour l'Asie et le Pacifique, a not que la formation joue un rle important dans les efforts visant venir bout des pratiques obsoltes et amliorer la prise de conscience, dans les rangs des membres des communauts et des responsables administratifs, quant aux opportunits offertes par la nouvelle lgislation, au Npal.
Martin Kijazi, de l'Universit de Toronto, a donn un aperu sur la dvolution de droits de gestion forestire aux communauts, en Tanzanie, soulignant que des droits de proprit adquats, des avantages conomiques tangibles et des institutions capables d'quilibrer les intrts des diverses parties prenantes, et d'tablir la confiance entre elles, sont des pralables ncessaires pour la russite de la GFC. Eleanor Torres, du CCSAFC, a dcrit les projets mis en place en coopration avec les communauts urbaines et les groupes informels du district, soulignant que des partenariats non-traditionnels peuvent tre ncessaires pour l'tablissement de projets de GFC dans zones urbaines.
Les participants ont dbattu du rle de l'quit, du pouvoir et de la continuit, dans la GFC. Un participant a not le besoin d'adopter des approches souples et ouvrant la voie l'galit des sexes, faisant rfrence aux contraintes poses la participation des femmes au Guatemala. D'autres, ont not que la situation du financement peut imposer aux projets, des calendriers inadquats. Quelques participants ont recommand l'implication d'cologistes dans la GFC et ont encourag les forestiers apprhender la GFC avec patience.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.communitiescommittee.org
http://www.forestsandcommunities.org
http://www.recoftc.org
http://www.nnfp.org
http://www.3i-s.com
Contacts:
Wendy Hinrichs Sanders:
forestsls@lsfa.org
Narayan Kaji Shrestha:
watchftp@wlink.com.np
Martin Kijazi:
martinkijazi@hotmail.com
Eleanor Torres: etorres@3i-s.com
Atelier sur la gestion des donnes
Prsent par Natural Resources Canada, Canadian Forest Service
Albert Simard, du Service forestier canadien (SFC), a donn un aperu sur les objectifs et les processus utiliss pour l'instauration de la gestion des donnes au sein du SFC. Il a dfini la gestion des donnes comme tant le dveloppement des capacits et des processus organisationnels dans les domaines de la collecte, de la prservation, de l'change et de l'intgration des donnes, informations et connaissances, pour le soutien des objectifs organisationnels, de l'apprentissage et de l'adaptation. Il a not que des employs engags ainsi qu'un leadership solide sont indispensables au dveloppement d'une vision et d'une stratgie, et de leur communication, entre autres, aux gestionnaires suprieurs, aux gestionnaires moyens et aux parties prenantes externes, comme partie intgrante du processus de changement. Simard a parl des objectifs de la gestion des donnes, y compris l'change d'informations entre les diffrentes organisations, et la prservation des donnes au sein des organisations. Il a affirm que la pratique de la gestion des donnes par le SFC, permettra de mettre l'information dont il dispose, la disposition d'une large plate-forme de clients et fera du SFC, la source d'information prfre. Caroline Cook, du SFC, a modr la discussion de groupe autour des questions suivantes: la question de savoir s'il est besoin d'une communaut de pratiques (CP) mondiales dans le domaine de la gestion des donnes management; la question de savoir ce que pourrait accomplir la CP dans le domaine de la gestion des donnes; le point de savoir quels sont les lments qui entravent et ceux qui facilitent la mise en place de la CP dans le domaine de la gestion des donnes ayant trait aux forts; et le point de savoir comment raliser la CP dans le domaine de la gestion des donnes ayant trait aux forts. Dans le dbat qui a suivi, quelques participants ont reconnu la ncessit de la gestion des donnes, et ont affirm que le transfert des technologies n'est pas une condition pralable pour la gestion des donnes et que la ralisation d'un consensus autour des dfinitions et des objectifs de gestion des donnes, aiderait faciliter une meilleure comprhension des problmes.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.nrcan-rncan.gc.ca/cfs-scf
Contacts:
Albert Simard: alsimard@nrcan.gc.ca
Caroline Cook: ccook@nrcan.gc.ca
Le commerce du bois d'uvre dans les pays de
la ceinture du Pacifique face au dveloppement durable
Prsent par 'Pacific Environment'
Cynthia Josayma, de 'Pacific Environment', a not que le commerce du bois d'uvre dans les pays de la ceinture du Pacifique connat une croissance exponentielle, et a attir l'attention sur les menaces qui en dcoulent, pour les peuples indignes et les communauts locales. Alexander Arbachakov, de l'Agence de recherche et de protection de la Taga, a appel la conduite: d'valuations d'impact cologique, de contrles et d'un suivi publics, compte tenu de la mauvaise gestion et de l'exploitation illicite des forts russes. Irina Bogdan, de l'Ecodal Environmental Law Group, a expliqu que selon la Constitution russe, tous les citoyens sont propritaires des ressources naturelles du pays et doivent, par consquent, tre directement impliqus dans la gestion public des forts. Elle a indiqu que la Russie manque de politiques de protection de l'environnement et de la biodiversit et ne protge que l'accs des peuples indignes aux forts, dans les domaines dclars d'usage traditionnel. Damien Ase, du Centre des lgislations environnementales et des droits communautaires, a expliqu que la fort pluvieuse de Papouasie Nouvelle Guine est la proprit collective des peuples indignes, et que leur libre consentement pralable, en connaissance de cause, est indispensable pour tout dveloppement; et que l'exploitation forestire illicite reste, toutefois, un problme. Hu Kanping, de l'organisation Amis de la nature, a expliqu comment son organisation, la premire organisation non gouvernementale en Chine, essaye d'amliorer la prise de conscience qu' l'impact nocif du commerce du bois d'uvre sur les communauts locales et sur les modes durables de consommation, notant que la croissance dmographique de la Chine est la cause de l'augmentation des importations de bois. Toyoyuki Kawakami, du Rseau 'Advocacy and Monitoring', a expliqu que les oprations forestires familiales japonaises ne peuvent concurrencer les importations internationales bon march, mettant en garde que la libralisation du commerce ne fera qu'accrotre ces pressions. Il a propos la mise en place de rgimes de suivi et de certification, aux fins de permettre la distinction entre le bois d'uvre d'origine lgale et celui d'origine illicite.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.pacificenvironment.org
http://www.celcor.org.pg
http://www.fon.org.cn/english
Contacts:
Cynthia Josayma:
cjosayma@pacificenvironment.org
Alexander Arbachakov: belsu@rikt.ru
Irina Bogdan: ecodal@clinic.kht.ru
Damien Ase: dase@celcor.org.pg
Hu Kanping: kanpinghu@yahoo.com.cn
Toyoyuki Kawakami: toyo@jca.apc.org
Participation des peuples
indignes et de la socit civile dans l'laboration des politiques
nationales et internationales
Prsent par Forest Peoples Programme
Tom Griffiths, di Forest Peoples Programme, a prcis que cet vnement spcial vise mettre en exergue les expriences des peuples indignes et la participation des organisations de la socit civile dans les prises de dcisions, notant qu'en dpit de normes pertinentes, cette implication est souvent inefficace et tardive. Miguel Lovera, de la Coalition forestire mondiale, a dclar que participation de la socit civile dans les forums internationaux est souvent limite au "constat des dgts" et qu' dfaut d'induire les rsultats souhaits, elle sert confrer une lgitimit inespre aux processus dcisionnels. Russell Diabo, au nom des Algonquins du Lac Barrire, a indiqu que la pauvret et le manque d'information et d'expertise technique entravent la participation, et a not que les recours en justice et les blocages sont souvent plus probants que les ngociations avec le gouvernement.
Jutta Kill, de Forests and the European Union Resource Network (FERN), a dclar que la cl de la russite des processus participatifs et la bonne comprhension de ses objectifs, ds le dpart, et l'galit des chances, pour l'ensemble des parties prenantes, de voir leurs proccupations traites et documentes. Notant que les grandes ONG ont souvent une influence plus importante sur le processus de consultation, que les groupes communautaires, Alison Dyke, de 'Reforesting Scotland', a recommand des efforts persistants de lobbying et la cration de groupes de pression communautaires. Les participants ont parl de leurs expriences aux chelons local et national, englobant, recours en justice, protestations, ultimatums, alliances entre les peuples indignes et les paysans, et la tenue de tables rondes rgionales.
Les participants ont mis en relief la faible mobilit des peuples indignes et l'absence d'aptitudes de lobbying chez eux, et a appel la cration d'un fonds qui leur soit consacr, un changement d'attitude au sein de la communaut des donateurs, et le soutien de la participation des peuples indignes dans les processus des Nations Unies. Ils ont dbattu, entre autres: du point de savoir s'il est besoin d'une participation slective ou d'une intensification gnrale de la participation des peuples indignes dans les forums internationaux; de la manire de modifier les modalits des forums internationaux; de l'efficacit des boycotts par rapport la participation dans les processus dcisionnels; de l'importance de s'assurer des liens directs entre les groupes de pression et les communauts locales; et le besoin d'utiliser de manire accrue, l'Internet et les campagnes mdiatiques.
Pour de plus amples
renseignements:
http://forestpeoples.gn.apc.org
http://www.barrierelake.ca
http://www.sinkswatch.org
http://reforestingscotland.gn.apc.org
Contacts:
Tom Griffiths:
tom@fppwrm.gn.apc.org
Miguel Lovera:
lovera2@conexion.com.py
Russell Diabo:
info@arbex.ca
Jutta Kill:
jutta@fern.org
Edification d'un capital social
pour le dveloppement durable, dans les zones forestires
Prsent par CORDESA: Secrtariat du "Rseau pour une foresterie
participative en Amrique Latine et Carabes"
Luis Astorga, d'Astorga Consultants, a parl du dveloppement durable et de la pauvret dans les zones rurales d'Amrique Latine, notant qu' mesure que la productivit des ressources naturelles baisse, la production et le revenu dclinent alors que le chmage et la migration augmentent. Astorga a indiqu en outre que les efforts fournis pour l'allgement de la pauvret, aboutissent frquemment l'chec, en raison du fait qu'ils ne prvoient pas d'difier un capital social, dfini comme tant une combinaison des relations sociales et des capacits dcisionnelles d'une communaut. Il a prcis que les lments ncessaires la construction du capital social, englobent: la possession des terres et des ressources naturelles; le savoir technique locale; l'accs aux marchs; le financement; et les capacits en matire de gestion. Il a indiqu que la construction du capital social a t restreinte: par la structure du pouvoir, par l'approche paternaliste des ONG et des gouvernements et par les divergences entre les parties prenantes, quant aux objectifs et aux intrts. Il a appel un renforcement des capacits et des organisations locales, l'autogestion, au renforcement des capacits, l'institutionnalisation de la participation et l'instauration d'une communication transparente. Ingrid Schreuel,de 'Consultants for Rural Sustainable Development SA (CODERSA), expliqu que CODERSA, un rseau oprant en Amrique Latine et Carabes, vise faciliter l'change d'expriences, la divulgation des donnes relatives la GFD, le suivi et le dveloppement de des processus participatifs, et les initiatives qui contribuent la construction du capital social. Schreuel a donn enfin un aperu sur les actions futur de CODERSA, notamment: la formation de rseaux nationaux; la mise en place de forums de ngociation; la facilitation des changes intercommunautaires; et, la promotion du renforcement des capacits.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.red-participacion.com
Contacts:
Luis Astorga:
luisastorga@entelchile.net
Ingrid Schreuel:
schreuel@intelnet.net.gt
Les forts borales canadiennes:
Faire le point, dfinir la science et dterminer les priorits
Prsent par Natural Resources Canada, Canadian Forest Service
Gordon Miller, du Service forestier canadien (SFC), a indiqu que les objectifs de cet vnement spcial consistent tablir les priorits de la recherche scientifique sur les forts borales et de forger des partenariats. Valery Roshchupkin, du Ministre des ressources naturelles de la Fdration de Russie, a donn un aperu sur la gographie de la fort borale russe, signalant que le changement climatique et la biodiversit sont, en Russie, des domaines importants de dveloppement politique. John Spence, de l'Universit d'Alberta, a fait le point de la science des forts borales canadiennes, soulignant l'importance de la distinction entre science et valeurs, dans le domaine de la recherche forestire. Il a argu que la protection de la biodiversit suppose la protection de toutes les espces, et pas simplement de celles qui ont un attrait populaire. Il a affirm galement que la gestion de la biodiversit, au niveau du paysage, est important, mais que cela ne doit pas se faire au dtriment de la recherche d'autres niveaux. Joseph Anawati, du SFC, a prsent les rsultats de l'atelier qui a permis aux chercheurs du SFC, du Service canadien charg de la faune (SCF), du Rseau de gestion forestire, de la Ducks Unlimited et de l'initiative borale canadienne pour l'tablissement de l'agenda pour la recherche scientifique portant sur les forts borales. Anawati a rapport que les participants de l'atelier ont mis en relief, la ncessit de plus de recherche, entre autres, sur: les dimensions humaines des forts, les zones riveraines des rivires, et la biodiversit, concluant que la science des forts borales offre aux diffrentes parties prenantes, un forum pour l'identification d'un terrain d'entente. Samantha Song, du SCF, a dcrit le travail accompli dans le cadre du nouveau programme du SFC, appel 'Western Boreal Conservation Initiative'. Song a identifi de nombreuses activits humaines dans le boral, notamment, l'extraction de ptrole et de gaz, l'extraction minire, le dveloppement hydrolectrique et la conversion agricole, notant que certaines d'entre-elles menacent la biodiversit borale. Elle a mis en exergue galement la ncessit d'une meilleure comprhension du changement climatique, et davantage d'efforts pour empcher que les espces deviennent des espces menaces d'extinction. Eric Butterworth, de Ducks Unlimited, a indiqu que les partenariats tablis avec le Programme pour les forts modles canadiennes et avec le Centre national de recherche hydrologique ont jou un rle important, dans les efforts fournis par Ducks Unlimited, visant s'assurer la conservation de l'habitat des terres humides du boral et a soulign que la communaut des donateurs place un grand accent sur les partenariats. Anatoly Shvidenko, de l'International Institute for Applied Systems Analysis, a parl de l'Alliance international pour la recherche sur les forts borales, indiquant que l'interaction sociale durant les confrences scientifiques constitue un aspect important de la recherche scientifique.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.nrcan.gc.ca/cfs-scf/index_e.html
http://www.cws-scf.ec.gc.ca/index_e.cfm
Contacts:
Gordon Miller:
gordon_e.miller@nrcan-rncan.gc.ca
Chris Lee: chris.lee@nrcan-rncan.gc.ca
Partenariat WWF-Lafarge pour la
restauration des paysages forestiers: un modle probant de collaboration
dans le domaine forestier, entre l'industrie et les ONG cologiques
Prsent par WWF-international et Lafarge
Jeff Sayer, de WWF International, a prsent le Partenariat portant sur la restauration des paysages forestiers, tabli entre l'organisation WWF et l'entreprise Lafarge, fabriquant de matriaux de construction, comme tant un bon exemple de partenariat public-priv, et a soulign l'importance de la restauration des paysages forestiers en tant qu'approche mergeante en matire de conservation.
Michel Picard, de 'Lafarge', a donn un aperu sur l'historique du partenariat tabli entre l'entreprise et le WWF, partenariat qui a pour origine, l'intrt commun que le WWF et Lafarge portent la mise en valeur des paysages. Il a mis en exergue l'engagement de Lafarge en faveur de ce partenariat et de l'amlioration des performances cologiques de l'entreprise.
Jill Bowling, du WWF, a prsent sa vision du partenariat, notant que c'est la collaboration, et non le conflit, qui peut aider faire avancer l'agenda de la conservation. Elle a prcis que le dialogue avec les partenaires industriels n'est pas toujours facile, il peut apporter des rsultats positifs tangibles, et a not que le partenariat avec Lafarge dpasse les seuls domaines de la gestion des substances toxiques et de la rduction des rejets de carbone.
Steve Price, de WWF Canada, a donn un aperu sur le travail du WWF et de Lafarge, dans la valle de la Rivire Bow, Alberta, pour la cartographie des habitats connus et des habitats potentiels de la faune sauvage, et pour l'identification des actions mener en matire de conservation. Il a indiqu enfin que le partenariat permet l'change d'information et d'expertise entre les partenaires.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.panda.org
http://www.lafarge.org
Contacts:
Jeff Sayer: jsayer@wwfint.org
Michel Picard: michel.picard@lafarge.com
Jill Bowling: jbowling@wwfint.org
Steve Price: panda@wwfcanada.org
Le leadership de l'industrie
dans le domaine de la GFD
Prsent par l'Association canadienne des produits forestiers
Wulf Killmann, de la Division de la FAO charge et de l'tude conomique des produits forestiers, a parl de la production forestire, du commerce international, des produits alimentaires tirs des forts et des mcanismes de march mis en place pour l'attnuation des effets du changement climatique. Il a expliqu que les prvisions indiquent que d'ici 2050, la moiti de la consommation mondiale de bois d'uvre proviendra des plantations forestires. En conclusion, il a soulign la ncessit d'une coopration entre les ONG et le secteur priv, pour la promotion de la GFD. Carlos Aguiar, de la firme Aracruz Celulose SA, a parl des conditions favorables instaures pour l'industrie forestire au Brsil, qui englobent: une disponibilit des terres, un climat favorable et une technologie forestire de pointe. Il a mis en relief la focalisation de sa firme sur l'investissement soutenu dans les projets locaux d'ducation et de gestion de l'eau. Thomas Jorling, de l'International Paper, a mis en exergue les profits tirs des produits forestiers, a parl des aspects conomiques et sociaux de la GFD et a indiqu que le dfi le plus important relever la GFD, est celui de l'expansion des forts prives. Avrim Lazar, de l'Association canadienne des produits forestiers (ACPF), a parl des efforts fournis par l'ACPF pour s'assurer de la GFD, et a soulign le besoin d'intgrer les considrations conomiques, sociales et environnementales dans la gestion forestire. Il a conclu en demandant toutes les associations nationales de produits forestiers, d'encourager la certification des tierces parties, en tant que norme industrielle internationale.
Pour de plus amples
renseignements:
http://www.fao.org
http://www.aracruz.com.br
http://www.internationalpaper.com
Contacts:
Wulf Killmann: wulf.killmann@fao.org
Carlos Aguiar: caa@aracruz.com.br
Thomas Jorling: thomas.jorling@ipaper.com
Avrim Lazar: alazar@fpac.ca
THINGS TO LOOK FOR TODAY
SESSION PLENIERE: La Plnire se runira 9h dans la salle 200, pour dbattre des politiques de mise en uvre. Elle se runira, de nouveau, 14h, pour l'introduction du Thme C: "Des humains et des forts en harmonie."
SESSION EXTRAORDINAIRE: Une session extraordinaire est prvue 9h40, dans la salle 200, pour entendre les rsultats des vnements spciaux.
SESSION GENERALE: La session gnrale se runira 10h15 dans la salle 200, pour entendre les conclusions et les recommandations des sessions co-rgionales et des sessions thmatiques A, "Des forts pour les humains," et B, "Des forts pour la Plante."
SESSIONS THEMATIQUES: La Session thmatique C se runira 15h30, pour procder l'examen: de la gestion et des processus dcisionnels participatifs; des partenariats dans le domaine de la gestion forestire; de l'administration et des politiques forestires; des politiques et des interactions intersectorielles; du dveloppement professionnel et de la sensibilisation; et, le la mise en uvre des engagement internationaux.