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Daily report for 9 July 2012

La 30ème session du Comité des pêches (COFI) de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimenta-tion et l'agriculture (FAO) s'est réunie en sessions plénières toute la journée de lundi. Le COFI a entendu une présentation du Directeur général de la  FAO et a examiné et approuvé l'ordre du jour et l'organisation de la session ainsi que la désignation des membres du Comité de rédaction. Le débat sur le Règlement intérieur révisé du Comité et des pratiques modifiées de celui-ci a été reporté à jeudi. Pendant le reste de la journée, le COFI a examiné les pêches et l'aquaculture dans le monde: état des lieux, problèmes et besoins, et les progrès accomplis dans l'application du Code de conduite pour une pêche responsable (CCPR) et des instruments connexes.

OUVERTURE DE LA SESSION

Le président Mohammed Pourkazemi (République islamique d'Iran) a ouvert la réunion. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO a déclaré que la FAO a réduit ses objectifs stratégiques à: l'élimination de la faim et de l'insécurité alimentaire; l'accroissement de la production de l'agriculture et des pêches; l'amélioration des moyens de subsistance des populations rurales, en particulier des femmes; la promotion de systèmes de production plus équitables; et au renforcement de la résilience face aux menaces et aux crises. da Silva a salué les résultats de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD ou Rio+20) concernant les océans.

QUESTIONS D'ORGANISATION: Adoption de l'ordre du jour: Les  délégués du COFI ont adopté l'ordre du jour (COFI/2012/1). Au titre du point “questions diverses,” la RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'IRAN a demandé que du temps soit consacré à l’examen de la menace que représente la piraterie pour les navires de pêche commerciaux.

Élection du Bureau: Les membres du bureau actuel resteront en fonction et un nouveau bureau sera élu à la fin de la COFI30. Le bureau est composé de: Mohammad Pourkazemi (République islamique d'Iran) en tant que président et de Johan Williams (Norvège) en tant que vice-président. Les autres vice-présidents comprennent le Canada, l'Inde, le Chili, l'Espagne et le Zimbabwe. Le Comité de ré-daction, présidé par les États-Unis, est composé de l'Argentine, du Canada, du Burkina Faso, de Chypre, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, de la Norvège, de l'Espagne, d'Oman, du Sri Lanka, et du Kenya.

Adoption du Règlement intérieur révisé du Comité et des pratiques modifiées (COFI/2012/9): À la demande de l'ARGENTINE et du Pérou, au nom du GROUPE DES ÉTATS D'AMÉRIQUE LATINE ET DES CARAÏBES, ce point de l'ordre du jour a été reporté à jeudi.

PÊCHES ET AQUACULTURE DANS LE MONDE: ÉTAT DES LIEUX, PROBLÈMES ET BESOINS: Árni Mathiesen, Sous-Directeur général chargé du Département des pêches et de l'aqua-culture de la FAO, a présenté le rapport sur La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture 2012 (SOFIA 2012), examinant les tendances de la production, de la demande et du commerce dans les secteurs de l'aquaculture et des pêches.

Richard Grainger, Service de l'information et des statistiques sur les pêches de la FAO a traité: d'un nouveau programme pour la gestion durable des ressources halieutiques et la conservation de la biodi-versité dans les zones situées au-delà de la juridiction nationale (ZADJN) financé par la FAO et le Fonds pour l'environnement mondial; d'un système permettant de suivre les interactions entre l'écono-mie et l'environnement; des travaux menés avec l'Organisation maritime internationale (OMI) sur des directives permettant de contrôler les engins de pêche rejetés et les débris marins.

Le BRÉSIL a appelé la FAO à se concentrer sur la viabilité économique des pratiques de pêche et d'aquaculture pour garantir la sécurité alimentaire, et a souligné l'importance du libre échange des produits de la pêche.

Le BANGLADESH, soutenu par l'INDE et le NICARAGUA, a demandé que le rapport SOFIA soit plus largement diffusé, soit traduit dans plus de langues, et inclue les incidences des autres secteurs sur les pêches.  L'Union européenne (UE), soutenue par la FÉDÉRATION DE RUSSIE, la NORVÈGE, l'ISLANDE, le CANADA, la NAMIBIE, les ÉTATS-UNIS, et les PHILLIPPINES, a demandé que le rapport SOFIA soit publié avant les réunions du COFI pour donner suffisamment de temps aux délé-gués pour l'examiner.

MAURICE, soutenu par la FÉDÉRATION DE RUSSIE, a demandé des éclaircissements sur la locali-sation des 13% de stocks de poissons qui ne sont pas pleinement exploités.

La THAÏLANDE a estimé que des histoires de réussites sur la manière dont les pays mettent en œuvre les mesures concernant la pêche seraient utiles.

L'ANGOLA a déclaré que SOFIA devrait rester une publication spécialisée faite pour aborder les défis essentiels concernant les pêches. Soutenu par le MOZAMBIQUE, le GHANA et le BRÉSIL, le représentant a appelé à la poursuite des travaux de la FAO sur la pêche INDNR.

L'UE s'est dite préoccupée au sujet de la pression croissante exercée sur les stocks de poissons mondi-aux, notant qu’ils sont trop nombreux à demeurer surexploités.  Le représentant a ajouté: que le man-que de données disponibles est un défi majeur pour de nombreux stocks; que des travaux supplémen-taires sont nécessaires pour réduire la demande de l'aquaculture en aliments pour poissons; et que le dépassement des objectifs de prise par les pêches en eau profonde est préoccupant.

Le MOZAMBIQUE, soutenu par le CHILI, a noté l'importance des discussions menées au sein des Organisations régionales de gestion des pêches (ORGP), et a soutenu le travail de la FAO pour aider les pays à faire avancer la pêche dans les ZADJN.

L'AFRIQUE DU SUD a déclaré que SOFIA offre des orientations pour l'élaboration de politiques et la prise de décision et a appelé la FAO à proposer des mesures pour améliorer la gouvernance des océans qui soient alignées sur les résultats de Rio+20. La RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'IRAN a suggéré que la FAO développe une approche détaillée pour la mariculture, le BURKINA FASO ajoutant que la production aquacole peut aider à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement. L'IS-LANDE a mis l'accent sur l'intégration des questions d’égalité entre les sexes dans l'aquaculture, le CANADA et la NAMIBIE notant les avantages économiques de l'aquaculture. Le KENYA a détaillé un programme de promotion du secteur de l'aquaculture et la nourriture et les emplois qu'il fournit.

La NORVÈGE, soutenue par la NOUVELLE-ZÉLANDE, l'INDE, les ÉTATS-UNIS, et le BRÉSIL, a noté des problèmes avec les catégories actuelles d'exploitation des stocks et a suggéré deux catégories alternatives – les stocks pêchés à des niveaux durables par opposition à des niveaux non durables – avec des sous-catégories supplémentaires. La NOUVELLE-ZÉLANDE a souligné la pertinence des questions sociales, telles que les mauvais traitements à l'encontre des équipages de pêche.

Le SÉNÉGAL a déploré le fait que le déséquilibre des capacités de pêche ne soit pas abordé dans le rapport SOFIA. Les ÎLES COOK ont appelé les nations pêchant le long des côtes des petits États in-sulaires en développement (PEID) à réduire leurs efforts de pêche. Les MALDIVES ont déploré la mauvaise gestion mondiale des pêches, déclarant que les ORGP sont incapables de résoudre les prob-lèmes de gestion mondiale.

La SIERRA LEONE et les SEYCHELLES ont appelé à une responsabilité accrue des États côtiers et des États du pavillon vis-à-vis de la pêche INDNR et de la capacité pour la gestion des pêches.

Les ÉTATS-UNIS ont accueilli avec satisfaction l'accent mis sur les pêches à petite échelle et les pêches artisanales. Le JAPON a déploré l'expansion de la taille des flottes de pêche à la senne coulissante dans les océans Pacifique oriental, central et occidental et leur impact nuisible sur les stocks de thons obèses.

Les PHILIPPINES ont déclaré que, suite à Rio+20, le COFI doit soutenir la croissance verte. La RÉ-PUBLIQUE DE CORÉE a annoncé son Atelier sur l'aquaculture et la croissance verte en décembre 2012, portant sur les questions d'alimentation, de rejet des déchets et d'évasion.

Le Centre de développement des pêches de l'Asie du Sud-Est a recommandé que la FAO continue à travailler avec des partenaires pour faire progresser la sensibilisation aux questions concernant les pêches et l'aquaculture dans les pays de l'Asie du Sud-Est.

INFOPESCA a noté le besoin d'information actualisée sur les marchés, et a fait le point sur ses travaux concernant le transfert des connaissances et les questions d’égalité entre les sexes. La Conférence min-istérielle sur la coopération dans le domaine de la pêche entre États africains riverains de l'océan Atlan-tique a déclaré avoir établi un partenariat avec la FAO pour développer le Réseau africain des femmes de la pêche, et a demandé un sous-comité du COFI sur les questions d’égalité entre les sexes.

La Commission du courant de Benguela a expliqué les travaux de gestion des pêches et d'évaluation du Grand écosystème marin du courant de Benguela, notamment une analyse des pêches menée au cours des dernières décennies pour évaluer les incidences du climat sur les pêches. L'Accord sur la conservation des albatros et des pétrels a déclaré espérer travailler avec la FAO pour l'inclusion d'informations sur les prises accidentelles dans les futurs rapports SOFIA. INFOPÊCHE a noté son objectif de stimuler la commercialisation des produits de la pêche provenant d'Afrique.

Le FORUM MONDIAL DES PEUPLES PÊCHEURS et le réseau Mangrove se sont dit préoccupés par le fait que les flottes de pêche commerciales ont l'intention de déplacer leurs opérations vers les zones tropicales et subtropicales. La Commission sous-régionale des pêches de l'AFRIQUE DE L'OUEST a mentionné un mécanisme consultatif qu'elle développe pour accroître la capacité de gouvernance des pêches. L'Autorité technique du lac Tanganyika a souligné l'attention nationale accrue portée à la ges-tion des pêches riveraines.

GREENPEACE, PEW et l'UICN ont déclaré que les catégories pour l'exploitation des stocks de poissons ne devraient pas être trop simplifiées, se disant préoccupés par le fait que seuls 13% des stocks de poissons sont sous-exploités, et ont appelé à une action urgente pour reconstituer les stocks de poissons. La COALITION INTERNATIONALE DES ASSOCIATIONS HALIEUTIQUES a apporté son soutien aux catégories “durables” et “non durables” pour les évaluations des stocks, notant que l'objectif est d'exploiter pleinement les stocks de poissons.

Le Mécanisme régional de gestion des pêches des Caraïbes a souligné l'importance de l'assistance technique offerte par la FAO, en particulier aux PEID pour l'amélioration des cadres de gouvernance. Le Comité des pêches pour le centre-ouest du golfe de Guinée a demandé que l'accent porte davantage sur l'aquaculture pour accroître l'approvisionnement en poisson en Afrique. La Coalition des peuples pour la souveraineté alimentaire a mis l'accent sur la nécessité de donner la priorité aux informations pertinentes pour améliorer l'existence des pêcheurs à petite échelle.

En réponse, le Secrétariat de la FAO a déclaré qu'il considèrerait la diffusion avancée de SOFIA; que les stocks de poissons modérément exploités n'étaient jusqu'à présent pas considérés comme ayant un attrait commercial; que l'exploitation des stocks de poissons sauvages pour la production de farine de poisson a diminué pour privilégier les abats et les déchets de poisson; et que les niveaux d'exploitation des stocks de poissons ont déjà été modifiés en trois nouvelles catégories – modérément exploités, pleinement exploités et surexploités.

PROGRÈS ACCOMPLIS DANS L'APPLICATION DU CODE DE CONDUITE POUR UNE PÊCHE RESPONSABLE ET DES IN-STRUMENTS CONNEXES, Y COMPRIS LES PLANS D'ACTION ET LES STRATÉGIES INTERNATIONAUX ET AUTRES QUESTIONS:David Doulman, FAO, a expliqué que le rapport (COFI/2012/3) fournit une vue d'ensemble des résultats des questionnaires d'auto-évaluation, mais a mentionné le très faible taux de réponse par rap-port aux années précédentes. Il a exprimé ses inquiétudes concernant le fait que là où des valeurs de références spécifiques à la pêche de certains stocks sont en place, elles sont dans leur majorité soit ap-prochées soit dépassées. Concernant la sécurité en mer et la coopération entre la FAO, l'OMI et l'Or-ganisation internationale du travail, il a déclaré que de nouvelles normes de sécurité pour les navires de pêche artisanale seront bientôt publiées. Il a noté que plusieurs pays manquent de cadres juridiques et institutionnels pour l'aquaculture mais qu'environ 75% des membres ayant répondu indiquent qu'il promeuvent des pratiques aquacoles responsables.

De nombreux délégués se sont déclarés préoccupés par le faible taux de réponse. L'UE a souligné que les valeurs de référence spécifiques à la pêche de certains stocks ont souvent été dépassées et a appelé au renforcement des politiques nationales. MAURICE a suggéré que le faible taux de réponse pourrait être dû au caractère volontaire du questionnaire. Les ÎLES COOK ont déclaré que le faible taux de réponse ne reflète pas un manque de respect du CCPR et ont ajouté qu'il serait également utile d'avoir les rapports des ORGP.  Le CHILI a ajouté que les réponses oui / non prédéterminent les réponses.  Le CANADA a déclaré que le questionnaire est un instrument essentiel pour témoigner de son engagement et identifier les lacunes et les défis. Soutenue par le BRÉSIL, la représentante a recommandé le développement d'un système en ligne pour des questionnaires électroniques.

Chypre, au nom de l'UE, a présenté les progrès accomplis dans la mise en œuvre des PAI tels qu'une politique relative à la pêche INDNR introduite en 2010 et un Plan d'Action de l'UE sur la conservation et la gestion des requins.

Le CAMEROUN, soutenu par la CÔTE D’IVOIRE, a déclaré que la mise en pratique des principes du CCPR est difficile lorsque l'on traite avec des pêcheurs analphabètes issus d'ethnies diverses et a de-mandé une meilleure application de l'Article 5 du CCPR sur les besoins particuliers des pays en dé-veloppement.

Le JAPON a souligné les efforts en cours pour présenter un rapport sur les PAN concernant les oiseaux de mer et les requins, et a noté que le Japon s'oppose au découpage des nageoires de requins et soutient la gestion durable des pêches de requins. Le MOZAMBIQUE a accueilli avec satisfaction l'intérêt et l'assistance portés à la création d'un centre de coordination régional pour le suivi, le contrôle et la sur-veillance, les initiatives de gestion des pêches, l'aquaculture et la réduction des prises accidentelles. L'AUSTRALIE a mis en exergue ses activités, notamment sur: les requins, l'interdiction des bas de ligne en acier, et l'examen des interactions entre les oiseaux de mer et les filets maillants et à senne coulissante. Le Nicaragua a parlé des efforts des pays de l'OSPESCA pour la mise en œuvre d'une ges-tion durable, y compris l'entrée en vigueur du Code de déontologie pour une pêche et une aquaculture durables dans les États d'Amérique centrale.

L'ÉQUATEUR a noté les progrès accomplis sur le CCPR concernant la chaîne de valeur du thon équa-torial. Le VENEZUELA a déclaré qu'il a approuvé les lois sur les pêches et l'aquaculture et établi des normes techniques régissant les activités des pêcheurs artisanaux. Le CHILI a présenté une nouvelle loi contre le découpage des nageoires de requins et l'utilisation de matériel amélioré pour empêcher la capture des oiseaux et la pêche au chalut destructrice. Le CANADA a demandé des analyses plus dé-taillées incluant les limites de prises, la production de rapports par espèces, et les interdictions de dé-coupage des nageoires de requins pour les navires situés au-delà des eaux nationales.

LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'IRAN a recommandé que des enquêtes régionales soient menées et que les membres de la FAO aident à lutter contre la pêche INDNR des esturgeons en mer Caspienne. PALAU a présenté un sanctuaire de requins et ses efforts pour lutter contre la pêche INDNR.

L'INDONÉSIE et la CÔTE D’IVOIRE ont présenté les travaux accomplis dans l'intégration des prin-cipes du CCPR dans la législature.

DANS LES COULOIRS

En décalage avec son cycle bisannuel de réunions en janvier, la 30ème session du COFI a entamé ses délibérations tandis qu'elle passait à une nouvelle position dans la succession générale des réunions de la FAO. Un changement voulu pour améliorer la coïncidence du flux des résultats du COFI avec les autres cycles de réunions et d'affectation des ressources de la FAO. A l'issue de la première journée, les résultats de la COFI30 restent à déterminer puisque, selon un délégué, “avec le COFI, on ne va pas savoir avant vendredi”. Néanmoins, il est clair que les délégués sont venus à cette session avec divers objectifs, et l'importance des océans dans le document final de Rio+20, “L'avenir que nous voulons” a contribué à souligner la nette et potentiellement croissante importance des questions relatives aux océ-ans. Les mesures faisant progresser le rôle des États du port et les approches écosystémiques de la ges-tion des pêches figuraient parmi les priorités de certains délégués, tandis que d'autres ont mis l'accent sur le fait que la FAO doit se concentrer sur l'actuel programme de travail pluriannuel du COFI plutôt que de s'attaquer à de nouvelles questions. Toutefois d'autres délégués se sont montrés surpris au retrait des questions liées aux effets des changements climatiques sur les pêches et l'aquaculture, déclarant que la négligence de ces questions freine la dynamique amorcée à Rio+20 concernant le “verdissement de l'économie bleue”.

Ce numéro du Bulletin des Négociations de la Terre © <enb@iisd.org> a été rédigé par Graeme Auld, Ph.D., Jonathan Manley, Alice Miller et Dorothy Wanja Nyingi, Ph.D. Edition numérique: Mike Muzurakis. Version française: Louison Dumaine-Laulusa. Editrices: Robynne Boyd et Pamela S. Chasek, Ph.D. <pam@iisd.org>. Directeur du Service des informations de l’IIDD: Langston James “Kimo” Goree VI <kimo@iisd.org>. Les bailleurs de fonds du Bulletin sont: la commission européenne (DG-ENV), le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique (à travers le Bureau des océans et des affaires environnementales et scientifiques internationales du département d’Etat américain), le gouvernement du Canada (à travers l’ACDI), le ministère danois des affaires étrangères, le ministère allemand de la coopération économique et développement (BMZ), le ministère fédéral allemand de l’environnement, de la préservation de la nature et de la sécurité nucléaire (BMU), et le gouvernement australien. Un soutien général est accordé au Bulletin, au titre de l’exercice 2012, par: le ministère norvégien des affaires étrangères, le ministère suédois de l’environnement, le ministère néo-zélandais des affaires étrangères et du commerce extérieur, SWAN International, l’Office fédéral suisse de l’environnement (FOEN), le ministère finlandais des affaires étrangères, le ministère nippon de l’environnement (à travers l’IGES), le ministère nippon de l’économie, du commerce et de l’industrie (à travers GISPRI), et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Le financement pour la traduction du Bulletin en français a été fourni par les gouvernements de la France, de la Région wallonne de Belgique, de la Province du Québec et de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF et IEPF). Les opinions exprimées dans le Bulletin appartiennent à leurs auteurs et ne reflètent pas forcément les vues de l’IIDD et des bailleurs de fonds. Des extraits du Bulletin peuvent être utilisés dans des publications non commerciales moyennant une citation appropriée. Pour tout renseignement, y compris les demandes de couverture d’événements par nos services, contacter le Directeur du Service des informations de l’IIDD, <kimo@iisd.org>, au +1-646-536-7556 ou par courrier au 320 E 46th St., APT 32A, New York, NY10017-3037, USA. L’équipe du ENB couvrant COFI 30 est joignable par courriel à <graeme@iisd.org>.

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