Daily report for 2 May 2006

LES FAITS MARQUANTS DE LA CDD-14:

MARDI 2 MAI 2006

Le matin et laprs-midi, les dlgus ont examin la mise en application rgionale. Dans une session parallle, les dbats thmatiques se sont poursuivis sur laccs aux services nergtiques et sur lamlioration de lefficacit nergtique pour le traitement de la pollution, des changements climatiques et du dveloppement industriel.

SALLE DE CONFERENCE 4: LE MATIN

DEBAT THEMATIQUE: Elctrification, y compris llectrification dans les zones rurales: franchir les barrires infrastructurelles, financires, politiques et institutionnelles: Cette sance a t prsid par le Vice-prsident Yvo de Boer (Pays-Bas).

Harish Hande, de la SELCO Solar Light, en Inde, a identifi quatre lments, tels que le traitement de la chaine dapprovisionnement et les liens entre la gnration de revenus, la pauvret et les services nergtiques. Signalant que dans les taudis llectricit est souvent fournie de manire illicite, Connie Smyser, de Smyser Associates, a soulign limportance des partenariats sociaux et du soutien rglementaire. Au fins dacclrer les dfis de laccessibilit, Vijay Modi, de la Columbia University, a suggr de se concentrer sur laccs institutionnel et sur ltalement des cots. Lee Yee Cheong, de la Commission de lEnergie, Malaisie, a parl de la ncessit de mobiliser la volont politique dans les pays en dveloppement et a argu que les mga projets dlectrification ne profitent pas aux pauvres.

Dbat: Se rfrant aux changes de lundi sur laccs lnergie dans les zones rurales et urbaines, lAUSTRALIE a cit le manque de connaissances et dimplication des communauts comme tant deux principales contraintes. Au sujet du dpassement des problmes dentretient de linfrastructure, lARGENTINE a parl de la russite des petites entreprises dentretient. LAFRIQUE DU SUD a dcrit les barrires entravant lintroduction du gaz liquide dans les communauts rurales, et la TANZANIE a mis en relief le lien entre le dboisement et la satisfaction des besoins en matire dnergie, dans les zones loignes. La COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE a tabli une distinction entre les besoins des, et les solutions devant tre apportes aux, communauts rurales par rapport aux taudis urbains.

Plusieurs pays ont partag leurs expriences nationales dans le domaine de llectrification et des initiatives en matire dnergie propre, soulignant limportance des solutions adapts aux contextes et du subventionnement des frais dapprovisionnement et de limplication de lensemble des parties prenantes. La NORVEGE a dcrit les options du financement, y compris la garantie de laccs la proprit foncire et le micro financement. Dcrivant linitiative de lUE dans le domaine de lnergie, la COMMUNAUTE EUROPEENNE (CE) a soulign la ncessit dune approche nergtique intgre et dun dialogue entre les parties prenantes. Les ETATS-UNIS ont soulign limportance de la cration dorganismes intermdiaires entres les services et les communauts. Au sujet des barrires entravant laccs lnergie, le SENEGAL a dclar quun environnement institutionnel habilitant est indispensable pour lattraction des investisseurs du secteur priv, et le VENEZUELA a signal labsence de rglementations fortes du secteur de lnergie dans un grand nombre de pays en dveloppement. La JAMAQUE a dclar que la russite de son programme dextension du quadrillage rural a aid au ralentissement de lexode rural et la promotion de la cration demplois. Le NIGERIA a parl du problme de la distribution de lnergie et du cot lev des sources dnergie alternatives. Les FEMMES ont soulign la ncessit de confier aux femmes lentretient des installations nergtiques locales. LISLANDE a plaid en faveur de lutilisation, dans les pays en dveloppement, des sources dnergie domestiques, telles que les ressources gothermiques. Le DENMARK a mis en exergue le rle des nergies renouvelables dans laccroissement de laccs lnergie et lattnuation des changements climatiques. LARABIE SAOUDITE a maintenu que la fixation du carbone est une technologie de rduction des GES, viable. LALLEMAGNE a appel une expansion des mesures visant favoriser lefficacit nergtique, partout dans le monde, et a soulign que les conomies dchelle aboutissent des cots moins levs. Le SYNDICAT DES TRAVAILLEURS a mis en garde contre la privatisation des marchs de lnergie, et le SYNDICAT DU COMMERCE ET lINDUSTRIE a soulign la responsabilit partage de lutter contre la corruption.

SALLE DE CONFERENCE 2: LE MATIN

SESSION REGIONALE: Commission Economique des Nations Unies pour lAfrique (ECA): Cette session a t prsid par le Vice-prsident Azanaw Abreha (Ethiopie). Josu Dion, de lECA, a soulign la vulnrabilit de lAfrique compte tenu du taux lev de pauvret et de la fragilit des conomies bases sur les ressources naturelles. Blessing Manale, de la coopration Internationale pour le Dveloppement Durable, Afrique du Sud, a parl des technologies nergtiques inappropries et des barrires poses linvestissement intrieur et extrieur. Philippe Niyongabo, de la Commission de lUnion Africaine, a mis en relief laccs lnergie, lnergie hydraulique et la gouvernance. Jacque Moulot, de lECA, a dclar que des liens meilleurs entre les stratgies de dveloppement industriel et de rduction de la pauvret sont ncessaires.

Dbat: Le Royaume-Uni a parl des domaines dintrt commun avec la rgion de lEEC. Le DANEMARK a dclar que laugmentation du prix du ptrole dstabilise le dveloppement. LEGYPTE a soulign la ncessit dinvestissements dans lnergie hydraulique, tandis que la Commission de lUnion Africaine a mis laccent sur labsence de capacits dinvestissement. LOrganisation des Nations Unis pour e UN de Dveloppement Industriel a appel une utilisation efficace de lnergie. Le SOUDAN a appel une approche holiste lgard des problmes de lnergie et de la dette extrieure. Le CAP VERT a soulign les perspectives des PEID. Le Prsident a soulign: que lamlioration de laccs lnergie est ncessaire pour la rduction de la pauvret; que les prix du ptrole et du gaz exacerbe les problmes poss en Afrique; que les stratgies rgionales devraient intgrer les plans de rduction de la pauvret; que lcart entre les promesses et les livraisons doit tre trait; et, que des opportunits devraient tre cres pour lAfrique, demployer les technologies nergtiques durables modernes.

Commission Economique et Sociales des Nations Unies pour lAsie Occidentale (ESCWA): Cette session a t prsid par le Vice-prsident Javad Amin-Mansour (Iran).

Anhar Hegazi, de lESCWA, a parl de labsence daccs lnergie pour 21.4 pour cent de la population, dans la rgion domine par des pays producteurs de ptrole. Aysar Tayeb, du Ministre du Ptrole, lArabie Saoudite a appel le Mcanisme pour un Dveloppement Propre et lAPD apporter leur soutien au pigeage et stockage du gaz carbonique. Sayed Emam, du Ministre de lEnergie, Egypte, a soulign que les nergies renouvelables reprsentent 0,1 pour cent uniquement de lensemble de la consommation de la rgion. Fouad Shaker, de lUnion des Banques Arabes, a soulign la ncessit de mobiliser linvestissement priv et de la coopration des pays industrialiss. Emad Adly, du Rseau Arabe pour lEnvironnement et le Dveloppement, a dcrit le faible soutien financier apport aux communauts.

Dbat: LEGYPTE a annonc la Troisime Confrence Rgionale sur lEnergie pour la Rgion Afrique et Afrique du Nord, qui se tiendra du 10 au 12 juin 2006, avec lappui de lESCWA et du PNUD. La JORDANIE a prdit que les prix du ptrole atteindront $150 le baril dans une dcennie, et a appel des initiatives de financement consacres la promotion des partenariats pour lnergie renouvelable. LUSAID a rappel lappui quelle apporte aux domaines des nergies olienne et solaire, de lefficacit nergtique et de la cration des capacits dans la rgion. LALLEMAGNE sest enquise des dmarches ncessaires garantir davantage de soutien lnergie au service du dveloppement durable, de la part des banques de la rgion. Les prsentateurs ont reconnus le rle potentiel de l ESCWA dans lorientation des finances de la rgion vers lnergie renouvelables et a cit linitiative de lUnion des Banques Arabes pour la dtermination des effets environnementaux.

SALLE DE CONFERENCE 2: LAPRES-MIDI

DEBAT THEMATIQUE: Amlioration de lefficacit nergtique pour le traitement des problmes de pollution atmosphrique, pour la lutte contre les changements climatiques et pour la promotion du dveloppement industriel: Cette session a t prsid par le Vice-prsident Azanaw Abreha. Alfred K. Ofosu-Ahenkorah, de la Fondation pour lEnergie, Ghana, a donn un aperu sur les barrires poses par la demande et lapprovisionnement, lefficacit nergtique. Mark Levine, du Laboratoire National Lawrence Berkeley, a parl des pertes nergtiques pour les utilisateurs de base et de la russite de linvestissement, des centres techniques et des objectifs, en Chine. Zhou Dadi, de lInstitut de Recherche en Matire dEnergie, a soulign la ncessit de conduire davantage de recherche et de lencouragement de la consommation durable. Aux fins de franchir les barrires, Steven Wiel, du Collaborative Labeling and Appliance Standards Programme, a soulign limportance de la mise en application des normes et labels de lefficacit nergtique.

Dbat: Plusieurs orateurs ont partag leurs expriences en matire de bonnes pratiques lchelon rgional, qui englobent, entre autres: des partenariats industriels; des initiatives dans le secteur des transports; des changes dinformations; et lefficacit de lutilisation de base. Les ETATS-UNIS, avec la BULGARIE, ont mis en relief le rle des garanties partiales des emprunts. LITALIE a soulign le rle des mcanismes de march dans ltablissement dune infrastructure pour la technologie des nergies renouvelables. Les AGRICULTEURS ont parl de la ncessit de mesures dencouragement du march pour rendre la cognration de la bagasse du sucre de cane, conomiquement viable. Le SYNDICAT DU COMMERCE ET DE LINDUSTRIE a soulign que les politiques peuvent encourager lefficacit en envoyant des signant de march forts. LAFRIQUE DU SUD a indiqu que les initiatives ont besoin dtre places dans le cadre de la mise ralisation des ODM. LAUTRICHE a dclar que lefficacit nergtique contribue la scurit de lapprovisionnement, la concurrence et la protection de lenvironnement. La reprsentante a mentionn les Groupes dactions du Processus de Marrakech comme tant des instances cls du traitement de la question des modes durables de consommation et de production.

Le BRESIL a mis en exergue le partenariat entre les secteurs gouvernemental et industriel pour lefficacit de lnergie, et la NORVEGE a dcrit son initiative gouvernementale pour le soutien de lefficacit nergtique et des nergies renouvelables. Le SYNDICAT DES TRAVAILLEURS a soulign que lefficacit nergtique dans le lieu de travail devrait tre conduite par les gouvernements. La CE et les ONG ont mis en exergue les approches qui sappuient sur lintrt des consommateurs, y compris ltiquetage de lnergie, et le MEXIQUE a soulign limportance de la rglementation. LAUSTRALIE a parl du besoin daligner les normes des produits partout dans le monde. Au sujet de la conservation de lnergie, la JORDANIE a plaid pour ltablissement dun dfi pour les dcideurs du secteur de lindustrie. Au sujet de lefficacit nergtique, MAURICE a soulign labsence de connaissances au sein du secteur de lindustrie. Le QATAR a fait tat des effets environnementaux de certaines technologies dnergie renouvelables.

SALLE DE CONFERENCE 4:LAPRES-MIDI

SESSION REGIONALE: Commission Economique des Nations Unies pour lEurope (CEE): Le Vice-prsident Yvo de Boer, a ouvert la session et a introduit Kaj Barlund, de la CEE, qui a parl dun certain nombre dactions rgionales. Eliot Morley, Ministre de lEnvironnement, Royaume-Uni, a prsent une synthse des rsultats du Forum rgional sur la mise en application, soulignant la ncessit de dployer un assortiment dinstruments politiques. Viktor Baranchuk, du Ministre des Politiques Industrielles, Ukraine, a voqu les leons apprises et a parl des meilleures pratiques. Jean-Christophe Fueg, du Bureau Fdral Suisse de lEnergie, a parl des variations dans les proccupations de la scurit nergtique. Martin Williams, du Dpartement de lEnvironnement, de lAlimentation et des Affaires Rurales, Royaume-Uni, a parl des russites enregistres et des dfis qui restent relever par la Convention sur la Pollution Atmosphrique Transfrontire de longue Porte.

Dbat: LAZERBADJAN a mis laccent sur la coopration rgionale et sur la responsabilit du secteur de lentreprise. La TURQUIE a soulign la scurit des voies dapprovisionnement en nergie. LUE a appel davantage de processus rgionaux cohrents. La CROATIE sest rfre aux problmes rencontrs dans le domaine des changes de droits dmission. Le reprsentant des ENFANTS ET DES JEUNES a appel des innovations dans le dveloppement durable, qui viendraient accorder la priorit aux consommateurs. La SUEDE sest concentre sur le changement du mode de vie. Les SYNDICATS DES TRAVAILLEURS a dcrit son rle dans la transition nergtique. Barlund a mis laccent sur les centres des technologies propres et sur lchange des droits dmission. Plusieurs participants ont exprim leur appui au projet environnement et scurit conduit par le PNUE.

Commission Economique et Sociale des Nations Unies pour lAsie-Pacifique (ESCAP): Le Vice-prsident Javad Amin-Mansour (Iran) a introduit Liana Bratasida, du Ministre Indonsien de lEnvironnement, qui a soulign limportance des approches stratgiques. Xinhuai Wang, du la Commission Nationale Chinoise du Dveloppement et des Rformes, a soulign limportance de la planification au niveau micro, dun cadre juridique rationnel, de mcanismes actifs dinvestissement public et de tarification. Padma Lal, Reprsentante de Fidji, a pass en revue les expriences vcues dans la rgion du Pacifique, mettant laccent sur la planification cooprative, les partenariats, la coopration rgionale et lurgence des prparation et ractivit aux catastrophe. Susumu Okamoto, du Ministre de lEconomie, du Commerce et de lIndustrie, Japon, a soulign limportance de la cration de conditions favorables la russite du transfert des technologies cologiquement rationnelles. Jyoti Parikh, du centre de Recherche et Action Intgre pour le Dveloppement, a mis en garde quavec laugmentation des prix du ptrole, les femmes engages dans la production de la biomasse risquent de devenir encore plus marginalises.

Dbat: LESCAP a dclar que la question cruciale est celle de savoir si les pays dAsie-Pacifique taient en mesure de conduire leurs conomies la durabilit. La COREE a prsent des rflexions sur la croissance verte et sur limpact des prix du ptrole sur le dveloppement. LARABIE SAOUDITE a suggr daugmenter les taxes comme solution aux prix levs du ptrole. Les ETATS-UNIS ont dcrit le rle de la technologie satellitaire dans le dveloppement des nergies renouvelables, et a mis en relief le partenariat rgional. Le KAZAKHSTAN a appel linvestissement dans les approvisionnements nergtiques srs. La CHINE a dcrit lajustement industriel quelle a opr et qui a englob la mise en place de politiques de tarification et dimposition. Les AGRICULTEURS ont appel la R&D traiter les questions des rendements lointains et du financement inadquat dans les technologies renouvelables. Le JAPON a soulign limportance du partage des bonnes pratiques. Les FEMMES ont soulign leur rle coutumier en tant que gestionnaires de la biomasse, et ont appel la reconnaissance des femmes en tant que capital social, et lgalit, en tant que condition pralable au dveloppement durable.

DANS LES COULOIRS

En cette deuxime journe, les ONG sont la fois prudents et ambitieux. Certaines pensent que la CDD fournit un foyer ou un centre dchange unique pour la conduite de dbats sur les dimensions multiples de lune des questions les plus pressante pose au monde: la scurit nergtique et laugmentation de la demande en combustible dans un monde qui doit se prparer affronter lre du ptrole outrance. Evoquant la vraisemblance dune poursuite de lescalade des prix du ptrole, certaines ONG prsentes ont estim que cest l loccasion pour la CDD dinsuffler la cohrence et dapporter une valeur ajoute aux divers dbats touchant lnergie, y compris les changements climatiques, lnergie renouvelable, la question nuclaire et les chemins du dveloppement quitable. Dautres ont dclar craindre que la session soit dj embourbe dans des tensions qui remontent aux dbats sur le programme de travail pluriannuel de la CDD. Des lments du G-77/Chine semblent tre alins par lapproche dintgration Thmatique actuelle, quils peroivent comme tant une licence dajouter peu ou pas de valeur ce qui est dj entrepris sur le terrain, qui rduit la CDD a un simple spectacle.  

Ce numro du Bulletin des Ngociations de la Terre <enb@iisd.org>, a t rdig par Peter Doran, Ph.D., Twig Johnson, Ph.D., James Van Alstine, Cecilia Vaverka, et Andrey Vavilov, Ph.D. Edition numrique: Leila Mead. Version franaise: Mongi Gadhoum. Edition en chef: Pam Chasek, Ph.D. <pam@iisd.org>. Directeur du Service Information de lIIDD: Langston James Goree VI <kimo@iisd.org>. Les principaux bailleurs de fonds du Bulletin sont: Le gouvernement des Etats-Unis ( travers le Bureau des ocans et des affaires environnementales et scientifiques internationales du dpartement dEtat amricain), le gouvernement du Canada ( travers lACDI), lagence suisse de lenvironnement, des forts et des paysages (SAEFL), le Royaume-Uni ( travers le dpartement du dveloppement international (DFID), le ministre danois des affaires trangres, le gouvernement allemand ( travers les ministres de lenvironnement (BMU) et de la coopration pour le dveloppement (BMZ)), le ministre nerlandais des affaires trangres, la commission europenne (DG-ENV), et la direction gnrale de la protection de la nature, du ministre italien de lenvironnement et de lamnagement du territoire. Un soutien gnral a t accord au Bulletin, au titre de lexercice 2006, par: le programme des Nations Unies pour lEnvironnement (PNUE), le gouvernement australien, le ministre fdral autrichien de lenvironnement, le ministre no-zlandais des affaires trangres et du commerce, SWAN International, le ministre nippon de lenvironnement ( travers lIGES) et le Ministre nippon de lconomie, du commerce et de lindustrie ( travers GISPRI). La version franaise est finance par le ministre franais des affaires trangres et lIEPF/OIF. Le financement de la version espagnole du Bulletin a t fourni par le ministre espagnole de lenvironnement. Les opinions exprimes dans le Bulletin appartiennent leurs auteurs et ne refltent pas ncessairement les vues de lIIDD et des bailleurs de fonds. Des extraits du Bulletin peuvent tre utiliss uniquement dans des publications non commerciales moyennant une citation approprie. Pour tous renseignement, y compris les demandes de couverture dvnements par nos services, contacter le Directeur du Service dInformation de lIIDD par courriel : <kimo@iisd.org> ou par tlphone au: +1-212-644-0217 ou par voie postale au: 212 East 47th St. #21F, New York, NY 10017, USA. Lquipe du ENB couvrant la CDD-14 est joignable par courriel <peter@iisd.org>.

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