Daily report for 3 May 2006

LES FAITS MARQUANTS DE LA CDD-14:

MERCREDI 3 MAI 2006

Mercredi matin, les participants ont examin la mise en application dans la rgion dAmrique Latine et Carabes et se sont engag dans un dialogue multipartites sur le rle des grands groupes sociaux dans la mise en application, y compris dans la sensibilisation, la divulgation de linformation, le savoir-faire et les partenariats. Tout le long de la journe, les dlgus ont galement men des dbats thmatiques interactifs, se concentrant, le matin, sur la rponse au besoin grandissant de services nergtiques et, laprs-midi, sur le traitement de la question de lefficacit nergtique.

SESSION REGIONALE

Commission Economique des Nations Unis pour lAmrique Latine et les Carabes (ECLAC): Cette session rgionale a t prsid par le Vice-prsident Adrian Fernndez Bramauntz (Mexique). Passant en revue la runion consacre la mise en application rgionale, il a mis en exergue les sources dnergie renouvelables et la technologie propre. Marianne Schaper, ECLAC, a soulign que les problmes environnementaux ncessitent des solutions conomiques et sociales. Leida Mercado, du PNUD, a dcrit le Fonds pour le Carbone et les initiatives nationales, telles que celle de la Lumire pour tous, lance par le Brsil. Sergio Sanchez, de la Banque Mondiale, a parl des progrs accomplis par lInitiative Air Ambiant Propre, et a annonc la tenue dune confrence sur la question du transport urbain, qui aura lieu Sao Paulo, en juillet.

Le BRESIL a dcrit le rle de lthanol, et lARGENTINE a parl des changements climatiques. La COLOMBIE a partag son exprience comme exportateur dnergie, et a soulign le rle du capital humain et a apport son appui aux petites et moyennes entreprises (PME). LES SYNDICATS DES TRAVAILLEURS ont mis en relief la sant public et les initiatives lances conjointement avec les gouvernements et les employeurs. La BARBADE a donn un aperu sur ses travaux sur le tourisme durable. Le VENEZUELA a parl dinitiatives, telles que celle de PetroAmerica, lance pour encourager lutilisation dmocratique des ressources en nergie de la rgion. Le GROUPE DE RIO a appel des institutions plus solides, une indpendance nergtique plus grande, et au soutien des mesures nationales dadaptation aux changements climatiques.

Les FEMMES ont suggr llaboration de donnes distinctes et dobjectifs nergtiques rgionaux, assortis dun investissement adquat, et a appel lintgration de rgulateurs, tels que les parties prenantes. Le dlgu des BAHAMAS a annonc la tenue de la confrence sur les PEID sur le tourisme durable et lnergie renouvelable en juin.

DIALOGUE MULTIPARTITE

Le dialogue multipartite sur le rle des grands groupes sociaux a t prsid par le Vice-prsident Javad Amin-Mansour (Iran).

Changements climatiques, pollution atmosphrique: Le dlgu des COLLECTIVITES LOCALES, appuy par lAFRIQUE DU SUD, a appel au soutien, lchelon national, de leur rle dattnuation de leurs GES, travers, la dcentralisation de linfrastructure nergtique. Le dlgu des COMMUNAUTES AUTOCHTONES, appuy par le CANADA, a appel la reproduction des projets participatifs, et a des approches fondes sur les droits, dans les projets relevant du MDP. Les AGRICULTEURS ont appel un soutien travers la recherche et des mesures dencouragement. LAUSTRALIE a dcrit le Partenariat entre Australie et lAsie-Pacifique pour le Dveloppement Propre et Changements climatiques. La COMMUNAUTE EUROPEENNE a fait tat des liens entre la protection environnementale, la cohsion sociale et la comptitivit. Les FEMMES et les ONG ont appel llimination progressive de la technologie nuclaire.

LEnergie au service du dveloppement durable: Le COMMERCE ET LINDUSTRIE a invit dautres tirer des enseignements de leur engagement en faveur de lefficacit. Les FEMMES ont soulign les interconnexions entre la promotion de la Femme, lquit et le dveloppement, voquant le potentiel des femmes dassumer des rles dentrepreneurs dans le domaine de lnergie. La COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE a apport son appui lnergie nuclaire, tout en soulignant la ncessit de traiter de la gestion des problmes de gestion des dchets, de scurit et de prolifration, qui lui sont associs.

Les ETATS-UNIS ont dcrit les innovations introduites par les entreprises dans lengagement des parties prenantes et a rpondu une question pose par une ONG sur la facilitation de laccs aux mdicaments, par les pauvres. Le KOWET a expliqu les influences exerces sur les prix de lnergie, y compris linstabilit politique et la spculation. Une ONG a mis en mis en relief la Dcennie des Nations Unies de lEducation au service du Dveloppement Durable.

Dveloppement Industriel: Les SYNDICATS DES TRAVAILLEURS ont dclar que les lacunes dans la planification industrielle ont rendu la ralisation dautres objectifs moins probable, et ont appel un rle plus participatif des employs sur les lieux de travail. Le porte-parole des ENFANTS et des JEUNES a parl de lapplication de lapproche du partenariat un projet hydraulique au Npal. La SUEDE a soulign le rle de lducation pour une consommation durable.

DEBATS THEMATIQUES

Satisfaction des besoins en matire de services nergtiques travers une utilisation accrue de lnergie renouvelable et en sappuyant davantage sur les technologies nergtiques de pointe, y compris les technologies de combustibles fossiles: Ce session a t prsid par le Vice-prsident Azanaw Abreha (Ethiopie) et le Vice-prsident Adrian Fernndez Bramauntz.

Jrgen Trittin, du Bundestag Allemand, a mis laccent sur laccs lnergie et une focalisation sur lutilisation de lnergie renouvelable, comme solution pour les zones rurales. Faisant tat des barrires entravant laccs la technologie renouvelable, Hiroshi Komiyama, de lUniversit de Tokyo, a soulign la ncessit dun engagement en faveur de la reforme. Suani Teixeira Coelho, de lEtat de Sao Paulo, a mis laccent sur le manque dinformation, de viabilit conomique et de capacits institutionnelles. Pour encourager le recours aux technologies de lnergie renouvelable, Daniel Theuri, de lIntermediate Technology Development Group, a plaid pour la cration de capacits locales, pour des initiatives de march et pour le financement. Yona Siderer, de lUniversit Hbraque, a mis laccent sur linvestissement, la rglementation et la rforme des systmes de tarification conventionnels de lnergie.

Dbat: obstacles et contraintes: La REPUBLIQUE DOMINICAINE a dclar que llvation des prix du ptrole pose des difficults la ralisation des ODM. Le CAP VERT et MAURICE ont soulign la ncessit dun transfert de technologies et dune aide financire pour la rduction de la dpendance des combustibles fossile. La THALANDE, avec le CAP VERT, a parl des cots levs de dpart des nergies renouvelable. Les ONG ont soulign les effets des systmes nergtiques sur la biodiversit. Aux fins de faire face aux contraintes, Trittin a appel rendre les nergies renouvelables comptitives, a travers laugmentation des technologies, et Coelho a mis en relief la coopration sud-sud et nord-sud.

Leons apprises: Les ETATS-UNIS ont appel lutilisation les outils de la modlisation pour soutenir le dploiement des technologies dnergie renouvelable. LITALIE a soulign limportance dun cadre du march pour la russite de la diffusion des technologies dnergie renouvelable. LALLEMAGNE a mis en relief la cration demplois. LAUSTRALIE a dcrit les expriences vcues dans la promotion des nergies renouvelables dans les applications hors cadre, mettant en relief limplication communautaire et la formation. La CHINE a dcrit des initiatives visant amliorer la part de lnergie renouvelable dans lapprovisionnement national, mettant en exergue le besoin de cadres rglementaires, dun environnement de march rationnel, et de prts industriels. La SUEDE a soulign le rle des modes durables de consommation et de production dans la promotion de lefficacit nergtique. Le PAKISTAN a parl de limportance des nergies renouvelables dans llectrification rurale.

Etapes venir: Soulignant le rle de la coopration Sud- Sud, le BRESIL et la BARBADE ont appel une aide de la part de la communaut des donateurs internationaux. LAFRIQUE DU SUD a parl des solutions financires innovantes, des subventions gouvernementales et des marchs verts. Evoquant llvation des prix du ptrole, la COMMUNAUTE EUROPEENNE a mis en relief la dynamique en faveur dune action srieuse dans le domaine des nergies durables. Le BRESIL a soulign que la politique publique est vitale pour la cration dun assortiment nergtique durable. LARABIE SAOUDITE a maintenu que les nergies renouvelables ne peuvent pas rpondre la demande mondiale grandissante en matire dnergie.

Le dbat thmatique sest poursuivi dans laprs-midi, avec une concentration sur les technologies nergtique de pointe, y compris les technologies propres de pointe de combustibles fossiles. La runion de reprise a t prsid par le Vice-prsident Adrian Fernndez Bramauntz, et a t rejointe par un nouveau groupe de discussion. Robert Dixon, de lAgence Internationale de lEnergie, a soulign la contribution de lensemble des sources dnergie, au dveloppement durable, et a fait lloge du pigeage et de la fixation du gaz carbonique. Hisham Al-Khatib, de la Commission de Rglementation Jordanienne, a parl du potentiel des technologies adapt aux tempratures leves. Vincent Kitio, de lUN-Habitat, a parl de la manire dont laction locale peut aider rduire la pollution de lair ambiant dans les zones urbaines.

Dbat: Energies renouvelables: Plusieurs pays en dveloppement et de PEID ont partag leurs expriences dans le domaine des nergies renouvelables et ont appel une assistance financire et technique.

Le BRESIL a parl du biodiesel et des programmes dencouragement des nergies alternatives. LESPAGNE a parl de sa russite dans la gnration de lnergie olienne. La JORDANIE a soulign la ncessit dinvestir dans les nergies renouvelables, compte tenu de laugmentation du prix du ptrole. Le GUATEMALA et le SRI LANKA ont dcrit les barrires institutionnelles, techniques et commerciales, poses aux projets dnergie renouvelable. Le dlgu du COMMERCE ET de lINDUSTRIE a soulign limportance de la stabilit de linvestissement et des cadres de cration des capacits. LINDE, appuye par lAZERBADJAN, a soulign que les nergies renouvelables peuvent uniquement venir complmenter les utilisations bases sur les combustibles fossiles. La COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE a soulign que les cots de lnergie renouvelable baisseront mesure que les marchs crotront. Le SYNDICATS DES TRAVAILLEURS a mis laccent sur la cration de nouveaux emplois. Le reprsentant des COMMUNAUTES AUTOCHTONES a parl des avantages conomiques, sociaux et environnementaux importants de lnergie olienne.

Technologies nergtiques de pointe: Les ETATS-UNIS ont dcrit le financement accord aux programmes investissement dans les technologies de pointe. LAUSTRALIE a mis en relief une initiative de lindustrie de technologie propre base sur le charbon. La NORVEGE a dcrit son projet de pigeage du gaz carbonique et de rcupration des huiles. Le CANADA parl du dveloppement de lnergie olienne et de linitiative biodiesel. LARABIE SAOUDITE sest rfre la dominance des combustibles fossiles. Le KOWET a souhait une concentration sur les amliorations apportes aux technologies des combustibles fossiles. LAgence Internationale de lEnergie Atomique a soulign que de nombreux pays ne considrent plus lnergie nuclaire comme tant incompatible avec le dveloppement durable. Le reprsentant des ENFANTS et DES JEUNES a soulign la ncessit de directives de fixation du gaz carbonique, rpondant aux proccupations environnementales.

Concluant le dbat, le Vice-prsident a soulign limpact des choix des consommateurs, et la leve des barrires juridiques et institutionnelles pour la promotion des technologies nergtiques renouvelables, et a propos dtudier le potentiel de pigeage et de fixation du gaz carbonique.

Amlioration de lefficacit nergtique pour le traitement de la pollution de lair ambiant et des problmes atmosphriques, lutter contre les changements climatiques et promouvoir le dveloppement industriel: Le dbat thmatique parallle a t ax sur le transport et la divulgation des technologies et a t prsid par le Vice-prsident Mansour.

Diego Arjona Arguelles, de la Commission Nationale Mexicaine pour la Conservation de lEnergie, a parl des efforts fournis dans le secteur du transport, limportance de la pression correcte des pneus des camions, et des approches rglementaires lgard des normes commerciales en matire de construction et dclairage.

Walter Hook, de lInstitut des Politiques de Dveloppement du Transport, a parl de lefficacit des systmes de transport alternatifs et a dcrit lInitiative du Systme de Circulation Rapide des Autobus. Francois-Regis Mouton, de la Banque Mondiale, a parl de la question de la combustion en torchre, qui met actuellement lquivalent de 30 pour cent des missions europennes, et a pass en revue les efforts fournis par la Coalition Mondiale pour la Rduction de la Combustion en Torchre, aux fins de favoriser sa rduction. Maria Elena Sierra Galindo, du Secrtariat de lEnergie, Mexique, a parl du dploiement davantage more de technologies propres et efficaces, soulignant limportance de la cration dun environnement favorable et faisant tat des barrires dresses par les risques politiques et le manque de connaissances techniques et de prise de conscience du public.

Dbat: Transport: Le JAPON a soulign le rle critique du dialogue avec lindustrie des moteurs, citant lexemple de la russite de lobjectif gouvernemental de promouvoir des vhicules efficient aux plans de la consommation dnergie et des rejets de gaz dchappement. La SUISSE a dcrit limposition de lindustrie du transport routier aux fins dencourage le passage au transport par voies ferres, approuve par un vote populaire. La reprsentante des FEMMES a parl de limpact de la privatisation sur linfrastructure du transport. Le PAKISTAN a parl de labsence de voies cyclables.

Efficacit de lEnergie: Les ETATS-UNIS ont parl du cot de lefficacit des normes et de ltiquetage, soulignant limpact sur la conception du produit. Les FEMMES ont appel un tiquetage clair sur les applications efficace au plan de lnergie, une formation dans lutilisation des quipements de lnergie efficace, et des mesures visant rendre ces quipements plus abordables pour les SME. La FINLANDE a annonc la confrence, Energy Audit 06, pour le lancement dun programme daudit international de du secteur de lnergie. Hook a dclar que les pressions des donateurs et les pressions politiques pour des projets de transit de masse particuliers, peuvent mener des choix inefficaces, lors de leurs considration dans le cadre des besoins urbains plus larges.

Changements climatiques: Le ROYAUME-UNI a dcrit son objectif de raliser 60 pour cent de rduction dans les missions de GES dici 2050. La Commission Centre Amricaine sur lEnvironnement et le Dveloppement a dcrit ses activits dattnuation dans le secteur forestier.

Finance: Le dlgu des COMMERCE ET INDUSTRIE a dclar que des normes harmonises sont une contrainte. Les participants ont t invits regarder vers lInternational Finance Corporation pour aider stimuler linvestissement du secteur priv. Au sujet des technologies propres, le YEMEN a soulign le problme du caractre abordable pour les pauvres. Arjona a soulign que les cots levs du dmarrage dressent une barrire au choix des options dnergie efficace qui garantissent des conomies long terme. LAfrique du Sud a dclar que les barrires cres par les cots levs de dpart, exigent des approches innovantes en matire de financement.

DANS LES COULOIRS

La CDD-14 a t compare talk show par un participant, hier, au moment o les Vice-prsidents continuaient cajoler et provoquer les dlgus pour les amener laisser de ct les dclarations prpares lavance et se mettre la hauteur de loccasion offerte par les dialogues thmatiques. Dans les coulisses, cependant, le thme de lnergie a rsolument dcaler les dlibrations et a annonc ce que certains ont dcrit comme tant une rupture significative avec la forme passe du traitement de la question de lnergie par la CDD. Maintenant que la question de la scurit nergtique est en premire ligne du dbat, au Nord et au Sud, certains y voient un abandon des discussions idologiques qui nagure ont plac les nergies renouvelables en opposition dautres lments de lassortiment nergtique, dont lnergie nuclaire et les nouvelles technologies de gnration de combustibles fossile. Diffrents types de questions sont maintenant en train dmerger, y compris celle des implications sur la scurit alimentaire, lorsque dimportantes tendues de terre seront ddies la production des biocombustibles et de la biomasse.

Un signe des nouvelles configurations stratgiques en jeu dans le dbat sur lnergie, est la dcision prise par les membres du CARICOM et du Groupe de Rio de soumettre, louverture de la runion, lundi, une dclaration concerte. Dans lintervalle, les positions, au sein du G-77, sur la question des sources dnergie, sont, croit-on savoir, diverses, le groupe ne stant pas runi durant la session, pour convenir dune position cadre concerte avant la runion de la CDD. Certains ont suggr dutiliser les priodes intersessions pour tenir des runions axes sur des secteurs technologiques particuliers, pour encourager ladoption dune approche fonde sur la rsolution des problmes.  

Ce numro du Bulletin des Ngociations de la Terre <enb@iisd.org>, a t rdig par Peter Doran, Ph.D., Twig Johnson, Ph.D., James Van Alstine, Cecilia Vaverka, et Andrey Vavilov, Ph.D. Edition numrique: Leila Mead. Version franaise: Mongi Gadhoum. Edition en chef: Pam Chasek, Ph.D. <pam@iisd.org>. Directeur du Service Information de lIIDD: Langston James Goree VI <kimo@iisd.org>. Les principaux bailleurs de fonds du Bulletin sont: Le gouvernement des Etats-Unis ( travers le Bureau des ocans et des affaires environnementales et scientifiques internationales du dpartement dEtat amricain), le gouvernement du Canada ( travers lACDI), lagence suisse de lenvironnement, des forts et des paysages (SAEFL), le Royaume-Uni ( travers le dpartement du dveloppement international (DFID), le ministre danois des affaires trangres, le gouvernement allemand ( travers les ministres de lenvironnement (BMU) et de la coopration pour le dveloppement (BMZ)), le ministre nerlandais des affaires trangres, la commission europenne (DG-ENV), et la direction gnrale de la protection de la nature, du ministre italien de lenvironnement et de lamnagement du territoire. Un soutien gnral a t accord au Bulletin, au titre de lexercice 2006, par: le programme des Nations Unies pour lEnvironnement (PNUE), le gouvernement australien, le ministre fdral autrichien de lenvironnement, le ministre no-zlandais des affaires trangres et du commerce, SWAN International, le ministre nippon de lenvironnement ( travers lIGES) et le Ministre nippon de lconomie, du commerce et de lindustrie ( travers GISPRI). La version franaise est finance par le ministre franais des affaires trangres et lIEPF/OIF. Le financement de la version espagnole du Bulletin a t fourni par le ministre espagnole de lenvironnement. Les opinions exprimes dans le Bulletin appartiennent leurs auteurs et ne refltent pas ncessairement les vues de lIIDD et des bailleurs de fonds. Des extraits du Bulletin peuvent tre utiliss uniquement dans des publications non commerciales moyennant une citation approprie. Pour tous renseignement, y compris les demandes de couverture dvnements par nos services, contacter le Directeur du Service dInformation de lIIDD par courriel : <kimo@iisd.org> ou par tlphone au: +1-212-644-0217 ou par voie postale au: 212 East 47th St. #21F, New York, NY 10017, USA. Lquipe du ENB couvrant la CDD-14 est joignable par courriel <peter@iisd.org>.

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