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Daily report for 5 September 1994

LES FAITS MARQUANTS DE LA CIPD LUNDI 5 SEPTEMBRE 1994

Le Secrtaire Gnral de la CIPD, Nafis SADIK, a ouvert laConfrence le Lundi 9h30. La Confrence adopta ensuite: lesrgles de procdure; l'ordre du jour; l'organisation des travaux,incluant la constitution de la Grande Commission; laparticipation des organisations intergouvernementales aux travauxde la CIPD; la dsignation des membres du comit d'accrditationet adoption de son rapport; et l'examen des chapitres du projetdu Programme d'Action. Le Secrtaire Gnral des Nations Unies,Boutros BOUTROS-GHALI souhaita aux dlgus la bienvenue auCaire, puis fit noter que la CIPD constituait un tournant pour larelation entre population et dvelopment permettant de traiterdes questions importantes, incluant la pauvret, le rle desfemmes, les questions d'environnement et de dveloppement. Il miten relief trois principes pour la CIPD: les exigences d'un mondedont la population connait un accroissement rapide; la tolranceenvers les considrations thiques et religieuse ayant trait auxmesures en matire de population , qui doivent tre deployes surune base mutuelle; et la conscience qui nous donne le droit devivre, mais dans le respect d'autres droits, en particulier pourles femmes. Son Excellence, Mohamed Hosni MOUBARAK, Prsidentd'Egypte, fut ensuite lu Prsident de la Confrence. MOUBARAKexprima ses voeux que la CIPD ft un pont entre Nord, Sud, Est etOuest puis retraa les objectifs devant tre raliss par laCIPD, incluant le dialogue en toute libert, dans un esprit desolidarit et de responsabilit partage, et une rponsequilibre aux besoins spirituels et matriels. Il fit noter quela relation entre population et dveloppement doit tre traduitedans une vision intgre, accordant davatange d'attention l'ducation, aux services de sant et au rle de la femme, demanire conforme aux valeurs religieuses et thiques. LeSecrtaire Gnral de la CIPD, Nafis SADIK, souhaita son tour ,la bienvenue aux dlgus et souligna l'implication de nombreuxpays, OIG, ONG et mdia. Elle appela les dlgus travaillersur le projet du Programme d'Action abordant les questions derenforcement des potentialits des femmes, d'ducation, deservices de sant et de planification familiale. Le PremierMinistre Gro Harlem BRUNDTLAND (Norvge), demanda auxparticipants de se dtourner de la dramatisation faite autour dela Confrence par certains mdia, et de se focaliser sur lesproblmes d'ducation et de sant, en particulier pour lesfemmes. Elle appela des changements politiques visant promouvoir les besoins de la femme et assurer le dveloppementsocial et elle affirma que russir de bonnes politiques enmatire de population, permettra d'conomiser sur les dpensespubliques. Elle mit en exergue l'importance de la CIPD pour faireface la propagation des MST, et dclara qu'elle ne comprenaitpas comment le terme sant reproductive pouvait treinterprt comme un soutien l'avortement. Le Vice-PrsidentAlbert GORE (USA), fit noter la croissance rapide et insoutenablede la population est un grave problme, touchant en particulierla vie des femmes et des filles. L'ducation, le renforcement despotentialits des femmes, l'alphabtisation et l'accs auxcontraceptifs doivent avoir lieu de manire holistique. Il fitremarquer que les USA n'avaient jamais cherch tablir un droitinternational pour l'avortement, car les dcisions politiquesdoivent appartenir chacun des gouvernements. Le PremierMinistre Benazir BHUTTO (Pakistan) dclara qu'en sa qualit defemme, de mre, et de leader du plus grand gouvernement Musulmandmocratiquent lu et du neuvime pays du point de vue du nombrede sa population, elle voit dans la CIPD, une opportunithistorique. Elle fit part de son rve, d'un monde o chaquegrossesse serait planifie et chaque enfant aim, et o il yaurait un engagement pour le dveloppement de la vie et non poursa destruction. Elle dclara que le Programme d'Action ne doitpas tre peru comme une charte universelle cherchant imposerl'adultre et l'avortement. Il devrait prendre en compte lesdiffrentes valeurs culturelles, religieuses et thiques, mais enmme temps, les leaders ne doivent pas laisser une minorit esprit troit, dicter l'agenda. Elle exprima son rejet pourl'avortement comme mthode de plannification familiale etsouligna le rle de la famille traditionnelle. L'lment crucialpour affronter les problmes de population, ce n'est pasl'idologie mais le manque d'infastructure. Le Premier MinistreMBILINI (Swaziland) fit noter l'importance de la CIPD pour lespays Africains, eu gard aux taux levs du crot dmographique,de la mortalit maternelle et infantile, la propagation du sidaet aux difficults conomiques. Il dclara que lors du recentSommet de l'OUA en Tunisie, les pays Africains avaient raffirmla ncessit d'avoir des politiques en matire de populationmettant un accent particulier sur le rle des femmes. Avant delever la runion, on annonca que les nominations dans le GroupeAsiatique la Vice Prsidence taient: le Bangladesh, la Chine,le Japon, les Iles Marshall et le Pakistan. Les Vice Prsidentsmanant du Groupe de l'Europe de l'Est sont: la Hongrie, laRoumanie, et la Rpublique de Macdoine.

PLENIERE D'OUVERTURE

Le Secrtaire Gnral de la CIPD, Nafis SADIK, a ouvert laConfrence le Lundi 9h30. La Confrence adopta ensuite: lesrgles de procdure; l'ordre du jour; l'organisation des travaux,incluant la constitution de la Grande Commission; laparticipation des organisations intergouvernementales aux travauxde la CIPD; la dsignation des membres du comit d'accrditationet adoption de son rapport; et l'examen des chapitres du projetdu Programme d'Action. Le Secrtaire Gnral des Nations Unies,Boutros BOUTROS-GHALI souhaita aux dlgus la bienvenue auCaire, puis fit noter que la CIPD constituait un tournant pour larelation entre population et dvelopment permettant de traiterdes questions importantes, incluant la pauvret, le rle desfemmes, les questions d'environnement et de dveloppement. Il miten relief trois principes pour la CIPD: les exigences d'un mondedont la population connait un accroissement rapide; la tolranceenvers les considrations thiques et religieuse ayant trait auxmesures en matire de population , qui doivent tre deployes surune base mutuelle; et la conscience qui nous donne le droit devivre, mais dans le respect d'autres droits, en particulier pourles femmes. Son Excellence, Mohamed Hosni MOUBARAK, Prsidentd'Egypte, fut ensuite lu Prsident de la Confrence. MOUBARAKexprima ses voeux que la CIPD ft un pont entre Nord, Sud, Est etOuest puis retraa les objectifs devant tre raliss par laCIPD, incluant le dialogue en toute libert, dans un esprit desolidarit et de responsabilit partage, et une rponsequilibre aux besoins spirituels et matriels. Il fit noter quela relation entre population et dveloppement doit tre traduitedans une vision intgre, accordant davatange d'attention l'ducation, aux services de sant et au rle de la femme, demanire conforme aux valeurs religieuses et thiques. LeSecrtaire Gnral de la CIPD, Nafis SADIK, souhaita son tour ,la bienvenue aux dlgus et souligna l'implication de nombreuxpays, OIG, ONG et mdia. Elle appela les dlgus travaillersur le projet du Programme d'Action abordant les questions derenforcement des potentialits des femmes, d'ducation, deservices de sant et de planification familiale. Le PremierMinistre Gro Harlem BRUNDTLAND (Norvge), demanda auxparticipants de se dtourner de la dramatisation faite autour dela Confrence par certains mdia, et de se focaliser sur lesproblmes d'ducation et de sant, en particulier pour lesfemmes. Elle appela des changements politiques visant promouvoir les besoins de la femme et assurer le dveloppementsocial et elle affirma que russir de bonnes politiques enmatire de population, permettra d'conomiser sur les dpensespubliques. Elle mit en exergue l'importance de la CIPD pour faireface la propagation des MST, et dclara qu'elle ne comprenaitpas comment le terme sant reproductive pouvait treinterprt comme un soutien l'avortement. Le Vice-PrsidentAlbert GORE (USA), fit noter la croissance rapide et insoutenablede la population est un grave problme, touchant en particulierla vie des femmes et des filles. L'ducation, le renforcement despotentialits des femmes, l'alphabtisation et l'accs auxcontraceptifs doivent avoir lieu de manire holistique. Il fitremarquer que les USA n'avaient jamais cherch tablir un droitinternational pour l'avortement, car les dcisions politiquesdoivent appartenir chacun des gouvernements. Le PremierMinistre Benazir BHUTTO (Pakistan) dclara qu'en sa qualit defemme, de mre, et de leader du plus grand gouvernement Musulmandmocratiquent lu et du neuvime pays du point de vue du nombrede sa population, elle voit dans la CIPD, une opportunithistorique. Elle fit part de son rve, d'un monde o chaquegrossesse serait planifie et chaque enfant aim, et o il yaurait un engagement pour le dveloppement de la vie et non poursa destruction. Elle dclara que le Programme d'Action ne doitpas tre peru comme une charte universelle cherchant imposerl'adultre et l'avortement. Il devrait prendre en compte lesdiffrentes valeurs culturelles, religieuses et thiques, mais enmme temps, les leaders ne doivent pas laisser une minorit esprit troit, dicter l'agenda. Elle exprima son rejet pourl'avortement comme mthode de plannification familiale etsouligna le rle de la famille traditionnelle. L'lment crucialpour affronter les problmes de population, ce n'est pasl'idologie mais le manque d'infastructure. Le Premier MinistreMBILINI (Swaziland) fit noter l'importance de la CIPD pour lespays Africains, eu gard aux taux levs du crot dmographique,de la mortalit maternelle et infantile, la propagation du sidaet aux difficults conomiques. Il dclara que lors du recentSommet de l'OUA en Tunisie, les pays Africains avaient raffirmla ncessit d'avoir des politiques en matire de populationmettant un accent particulier sur le rle des femmes. Avant delever la runion, on annonca que les nominations dans le GroupeAsiatique la Vice Prsidence taient: le Bangladesh, la Chine,le Japon, les Iles Marshall et le Pakistan. Les Vice Prsidentsmanant du Groupe de l'Europe de l'Est sont: la Hongrie, laRoumanie, et la Rpublique de Macdoine.

PLENIERE DE L'APRES-MIDI

Dr. SADIK dclara avoir t surprise par la rcente controversesouleve par le Programme d'Action et le processus dengociation. Elle expliqua que chaque pays dide pour lui-mmeles recommendations dans le texte correspondant ses besoins etla manire de les interprter. Elle dclara aussi que le principede souverainet contitue une base pour le texte en son entier etla formulation du document est faite de manire tre acceptabledans un ventail le plus large possible d'approches la questionde population. Elle exprima son espoir de voir tous les paysreprsents parvenir un accord. Elle ajouta que lasignification de cette Confrence dpendra de l'efficacit aveclaquelle les engagements seront traduits en action. Ensuite desdclarations gnrales furent donnes par les reprsentants del'Algrie, au nom du G-77, l'Allemagne, au nom de l'UE, leMexique, la Chine, le Kenya, l'Argentine, le FMI, le Tuvalu, leChili et l'Espagne. Tous ces pays soulignrent les changementsintervenus dans la situation de la population depuis la dernireConfrence sur la Population et firent rfrence la centralitde l'tre humain; la mondialisation du problme; et leursparticularits sociales et culturelles. Nombre de dlgusritrrent leur opposition l'avortement.

GRANDE COMMISSION

La Grande Commission se runit pour la premire fois le Lundi 16h. Le Prsident, Dr. Fred SAI (Ghana) ouvrit la sance etexhorta les dlgus s'accorder sur un texte harmonieux quimettrait fin la cacophonie rpandue par les mdia. Il demandaaux dlgus de faire abstraction de tout ce qu'ils ont pu liredans la presse et de lire le document en son entier. Il les priade se restreindre au dbat sur les points o il n'y a pas eud'accord. SAI annonca ensuite qu'un accord a t atteint sur lacomposition du Bureau: l'Amb. Lionel HURST (Antigue et Barboude);Nicolaas BIEGMAN (Pays Bas); Dr. Bal G. BAIDYA (Nepal) et JerzyHOLZER (Pologne), qui servira en tant rapporteur. Le Prsidentessaya d'entamer le travail de fond de la Commission. Il annonaque durant la priode intersessionnelle, des consultationsofficieuses autour des questions en suspens eurent lieu NewYork et demanda aux coordinateurs de prsenter leurs rapports surles rsultats. le Canada fit un rapport sur une runionofficieuse tenue le 13 Juillet pour discuter les deux chapitresnon ngocis lors du PrepCom III: le Prambule et les Principes.Les dlgus s'accordrent que le Prambule devrait treraccourci et servir d'introduction au Programme d'Action.S'agissant des Principes, les participants se mirent d'accordpour que leur nombre soit rduit et pour les combiner etprsenter dans un autre ordre. Les formulations prises dansd'autres documents ou traits devront tre cites avec exactitudeet dans leur contexte. Le droit au dveloppement n'est pas assezsoulign, et la relation tablie entre population etdveloppement doit reflter aussi la protection environnementale.L'Indonsie prsenta un rapport sur les consultations concernantles buts, lesquelles eurent lieu le 14 Juillet. Le reprsentantlabora sur les buts quantitatifs: ducation; rduction des tauxde mortalit infantile et maternelle; et accs la santreproductive et la planification familiale. Les buts doiventtre ralistes et ralisables et doivent tenir compte de lasituation dans chacun des pays. Les Pays Bas firent un rapportsur les consultations sur les ressources, qui se droulrent le15 Juillet et se focalisrent sur l'estimation des cots dans leChapitre 13. On fut d'accord qu'on n'avait pas disposition demeilleurs chiffres. Il y eut une brve discussion du Compact20:20, mais les participants s'accordrent qu'il doive treaffin davantage et reprsenter au Sommet Social Copenhag.CHAPITRE I -- PREAMBULE: Durant les discussions, plusieurs pointsprocduraux ralentirent la progression des travaux. Le Prsidentproposa qu'un groupe restreint officieux officieux serunisse pour laborer un papier officieux sur le Prambuleet les Principes. Plusieurs dlgus exprimrent leursproccupations. L'Algrie, au nom du G-77dclara que la positiondu G-77 a toujours t que la prolifrations des groupes detravail posait problme aux dlgations de petite taille. Cesdiscussions doivent avoir lieu dans un cadre clair ettransparent. SAI affirma que le groupe officieux officieuxpourrait se runir lorsque la Grande Commission n'est pas enrunion. Comme un certain nombre de dlgus voulait faire unepremire lecture du document lors de la Grande Commission, LePrsident demanda les commentaires sur le Prambule. Le G-77 etl'UE firent circuler des propositions crites sur le Prambule etles Principes. La runion fut suspendue pour 15 minutes afin depermettre aux dlgations de revoir les textes. Lorsque larunion reprit, des problmes furent soulevs, certains membresdu G-77 proposant des amendements au projet de texte du G-77. LePrsident et l'Algrie prirent les dlgus de se consulter avecle Prsident du G-77 avant de prsenter leurs amendements. Achaque tentative du Prsident de faire avancer le dbat, ladiscussion revenait sur des considrations procdurales.Finalement le Prsident annona qu'il tiendra des consultationsavec les differentes dlgations pour produire un nouveaudocument. CHAPITRE II -- PRINCIPES: L'Algrie, au nom du G-77,introduisit un nouveau projet de texte pour le Chapitre II avecquelques amendements. L'UE reconnut ce nouveau draft, maisdclara avoir besoin de temps pour consulter son groupe. Certainsmembres du G-77 proposrent ensuite des amendements au draft etl'Algrie eut faire noter que le texte avait dj t endosspar le Groupe. Le Mali exprima certaines rserves concernant lePrincipes 5 qui appelle mettre fin aux modles de production etde consommation non durables, car certains pays en voie dedveloppement pourraient avoir des difficults y satisfaire.L'Iran suggra de supprimer la rfrence -individus- dans lePrincipes 7 du texte du G-77. El Salvador proposa que le mot individus ft remplac par personnes . Le Honduras proposaun amendement au Principe 7 qui viendrait ritrer le droituniversel la vie, la libert et la scurit de la personne.Concernant le Principe 8, la Chine suggra d'ajouter sansaucune forme de coercision et de supprimer la rfrence certaines formes corcitives. L'Algrie rpondit que le Principe8 ne devrait pas tre discut mais considr entre crochetsjusqu' ce que les questions qu'il aborde soient traitesdans ladiscussion des Chapitres 7 et 8. Les Philippines, soutenu par lePakistan, fut d'accord pour la suppression de la locution sexuel et dans la rfrence au droit aux services de sant.Les Philippines, soutenu par l'Indonsie, dclara quel'avortement ne doit en aucune manire tre considr comme unemthode de planification familiale. Le Saint Sige dclara quecet ensemble de principes devrait aussi se rfrer aux devoirs dela communaut internationales face aux violations des Droits del'Homme. El Salvador suggra que les droits objet du Principe 1devraient tre quilibrs par des devoirs correspondants et quele Principe 10 devrait clarifier que la famille est l'unit debase de la socit. L'Iran demanda que la rfrence auxdiffrentes formes de famille fut supprimer dans le Principe 10.Les USA suggrrent une srie d'amendement portant sur leprincipal objectif du Programme d'Action, parit homme femme etgalit des sexes, les immigrs, les communauts indignes et lesrfrences au dveloppement durable. Le Prsident demanda aux USAde soumettre ces amendements par crit. Le Bnin souligna que laCommission avait besoin d'amliorer sa mthode de travail et decommencer la discussion par paragraphe. Blize et le Malawiapportrent quelques amendements la proposition du G-77 etl'Afrique du Sud exprima le souhait de voir la reconnaisance dueaux droits souverains de chaque nation port en rference dans lechpeau.

DANS LES COULOIRS

L'Algrie, Prsident du G-77, et d'autres dlgations bases New York et appartenant ce groupe de plus de 130 pays en voiede dveloppement exprimrent leur grande frustration, pendant laGrande Commission et dans les couloirs l'extrieur de la SalleChefren. Souvent l'Algrie parut ne pas parler au nom du G-77, denombreuses dlgations membres avanant leurs propresoropositions, souvent contradictoires. Les interventions etquestions concernant la procdure firent perdre, ce lundi,tellement de temps que certains commentrent qu'il pouvait treutile que les dlgus bass New york expliquent aux experts deleurs capitales respectives, le processus de ngociation et lerle du G-77.

A SUIVRE AUJOURD'HUI PLENIERE:

La Plnire commencera 9h. pour poursuivre jusqu'au soir ledbat gnral sur les expriences des stratgies et programmes enmatire de population et de dveloppement. Des dclarations sontattendues du Vnzula, France, OMS, Australie, Danemark,Roumanie, Tunisie, Azerbaijan, Ouganda, Ethiopie, BanqueMondiale, Inde, Indonsie, Sri Lanka, Canada, Nouvelle Zlande,HCNUR, Antigue et Barboude, Japon, Finlande, Zimbabwe, PNUE etInternational Planned Parenthood. GRANDE COMMISSION: La GrandeCommission se runira ce matin dans la Salle Chefren pourcommencer la discussion des Chapitres 8 (Sant, Morbidit etMortalit) et 7 (Droits Reproductifs [Sant Sexuelle etReproductive] et Plannification Familiale). Le Commission estsusceptible de se runir de 10h. 13h. et de 15h. 21h. Lesdlgus qui n'ont pas eu l'opportunit d'intervenir le Lundi surles Principes et le Prambule pourraient soumettre leurscommentaire par crit. On s'attend une annonce sur la runiondes Amis du Prsident pour travailler sur les Chapitres 1 et 2(Prambule et Principes).

Participants

National governments
US
Negotiating blocs
African Union
Asian Group
European Union
Group of 77 and China
Non-state coalitions
NGOs

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