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Consultation régionale latino-américaine du Processus consultatif vers un Mécanisme international d’expertise scientifique sur la biodiversité (IMoSEB) |
2-3 Octobre 2007 | Bariloche, Argentine |
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Faits saillants du mardi, 2 octobre 2007 Mardi, le 2 octobre 2007, a débuté à Bariloche, Argentine, la Consultation régionale latino-américaine du Processus consultatif vers un IMoSEB. Après avoir entendu les présentations liminaires, les participants ont été répartis en deux groupes de travail pour débattre des options pour un IMoSEB possible, notamment des besoins spécifiques de l’Amérique latine, et des modalités d’application d’un IMoSEB au niveau local. La Consultation latino-américaine, qui est la cinquième d’une série de consultations régionales, doit se terminer le 3 octobre 2007 |
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Alfred Oteng-Yeboah, Co-président du Comité exécutif de l’IMoSEB, a déclaré qu’un IMoSEB pourrait rendre l’information sur la biodiversité disponible, de manière à faciliter la prise de décision au niveau local et au niveau global. |
Didier Babin, Secrétaire exécutif du Processus consultatif vers un IMoSEB, a souligné la nature ouverte et inclusive de la réunion, et a relevé que les chercheurs et les gouvernements latino-américains participent au Comité directeur international du Processus consultatif. |
María Elena Zaccagnini, Institut national de technologie agricole (INTA), Argentine
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| Bruno Monteferri, Société péruvienne du droit environnemental | Luis German Naranjo, World Wild Fund for Nature (WWF), Colombie | Lily O. Rodriguez, GTZ, Programme de développement rural durable (PDRS) |
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Photo de groupe |
Les participants ont observé une amélioration rapide de la compréhension par le public, de l’évolution du climat, en dépit de la complexité scientifique de la question. |
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| Tim Hirsch, consultant des médias, a suggéré l’amélioration de la compréhension que le public a des liens qui existent entre la biodiversité et « l’intégration » des nouveaux enjeux tels que le développement industriel et les catastrophes naturelles. | Stéphanie Guinard et Alfred Oteng-Yeboah |
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| Fernando Ghersi, Partenariats et technologie pour la durabilité (PATS), Pérou | Teresita Borges Hernández, Ministère de science, technologie et environnement, Cuba |
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Natalia Pérez Harguindeguy, Institut multidisciplinaire de biologie végétale (IMBIV), Université de Cordoba, Argentine |
Maxime Thibon, Secrétariat de l’IMoSEB | Francia Motta Salinas, Institut de géographie et de développement régional, Université centrale du Venezuela |
Groupes de travail |
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Groupe de travail 2: Mónica Moraes, Herbarium national, Bolivie; Garcia Randall, INBio, Costa Rica; Bruno Monteferri, Société péruvienne du droit environnemental et Natalia Pérez Harguindeguy, IMBIV, Université de Cordoba, Argentine |
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Groupe de travail 1: Maxime Thibon, Secrétariat de l’IMoSEB; Francia Motta Salinas, Université centrale du Venezuela; María Elena Zaccagnini, INTA, Argentine; Silvana Merello, Argentine; et Hugo Luis López, Musée de La Plata, Argentine.
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Groupe de travail 1 Carlos Guerra, Université du Panama |
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Les participants au Groupe de travail 1ont examiné les méthodes de renforcement actuellement utilisées dans les réseaux nationaux et régionaux de biodiversité. Constatant que les conventions liées à la biodiversité sont déjà dotées d’organes d’experts scientifiques, le groupe a préféré un l’IMoSEB ressemblant d’avantage à un « réseau des réseaux », à un nouveau groupe d’experts. |
Le Groupe de travail 2 a observé qu’en Amérique latine, l’information sur la biodiversité n’est pas toujours coordonnée ou accessible, en raison des barrières linguistiques et institutionnelles. Le groupe a débattu des méthodes pour améliorer le partage de l’information dans la région, y compris entre les chercheurs et les experts des secteurs privé et communautaire. |
Liens connexes |
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