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First Meeting of the Intergovernmental Committee for the Cartegena Protocol (ICCP1) Montpellier,
FRANCE Première Réunion du Comité Intergouvernemental pour le Protocole de Cartegena |
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Table Ronde de Solagral: Responsabilité et Règlement des Conflits Christoph Bail note la complexité de la question en relation avec la détermination de l'évaluation de la causalité, types de dégâts, type de responsabilité, conflits des lois en cas de dégâts transfrontaliers. Il met en exergue le Papier Blanc de la Commission Européenne sur la responsabilité environnementale, et souligne les options pour un régime de responsabilité dans l'UE, incluant l'adhésion à la Convention de Lugano du Conseil Européen sur la Responsabilité Civile des Dégâts résultant des Activités Dangereuses pour l'Environnement (pas encore en vigueur) ou l'abord des dégâts transfrontaliers uniquement. Il déclara qu'un fonds peut être créé, financé par les compagnies biotechnologiques, dans le traitement des risques.
Phil Bereano utilise le cas du Starlink comme illustration du problème de la négligence et de la malfaisance de la part du gouvernement, mettant en exergue que ce n'était pas l'industrie ni le gouvernement, mais les consommateurs, à découvrir que du maïs génétiquement modifié était présent dans les tacos récemment en vente dans les supermarchés américains. Notant les modèles identiques de non-régulation, de distribution indiscriminée et de la non-identification des OGM, il plaide en faveur de la réparation et de la compensation, encourageant les importateurs à insister pour que les malfaisants supporte la charge des coûts des tests, de la séparation et du retrais des produits tels que le maïs du Starlink qui n'ont pas été approuvés pour la consommation humaine.
L'Ambassadeur Philémon Yang, déclare que les questions sur le problème sont précises, alors que les réponses sont difficiles à trouver. Il souligne le droit commun et les régimes de responsabilité national de droit civil et pose les questions du concept et du type de dégâts, de l'identification de la personne responsable, du type de responsabilité, des possibilités de réparation et d'assurance. Concernant les pays en développement il note le fossé législatif et appelle à l'examen de ses questions. Willy de Greef, Syrgentia, appelle le CIPC à encourager l'augmentation de l'interaction entre la communauté des experts techniques sur la biosécurité et la communauté politique sur la biosécurité par la création de condition de structure pour construire un régime de responsabilité et définir ce qui constitue les dégâts et le mal dans les impacts des OGM. |
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Projet Conjoint sur la Biosécurité FEM/PNUE
Hamdallah Zedan note qu'il y a un manque de capacité dans les pays en développement pour mettre en oeuvre les accords environnementaux. Ainsi, il note deux composantes importantes du projet sur la biosécurité FEM/PNUE: l'organisation d'ateliers régionaux et sous-régionaux comme moyen d'échanger l'information et d'identifier les besoins communs; et des activités nationales par lesquelles les pays peuvent identifier les besoins en renforcement des capacités et formuler des structures nationales. Julian Kinderlerer, PNUE, donne une vue d'ensemble du Projet Pilote d'Activité Habilitante sur la Biosécurité, citant l'objectif d'ensemble d'aider les pays à préparer les structures sur la Biosécurité, avant l'entrée en vigueur du Protocole de Carthagène. Reconnaissant le besoin crucial que les systèmes de base nécessaires à la mise en oeuvre du Protocole étaient en place, le projet FEM/PNUE était établi pour englober l'identification des besoins, le renforcement des capacités, les processus de participation et la divulgation de l'information au niveau nationaux; et le partage de l'information, la coopération internationale et l'harmonisation des activités aux niveaux régional et sous-régional. Kinderlerer mis l'accent sur l'approche des projets menés par les pays qui requiert l'implication publique et celle des détenteurs des enjeux. Répondant à la discussion autour de la suggestion de synthétiser les connaissances du PNUE/FEM concernant les défis à relever, ou la possibilité d'abriter les réunions pour partager les expériences, Ahmed Djoghlaf, Bureau de Coordination du PNUE/FEM, souligne que les pays eux-mêmes ont gagné plus d'expérience à travers ce projet. Djoghlaf note aussi qu'alors que plusieurs pays peuvent être très compétents à leurs niveaux nationaux, ils manquent souvent de ressources pour être efficaces ailleurs, aussi ce sera aux pays de définir la nature de la structure. |
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Informations Pertinentes:
Couverture précédente de l'IIDD:
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