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Les
délégués près de la deuxième réunion Intersessions du Groupe de
Travail Spécial, de Composition Non Limitée, sur l'Article 8(j) et les
Clauses en Rapport de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB)
s'est poursuivie tout au long de la journée dans deux sous-groupes de
travail. Le Sous-groupe de Travail I (SGT-I) s'est penché d'abord sur le
plan du rapport composite concernant l'état actuel des choses et les
tendances, puis a entamé la discussion des lignes directrices devant
encadrer l'élaboration des évaluations d'impact. Le Sous-groupe de
Travail II (SGT-II) a parachevé son débat initial sur la question de
l'efficacité des instruments disponibles, en particulier ceux concernant
les droits de propriété intellectuelle (DPI), et sur les mécanismes
participatifs pour les communautés indigènes et locales.
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Le Sous-groupe de Travail I (SGT-I) |
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 Mario Ramos, (FEM) a noté que davantage de discussion est nécessaire avant que des fonds puissent être engagés pour l'élaboration du rapport concernant la situation présente et les tendances.
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 Un représentant du FIIB a souligné que, souvent, les gouvernements accordent une priorité aux préoccupations des compagnies multinationales au détriment des besoins des peuples indigènes. Photo à gauche: Quelques représentants du FIIB pendant la pause. |
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| Le Sous-groupe de Travail II (SGT-II) | ||
Joji Cariño, de la Fondation
Tebtebba, a déclaré que les fora ayant trait au commerce ne sont pas
appropriés pour la protection des intérêts des communautés indigènes et
a appelé à la reconnaissance des institutions indigènes ayant autorité
de mettre en application les lois et coutumes indigènes. |
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Au
cours du débat autour de la question des instruments existants exerçant un
impact sur la protection du savoir traditionnel, Richard Driscoll,
Etats-Unis, (au centre) a souligné la valeur des registres pour la prévention
des brevets inappropriés par rapport au savoir traditionnel. Terry
Williams, de la Tribu Tulalip (au fond à gauche) a donné un aperçu sur le
développement en cours d'un projet de base de données incluant des
connaissances indigènes à caractère confidentiel et public. |
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 Rosemary Coombe (Université de York), a souligné que nulle connaissance traditionnelle ne saurait être enregistrée sans le consentement éclairé préalable des communautés indigènes. |
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L'Art
indigène:
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| ENB Snapshots: | ||
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photos
ci-dessus (dans le sens des aiguilles d'une montre): Des participants Mohawk
dans leurs tenues traditionnelles, Mario Ramos et Kristin Elliot
(FEM), Maria Noguerol (Espagne), Maria Angelica Ikeda (Brésil) avec Reuben
Olembo Président en exercice du Groupe de Travail, au nom du Président de
la CdP-5, Barbara di Giovanni (Italie), rapporteur de la réunion, les
rédactrices du ENB Fiona Koza et Elsa Tsioumani distribuant les bulletins
aux participants. |
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ENB Summary
of the WG8j-1 (